Tercet

sur toi. | Sonnet II extrait des Œuvres (1555) Ce sonnet de Louise Labé observe un certain respect des règles de la forme fixe, genre de prédilection des poètes du XVIème. Composé de décasyllabes organisés en 2 quatrains, rimes abba/abba et 2 tercets ccd/eed. Louise Labé y exprime une plainte élégiaque : le poème est destiné à l’homme qu’elle aime mais qui ne l’aime pas. Comment la poétesse va-t-elle mettre le sonnet et l’imagerie poétique élégiaque et pétrarquiste au service de son état intérieur 

laideur, elle est le contraire des caractéristiques de beauté du siècle de du Bellay, et c’est une satire des courtisanes de cette époque. Il apporte une touche de modernité à la poésie. Ce texte est un sonnet composé de deux quatrains et de deux tercets, eux-mêmes écrits en alexandrins. Au premier abord, le poème peut sembler être un éloge de la beauté d’une femme, cette éloge étant accentuée par l’anaphore de l’interjection « Ô » au début de plusieurs vers et la répétition du mot « beaux » (ou belles)

alors la métrique des vers n’obéit pas à un ordre, il y a une certaine liberté. Les vers sont structurés en quatre strophes dont les deux premières sont quatrains et les deux derniers sont tercets, ce qui rend évident la structure bipartite toujours présente dans les sonnets. Cette division en quatrains et tercets apporte un changement d’attitude qui est accompagné d’un changement de rythme. Dans les deux quatrains, le rythme est rapide, ce qui dénote un état animique heureux, rempli d’espoir, de désir

titre Prince des poètes. Étant donné que le poème est un sonnet, il est composé de deux quatrains et deux tercets. Les deux quatrains ont toujours la même rime, c’est une rime fixée ABBA ABBA, embrassée. Cependant, la rime des tercets peut varier en fonction du type de sonnet que l’auteur utilise. Dans ce cas, il choisit ce qu’on appelle le sonnet « régulier » de Peletier, donc la rime des tercets est CCD EDE et les vers sont en alexandrins. Les rimes, dans tout le poème, sont des rimes suffisantes

| hantant le bord des eaux... | a | masculine |   |   |   |   |   |   |   | 3e strophe1er tercet | 1 | C’est la nuit que je pleure, |   | étouffant de tendresse, | c | féminine | | 2 | Implorant mes demains |   | d’alléger ma détresse, | c | féminine | | 3 | Mais nul écho, jamais, |   | ne répond à mon cri! | d | masculine |   |   |   |   |   |   |   | 4e strophe2e tercet | 1 | La lune ignore, aux bois, |   | mes sombres nonchalances, | e | féminine | | 2 | Epouse vainement

s'opposent aux deux tercets. Les deux quatrains posent des questions alors que les deux tercets donnent des affirmations. Dans les deux quatrains, Du Bellay nous parle de son passé, de sa vie heureuse, de ses amours "doux plaisirs" mais nous parle particulièrement de sa liberté car il va la perdre. Dans les deux tercets, il nous parle du présent, qu’il a tout perdu et surtout sa liberté en utilisant le mot "serf". Les deux quatrains nous informent d’un passé heureux et les tercets d’un présent de

une grande sœur que le poète n'a jamais eue. C'est une femme gracieuse, au regard doux, romantique, avec de grands yeux dans lesquels on perçoit le rire ou les larmes. C'est une femme honnête, sincère, qui a une âme pure et bonne. Dans le dernier tercet, elle s'éloigne un peu du schéma idyllique en ayant des soucis mais qui sont porteur d'espoir, de vie comme les hirondelles qui annonce le renouveau de la nature au printemps. - Le vouvoiement Verlaine dédie ces quelques vers à une inconnue, sa

ANALYSE DU POEME « LA BEAUTE » DE BAUDELAIRE : Écrit en 1857, ce poème est un poème du recueil « les fleurs du mal » Il aborde le thème de la Beauté, comme nous l'indique le titre. C'est un poème Lyrique composé de deux quatrains et deux tercet : un sonnet. Dans son poème Baudelaire expose l'idéal féminin à travers une femme. Premier quatrain : -pronom de la première personne : « je » féminin : « je suis belle » v.1 Baudelaire présente la beauté dans le personnage à travers le corps

I) Peuple héros et victime : Le titre peut surprendre : " Victoire " étant ici utilisée antinomique (antithèse). C’est la victoire du peuple alors que c’est celle des Allemands. Ce poème n’a pas de ponctuation. Strophes hétérogènes : distique, tercet, quatrain, quintile donnent un rythme tantôt lent, tantôt haché qui traduit bien l’indignation d’Eluard. 1- Le beau monde et les valeurs morales. L’expression " Beau monde " est située en tête de vers : insiste sur la beauté du peuple. Il parle

physique. Si au fil de la progression, on observe la femme en tant que terme constant du poème, elle passe dans le vers 2 du rôle de " femme inconnue " a celui d'un sujet d'amour " que j'aime " puis d'un sujet aimant " qui m'aime ". Dans le dernier tercet, elle s'éloigne complètement " des voix qui se sont tues ". - Le flou de son portrait Il n'est pas question d'une femme en particulier mais de la femme en général. Elle n'est pas nommée parce qu'elle n'a pas d'identité, parce qu'elle reste floue