Tercet

penser à la fin de la vie. L'oppositon futur / passé (« serez », « direz » / « célébrait » (la femme était la muse du poète), « j'étais ») souligne la différence entre la beauté (propre à la jeunesse) et la vieillesse. Le premier tercet et le premier vers du second tercet opposent la mort du poète (champ lexical de la mort : « sous la terre », « fantôme », « sans os » et « repos ») et la vieillesse d'Hélène qui regrettera de ne pas l'avoir aimé (« regrettant [...] votre fier dédain ») Une déclaration

croisées ou alternées : abab embrassées : abba La régularité de la longueur des vers ou leurs irrégularité: octosyllabe «8 syllabes», décasyllabe «10 syllabes», alexandrin «12 syllabes». Le groupement des vers en strophe: distique «2 vers», tercet «3 vers», quatrain «4 vers», sizain «6 vers»

On à d'abord la mort qui se déroule au premier tercet, non pas dans des conditions effroyables mais un soir fait de rose et de bleu. Ensuite vient la délivrance accompagnée de la présence mystique de l'Ange qui vient ranimer joyeusement les flammes mortes. Finalement, une dernière évolution importante est à remarquer: la présence du nous/nos dans les deux premiers quatrains et le premier tercet mais son absence dans la strophe finale. Au dernier tercet, le nous disparait comme le couple et comme toute

que le début est rapporté au discours indirect. Passage au passé-simple, élément perturbateur. Il commence à exprimer son amertume envers l’echec de son voyage « je me vantais », « je discourais » les paroles prononcés avant étaient fausses 1er tercet : «ô » tonalité lyrique, il commence à développer ses sentiments. Rime voyelle nasalisée, la répétition du son [ouin] accentue la plainte de Du Bellay. Retour au passé-composé. « ô beaux discours humains ! » c’est un rappel de ses paroles d’avant

gens qu’elle connait et l’organisation qui aide, tout comme elle, les enfants juifs à passer la frontière Suisse. Ce poème n’a pas été publié dans un recueil de son auteure, il à été publier pour la première fois des années plus tard Composé d’un tercet, de 3 quintiles d’un quatrain et d’un duet, ce poème ne fait pas partit de ces poèmes à forme fixe, mais de ceux à forme variable, qui pourrait être en partit réalisé avec la technique de l’écriture automatique. Il traite de la prison , de la torture

« râteaux ». Donc, des moyens pour renouveler en quelque sorte ses forces. La comparaison, au vers 8 « comme des tombeaux » suggère la mort, et nous décrit en fait que la vie et le talent du poète est bouleversé à cause de ce temps. Le premier tercet nous éclaire sur une lueur d’espoir, avec notamment l’expression « et qui sait » qui nous interroge sur l’avenir, et un éventuel espoir. Cet espoir est symbolisé par une nouvelle saison, qui est le printemps. Avec l’utilisation des questions rhétoriques

quatrains et 2 tercets. C’est un sonnet en alexandrin. Les tercets fonctionnent ensembles. Il y a des rimes embrassées (rose, fleur, couleur, l’arrose) et des rimes suivies (nouveauté, beauté). « On » exprime une généralité. Il y a du présent de l’indicatif et du présent de l’impératif (seulement dans le dernier tercet). * Le poème n’a pas de titre, il est basé sur la comparaison entre la rose et Marie. * 2 quatrains la rose « comme on voit sur la branche ». 2 tercets Marie « Ainsi,

physique (quatrains) au regard moral (tercets) Adresse à la seconde personne qui ouvre le poème : « Toi qui… contemples ». Tout le poème est adressé à cette 2ème personne du singulier, figure du lecteur et de l’ami, figure aussi du touriste qui arrive à Rome et à qui Du Bellay s’adresse tout au long du poème. Les impératifs en effet sont utilisés ici comme embrayeurs de strophes poétiques : « Juge » ouvre le 2ème quatrain, « Regarde » le premier tercet. Le dernier tercet s’ouvre sur un futur de l’indicatif

artificiel, celui de la luxure, bien qu'on retrouve dans le premier tercet une allusion au vin, le premier paradis artificiel expérimenté par Baudelaire. On pourrait diviser ce poème en deux parties: la première serait composée des deux quatrains, la deuxième des deux tercets. En effet, les deux quatrains reprennent une hémorragie la traduction physique de la tendance du sujet lyrique à se répandre au-dehors alors que les tercets font état de cette "terreur" qu’inspire au poète cet épanchement involontaire

d’autres adeptes de l’art pour l’art du Parnasse. Pour ce qui est de sa forme, il est basé sur une organisation strophique présentant deux quatrains et deux tercet et un schéma de rimes à respecter, constitué exclusivement de rimes embrassées de la forme [ a ; b ; b ; a ] [ a ; b ; b ; a ] pour les deux quatrains, [ c ; c ; d ] pour le premier tercet et [ e ; e ; d ] ou [ e ; d ; e] pour le deuxième. Enfin, il présente une chute au niveau de la dernière strophe ou seulement du dernier vers. On a ainsi