Tendresse

chaque parcelle d’émotion que peut susciter une telle calamité : peur, panique, colère, perplexité, souffrance et peine. Des rues de Newark au camp de vacances rudimentaire, haut dans les Poconos, Némésis dépeint avec tendresse le sort réservé aux enfants, le glissement de Cantor dans la tragédie personnelle et les effets terribles que produit une épidémie de polio sur la vie d’une communauté de Newark, étroitement organisée autour de la famille. III/ Les trois moments

de zeste de Combava (qui est une sorte de prison) et de crème fraiche, et du riz créole en guise de garniture. Papillote de poisson aux légumes du moment : filet de poisson cuit au four enveloppé d’un papier sulfurisé, afin de conserver la tendresse ainsi que les saveurs du poisson, accompagné d’une farandole de légume,( carotte, céléris, poireau) pour la saison hivernale. (Navet, pomme de terre, petit pois) pour le printemps. (mais, crourgette, poivron) pour la saison estivale), ou encore (chou

l’homme qu’il veut a ces coter ces une femme une femme qui voudrais vraiment m,avoir au prêt d'elle comme sa je veut dans ma vie,l'amour est quelque chose que l'on ne dois pas prendre à la légère c'est quelque chose qui doit être cultivé et entouré de tendresse SINCÈRE tu sais moi aussi je veux ton bonheur je veux que tu sois bien heureuse avec moi je veux même pas mettre dans ma tête de te fait souffris dans ma vie un jour je serais près de toi quand tu auras besoin de moi et je te donnerais tous ce que

trait. » En revanche le lecteur bénéficie d’une focalisation interne entre ces deux phrases ; cette focalisation permet encore de réunir les époux en faisant voir qu’au moment de mourir, ils partagent les mêmes sentiments. Le lexique fait place à la tendresse d’une enfance retrouvée : « éclataient en sanglots », « dans les bras l’un de l’autre », « faibles comme des enfants », « quelque chose de doux et d’attendri », « une consolation ». Au centre du paragraphe, le regard échangé est souligné par une

des raisons économiques. Mais le décès de leur grand-mère provoque le retour de leurs parents ainsi que de Marcel, leur 3ème frère né là-bas. Dès l’arrivée en gare, Jean et Freddy réalisent que leur mère Paule est une femme incapable de la moindre tendresse et que leur père, dominé par sa femme, ne prête attention qu’aux insectes qu’il collectionne. Les enfants subissent alors la Tyrannie de leur mère, Jean devenant le principal souffre-douleur de celle-ci. Il la surnommera, assisté par ses frères

emprisonnement, ou leur mort. - Activités : Nagg est un personnage pathétique : il est en demande de nourriture, en demande de tendresse, tel un enfant. Il lutte avec force en sollicitant un baiser inaccessible, en rappelant le passé amoureux révolu, en racontant la même histoire. Il lui importe de préserver le lien avec sa femme : que le langage et la tendresse demeurent. Ses efforts s’anéantissent dans le silence et les larmes lorsque son épouse meurt. Nell est le personnage de la lucidité

L’amour est-il un sujet de tragédie ? 1. Le problème se pose dès le XVIIe siècle : • L’amour ne serait être la passion principale d’une tragédie : pour ceux qui, comme Corneille et ses partisans, pensent que, sous certaines formes (tendresse, convenance mondaine ou passion irrationnelle), il dégrade les héros et les grands sujets ; pour les moralistes qui jugent que sa peinture est dangereuse. • Racine et certains théoriciens objectent que les français de leur temps s’intéressent aux problèmes

essence. Je ne peux imaginer la vie sans ta présence auprès de moi, sans la tendresse de tes paroles et la douceur de ta voix. J’entends encore le son de ta voix, à vrai dire ça ne s’arrête pas. Chaque fois que je me lève les yeux vers toi, je me noie dans tes yeux brillants et je me sens perdue dans ton regard, ton regard plein de douceur, ton regard plein d’amour, ton regard fascinant, ton regard plein de tendresse... Comment pourrais-je oublier un tel regard ? J’aimerais te serrer, te sentir

seul le meurtre , le crime, la haine, le désir de vengeance inaccompli qui sont vrais .Justement, puisque, dans ce retour à la réalité,les bonnes en présence de madame la vénèrent, elles se sont totalement métamorphosées, il s'agit d'une fausse tendresse, un faux respect, une fausse gratitude , toutes leurs conduites mentent. La phrase " Madame est bonne" peut être lue comme une formule à tendance sacrastique , dans une volonté nette d'assimiler la patronne à une domestique et ainsi niveler les

personnage effacé : une " pauvre femme " facile à contenter qui ne reparaîtra pas plus dans le roman. Zola ne prend pas la peine de la faire discourir au style direct, ce qui la place un peu en retrait par rapport à Saccard. Saccard a à son égard une tendresse un peu condescendante.     Saccard, lui, apparaît comme quelqu'un qui prend des initiatives, il est actif (" il l'avait menée ", " il l'attablait ", " il se lève ") et s'exprime au style direct. C'est un enthousiaste qui aime communiquer, il rit