Tendresse

« sang ». C’est pour cela qu’après le meurtre de son père, elle demande réparation au roi, requérant la mort de Rodrigue pour venger l’affront lui ayant été fait. Lorsque celui-ci refusera, elle acceptera le service1 de Don Sanche. Néanmoins, la tendresse de Chimène envers son amant n’a pas diminuée, mais en public elle prétend le contraire. Elle livre en combat en elle-même afin de demeurer fidèle à son devoir et ne pas accorder le pardon au fils de Don Diègue, malgré toutes les opportunités qui

Ce moment de partage renforce l’amour de deux personnes, en permettant une fusion que l’on ne peut pas atteindre autrement. C’est le seul moment où le couple ne pense qu’à lui, qu’à son conjoint, ne cherchant qu’une chose : apporter à l’autre la tendresse et le plaisir dont il a envie et besoin. C’est pourquoi il faut lutter contre la routine, la fatigue pour maintenir ces relations, même si la vie d’aujourd’hui, stressante, harassante, joue contre le couple. Ces relations doivent être spontanées

» (255a), et il comprend que « la part d'affection que tous les autres lui dispensent n'est rien si on la compare à celle que procure l'ami possédé par un dieu » (255b). Entre eux se noue une relation faite d'admiration et d'estime mutuelle, de tendresse et de proximité physique, qui fait à son tour pousser les plumes du jeune homme. Celui-ci tout ému, encore aveuglé, ne comprend pas ce qui lui arrive, il éprouve à son tour du désir pour son amant : il désire « voir, toucher, aimer et partager la

bondis dans les bras de Juliette qui m’attendait.  Après avoir henni, aboyé, rugi, blatéré, hululé et glapi tout notre saoul ». Elle n’a aucune de ses réactions passionnelles quand elle retrouve Rinri, même si ce dernier et Amélie ont des gestes de tendresse comme se tenir la main, ils ne montrent aucun geste qui exprime un tel amour entre eux. On remarque également qu’Amélie souffre sans sa sœur « Juliette retourne en Belgique. Je m’enfermais plusieurs heures pour hurler comme une bête. Quand ma poitrine

Tristan ; mais sachez, seigneurs, qu’il n’avait pas bu le vin herbé. Ni poison, ni sortilège ; seule, la tendre noblesse de son cœur lui inspira d’aimer. Iseut est reine et semble vivre en joie. Iseut est reine et vit en tristesse. Iseut a la tendresse du roi Marc, les barons l’honorent, et ceux de la gent menue la chérissent. Iseut passe le jour dans ses chambres richement peintes et jonchées de fleurs. Iseut a les nobles joyaux, les draps de pourpre et les tapis venus de Thessalie, les chants

le froid que de continuer cette existence morne. Elle continue d’évoquer ses regrets, mais, cependant, elle les associe à son amertume grâce aux trois oxymores continues « ils ont fait de moi une brute docile avec leur bienveillance molle et leur tendresse écœurante »(l.39-40) ou elle reproche, pour une énième fois à sa tante et son cousin d'avoir fait d'elle une femme qu'elle aurait préférée ne pas être, d'ailleurs, elle le dit dans la phrase « je n'aurais jamais voulu la quitter et traverser les

laisse pas le jeune page indifférent « est ce que j'ai cet air là » l15 cette réplique montre son étonnement et sa satisfaction. En fait elle est émue par la passion du page à son égard « mon ruban quelle enfance ! » l17, il y a un mélange de tendresse mais également de fierté qui se dégage de ses paroles d'ailleurs elle se montre ravie de ce qu'elle apprend on le voit à la didascalie « souriant » l17 La souffrance de l'épouse délaissée (l.27 à 43) A partir de la ligne 30 la comtesse se rappelle

ou un excès ? Le désir, suivant le moment, le contexte ou la personne, peut être un manque ou un excès. En effet, si je suis riche et que je suis désireux d'avoir encore plus d'argent, cela constitue un excès. Dans le cas où je suis désireux de tendresse, cela signifie que je suis en manque d'affection. Le désir peut être considérer comme une souffrance qui ne s'achève que provisoirement. On en peut donc se libérer du désir que par la mort. Le désir devient un excès lorsque que nous voulons une

éducation hors du commun. Si l’on sait tout l’amour que Montaigne portait à son père, on ne sait que peu des relations qu’il avait avec sa mère. Il n’est pas exclu que celles-ci furent particulièrement chaotiques. Le jeune Montaigne est élevé avec tendresse par son père, qui décide de lui apprendre le latin non pas comme seconde langue comme cela était d’usage, mais comme langue maternelle. À cet effet, il lui engage un précepteur allemand du nom de Horstanus qui ne doit s’adresser à l’enfant qu’en

nuages qui couvraient mes joies, et qui a décimé en moi tout signe de détresse sans en avoir l’intention. Elle, celle qui m’a donné l’amour et qui m’a couvert avec sa douceur, celle qui ma caressé avec sa bonté, qui m’a nourri et abreuvé de sa tendresse la plus équivoque; qui m’a réjoui et redonné les couleurs du printemps, aux roses et aux papillons. Elle, la providence de mon âme devant la chaleur de son charme féerique, mes croyances se fondaient, par son sourire de fée. Elle décime les astres