T'en vas pas

jadis un vilain qui chaque jours coupait du bois pour le vendre au marché et pour ainsi nourrir sa femme et bien sur ses deux enfants ! Un jour étant trop fatigué, il commença a pleurnicher en criant haut et fort ‘’ Oh ! Je veux mourir ! Dieu, je t’en conjure ! Tue moi !’’ Soudain, il entendit une voie, il regarda aux alentours mais ne vis rien. Il demanda : -Qui est la ? - C’est moi merlin, qui vit dans les bois. J’ai pitié de toi rentre chez toi, creuse au pied de ton pommier et tu trouveras

ça va aller. T'as des amis, une famille, t'as tout ce qu'il faut pour être heureux, alors ça va aller. Ne t'en fais pas, je suis là, on est là, tout le monde est là pour toi. ça ira, je te le promets. ça là, le "ça va aller", c'est ce qu'on répète encore et encore à nos amis, à nos proches quand ils vont mal. Et je trouve ça nul, complètement nul. On croit tous qu'en disant ça, la personne 'touchée' va aller mieux. On croit que son état va s'arranger, que ça va l'aider et qu'elle finira par se

enfant à d’autres parents ça va être un moment déchirant. Pendant 9 mois, tu vas t’en avoir occupé, tu vas en avoir pris soins, tu vas sentir les petits coups de pieds qu’il donnera dans ton ventre, il va devenir précieux à tes yeux et pouf! Après ces 9 mois-là, tu vas l’avoir accouché et tu vas ressortir de l’hôpital les mains et le cœur vide. Tu vas-y repenser à chaque jour, te demander dans 10 ans comment il est devenu, tu vas vouloir de ses nouvelles, chaque enfant que tu verras dans la rue, tu te

ne sachant pas où dormir je me suis refugié ici. -Et maintenant que vas- tu faire, car je ne peux pas te garder, je vais devoir te ramener chez toi. Même si ta mère était violente, tu ne peux pas rester ici car je veux rester seul. Je n’ai pas besoin de compagnie. - Non, j s’il te plaît, je me ferai tout petit ! -Si tu ne peux pas aller chez ta génitrice, tu iras à la police leur expliquer qu’elle te maltraite. - Je t’en supplie !! Aide-moi. » Maxime se leva de table et prit une posture

Emma, elle non plus, ne parlait pas. Je me sentis soudain un peu mal à l'aise, à vrai dire si ça se trouve Ethan était venu lui présenté des excuses. Ethan prit alors la parole : -Lucie..., dit-il d'un ton très gêné, écoute... ne dit rien à Oscar je t'en supplie. Je recommencerai pas, j'ai bien compris que Emma aimait Oscar et pas un autre. Je ne savais pas pourquoi, l'intuition féminine peut-être même si je n'y croyais pas trop, mais au fond de moi je savais que Ethan mentait et qu'il recommencerait

Dans la « Complainte des pianos qu’on entend dans les quartiers aisés » rôde le souvenir d’une formule d’adieu (« tu t’en vas et tu nous laisses » ou « tu t’en vas et tu nous quittes ») devenue une locution populaire, et qui revient dans plusieurs rengaines humoristiques et chansons de carnaval : Tu t’en vas et tu nous quittes Tu nous quittes et tu t’en vas Si tu t’en vas, paye un litre Si tu restes, paye-z-en deux ![28] Quant à l’air prévu pour la « Complainte du pauvre jeune

elle aussi tachée et me la tendis. : « Donne .. la à ma femme, murmura t-il. -Dis pas ça ! Tu vas te relever et le lui donné, t'inquiète pas ! -Dis … Dis lui que je l'aime.. plus que tout, plus que ma propre vie .. la preuve , arriva t-il a plaisanter. Tu te souviens toi de ta vie avant ici ? Tu te souviens encore des visages des membres de ta famille ? Dit-moi que oui ou que tu vas essayer de t'en rappeler. Tu te souviens des moments où tu te moquais de moi parce-que je m'accrochais aux souvenirs

• Paroles de la saynète et de la chanson : Le professeur : Ohh là !!! Où est ce que tu t'en vas Léon ? Léon : - Ohh ma foi ! ça va ! Qu'est ce que tu fais ? Le professeur : - Comme tu vois je m'en vais planter les choux avec Louise et les enfants  Léon :- Et bien moi je vais venir avec toi ! Je vais garer mon tracteur , et je vous rejoins ! Le professeur : Mais dis moi Léon , est ce que tu as déjà planter des choux ? Léon :- Jamais  moi ! Louise et toi vous allez m'expliquer ! Le professeur :Allez

repos. Hémon. - Pas plus que tu ne peux enfreindre à ton gré les lois de mon père. Antigone. - Créon et ses gardes ne sont pas un obstacle pour moi. Hémon. - Pourquoi un tel sacrifice, une telle obstination ? Oublies-tu la sentence qui t'attend ? Je t'en supplie, Antigone, soumets-toi. Tu n'es pas faite pour mourir. Quand bien même tu recouvrirais de nouveau le corps de Polynice, les gardes enlèveraient la terre et te livreraient aussitôt à mon père. Tu n'aurais alors pas d'autre chance. Renonce donc

jeunesse » (ligne 1) qui cherche à interpeller les jeunes. « Songe » (ligne 1) est un impératif à valeur d’ordre qui peut être nuancé par le « je t’en supplie » qui nous indique que Zola se met en position de demandeur. Zola utilise le tutoiement pour créer un effet de proximité avec la jeunesse en utilisant « t’ » (ligne1), « tu es » (ligne 1) et « tu vas » (ligne 2). A la ligne 19, nous avons un impératif présent à valeur de conseil avec «ne commet pas le crime ». Zola enchaine alors sur une question