Tercet

dont deux quatrains et deux tercets. Le poème varie entre douze et treize vers. Les quatorze vers possèdent chacun douze syllabes, donc ils sont des alexandrins. Dans les deux quatrains, l'auteur a utilisé des rimes embrassées, donc de type ABBA. Pour le premier tercet, les rimes sont croisées ou alternées (ABA) et pour le dernier tercet, les rimes sont suivies (ABB). Enfin, le poème à la forme fixe d'un sonnet puisqu'il est réparti en deux quatrains et deux tercets, soit quatorze vers de syllabes

Le refus des artifices a) Simplicité de la structure du sonnet Opposition entre 2 quatrains→ expriment les rêves passés et 2 tercets→ évoquent la réalité à laquelle est confronté le poète. Cette opposition est traduite par : OpposiØ entre série d'interroga dans 2 quatrains et série d'affirma dans 2 tercets Reprise dans les tercets de termes déjà employés dans les quatrains : « la Fortune (v1) / la Fortune (v.9) » « ce coeur (v.2) / mon coeur (v. 10) », de la généralité à

lors de sa résidence à Rome de 1553 à 1557 et publié à son retour à Paris en janvier 1558. Ce poème est un sonnet élégiaque, qui combine l’expression de la souffrance et de la mélancolie, écrit en alexandrin ; il est composé de 2 quatrains et de 2 tercets en rimes embrasées. Les thèmes principaux de ce sonnet sont le voyage malheureux ert la souffrance de Du Bellay. Comment le poète nous exprime-t-il sa nostalgie ? Dans un premier temps nous allons voir les regrets de Du Bellay d’avoir quitté son pays

râteaux" (vers 6) c’est-à-dire les outils de sa force créatrice. Il se résigne comme au déclin de sa vie. Ne fait-il pas déjà "des trous" creusés par l’eau des trous "grands comme des tombeaux" (vers 8.) ? PREMIER TERCET : COMME UN ELAN D’ESPOIR VERS UN NOUVEAU PRINTEMPS Le premier tercet suggère un élan d'espoir en commençant par : "Et qui sait" (vers 9). Ici on espère un printemps, des "fleurs nouvelles" (vers 9), ce qui évoque par ailleurs le titre même du recueil "Les Fleurs du Mal". A cette

filée qui porte sur les saisons et le climat. Dans le premier quatrain la jeunesse est comparée à un été bouleversé par le temps, dans le deuxième quatrain la maturité est comparée à l’automne, dans le premier tercet l’espoir du renouveau s’apparente au printemps et dans le deuxième tercet la présence destructive du temps s’oppose à l’hiver. Le poète s’implique dans la description puisque c’est de sa vie dont il décrit les étapes. La jeunesse du poète est comparé à un été bouleversé par les intempéries

quatrain=nuit Montrez la grande simplicité de construction du sonnet : Deux quatrains : marquent la fuite de la nuit et l’arrivée du jour. Construits de la même façon : déjà. Imparfait qui marque la durée. On attend quelque chose qui va se passer. Deux tercets : apparition. Passé simple qui marque la surprise et une apparition qui va capter l’apparition du poète et du lecteur. Chaque quatrain a une dominante : une couleur. Le 1er : le noir + qques lumières qui scintillent

nature, le chant de la rivière, les nuages (vers sept « nue »), un être couché sur l’herbe. L’adjectif « pâle » peut connoter la beauté, telle au XVIème ou XVIIème siècle, mais aussi la maladie. Un être malade ou mort est forcément pâle. Le premier tercet nous parle toujours de la nature. L’auteur nous parle des glaïeuls, fleurs que l’on met sur les tombes, les feuilles des glaïeuls symbolisent la mort. Rimbaud fait une comparaison entre le jeune soldat et un enfant malade. La nature est personnifiée

pour en arriver au thème du « Carpe Diem ». Il passe du sens concret de cueillir la fleur à l’abstrait cueillir la jeunesse. Il utilise aussi dans son sonnet pour Hélène, le thème du « Mémento Mori » dans le premier tercet pour en arriver à celui du « Carpe Diem » dans le deuxième tercet. Queneau fait de même dans son poème. Il reprend sur Ronsard le thème du « Carpe Diem » qui lui-même l’avait repris d’Horace. Il développe la métaphore filée de la rose « que leurs pétales/soient la mer étale/ de tous

du neutre de la 3ème personne, « on ne les voit jamais »… Il y a donc de la part de l’auteur une réelle volonté de le différencier lui-même de ces aveugles. Une volonté du locuteur de se moquer. Baudelaire utilise dans les deux premiers tercets une ironie plutôt cruelle. Avec le terme « Vaguement ridicules », il utilise une litote, qui en dit plus en feignant d’atténuer le propos. De même, avec l’expression « Contemple-les », il utilise l’impératif et sous-entends une admiration démentie

métaphore filée : 1er Quatrain : La jeunesse est comparée à un été bouleversé par les vicissitudes du temps. 2éme Quatrain : Le bilan négatif de la maturité est comparé à l’automne. On note l’annonce de la mort. 1er Tercet : Espoir d’un renouveau qui s’apparente au printemps. 2ème Tercet : démenti catégorique : la présence destructrice du temps s’oppose à tout développement et à toute croissance nouvelle (=l’hiver). Dans le premier quatrain, il fait évocation de sa jeunesse avec « Ma jeunesse