Tercet

de son amante, imagine) - L'odeur de son amante déclenche une série de perceptions visuelles, olfactives et auditives. - La description est construite autour du verbe "voir" : soit de façon explicite (1er quatrain : "Je vois se dérouler" et 1er tercet: "Je vois un port") soit de façon implicite (2ème quatrain) - Dans le 2ème quatrain, la description se présente sous forme d'une expension nominale, avec des éléments qui caractérisent l'île. - descripteur : poète qui décrit sa situation : il est

prendre son passe-temps , DMS Que pas à pas nous suit l’importune vieillesse, CFS Et qu’Amour et les fleurs ne durent qu’un Printemps. DMS Ce sonnet est composé de 2 quatrains et 2 tercets. Il est entièrement écrit en alexandrins. Il est non conventionnel a cause de son schéma de rimes dans les 2 derniers tercets qui de la forme CDC DCD. Ce poème raconte comment Hélène lui offre des fleurs pour le faire souffrir ou pas. Ronsard, lui, crois que non. Il nous donne une leçon pour terminer : Il faut

frou-frou. Nombre de vers : 4 Nom de la strophe : quatrain Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Nombre de vers : 3 nom de la strophe : tercet Nombre de vers : 2 Nombre de vers : 5 distique quintil La qualité des rimes : oiseau nouveau combien de sonorités communes ? 1 [o] rime pauvre fille brille combien de sonorités communes ? 2 [i] [lle] rime suffisante course Grande-Ourse

notre cas, cette source d'inspiration prendra la forme d'une femme. Pour l'analyse à proprement parler de ce sonnet irrégulier de part son schéma des rimes, c'est un processus linéaire qui a été retenu. Un découpage en deux parties (2 quatrains – 2 tercets) nous permettra de bien comprendre la chose. Dans ce premier quatrain, le contexte spatio-temporel est posé. « Au pays parfumé que le soleil caresse » fait référence à une île française, surement la Réunion. Des termes très doux sont utilisés pour

que « Je perds à chaque marche et le pouls et l'haleine ». Ainsi le poète et la femme se croisent-ils a chaque strophe sans jamais se rencontrer. Au poète sans cesse en mouvement, ainsi que l'illustre le vers 5, Hélène au premier vers du premier tercet oppose sa situation immobile et dominante, « assiste en si haut lieu ». Se met donc en place une opposition mobilité/immobilité et surtout bas/haut qui matérialise la distance quasi-infranchissable que le poète consent malgré tout, pour servir sa

représente : - le mélange architectonique de la ville (1er Quatrain) - la multitude et la diversité des gens (2ème Quatrain) - les nombreux aspects négatifs de Paris comme la pouvreté, la criminalité et la couardise (1er Tercet) - les différents bruits urbains (2ème Tercet) 2) A’ la fin de la poésie, depuis une longue description impersonnelle, le poète s’adresse directement aux lecteurs pour demander leur avis et pour les étonner en allant à la rencontre de leur besoin de nouveauté et des

l’accumulation des images font de cette strophe une illustration visuelle des désastres du temps. Ces désastres préfigurent la mort comme le suggère la composition du vers 8 « tombeaux », la vie et l’inspiration sont ravagés par le temps. III. 1er tercet Il suggère une hypothèse (v9) qui apparaît comme un élan d’espoir. Celui-ci prend appui sur les images de la strophe précédente dans le cycle des saisons, l’automne et l’hiver associés à la mort font espérer le retour du printemps (v9) : « les

évoquée lors de la première strophe. Premier tercet: Dans la troisième strophe les souvenirs laissent place à la remise en question. Au neuvième vers, il s'identifie à des personnages de la mythologie grecque , à un roi (lusignan) et à un personnage des "Légendes du Valois". Il fait ensuite référence à un baiser que lui eut deposé la reine Adrienne sur le front (cf. Sylvie) Puis ensuite il onge à ses méditaions champêtres. Deuxième tercet: Dans le douzième vers il évoque des moments pathétiques

corps et âme par biais V « fleurir », intérieur/extérieur= « cœur »/« yeux », rapprochement oxymorique entre « flamme » et « humides brouillards » (rapprochement retrouvé ds invitation au voyage) ; 1er tercet : V « parcourir »=implique distance, « formes « =relief corroboré par « versant » ; 2ème tercet : transformation opéré= « l’ombre d’eux »=se sert parti géante pour trouver ombre, « au pied d’une montagne »=grandit et devenu paysage. 2) Poète changé aussi : Poète : devient « chat » par comparaison

» (5ieme et 7 ieme vers) L’interjection « Hélàs » est à la césure du 5ieme vers Il y a une anaphore : plus…plus…plus… Dans le 1er quatrain il y a une aspiration au voyage et une aspiration au retour vers la terre natale Dans le 1er et 2ème tercet, on voit une comparaison et une opposition entre le pays d'exil et le pays natal. Il y a des répétitions de la structure comparative qui renforcent l’opposition: Plus….que. On voit des oppositions dans la versification : Les rimes féminines =