Terre de bruyère

Livres V à X, Caractères , 1688, Jean de La Bruyère : La comédie sociale. Jean de la Bruyère (1645-1696), est né dans une famille de juristes. Après des études de droits, et l’obtention d’un héritage qui va l’anoblir, il devient le précepteur du Duc de Bourbon. Sacrifiant à l’esthétique classique, en 1688, il fait paraître, seul, les Caractères ou les Mœurs de ce siècle , de manière

La mort du loup I Les nuages couraient sur la lune enflammée Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée, Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon. Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon, Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes, Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes, Nous avons aperçu les grands ongles marqués Par les loups voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine

« maladie » et assure que ses conséquences sont irréparables. D’autre part, La Bruyère donne l’exemple dans un extrait des Caractères , d’une injuste victime dont il fut probablement le précepteur, Jeune Soyecour. Cet exemple lui permet d’expliquer de manière concrète l’absurdité et l’injustice de la guerre. Pourquoi tuer un jeune homme « pénétrant,élevé,sociable » au prix de « quelque morceau de terre de plus ou de moins » ? Enfin, la question de la guerre

la dimension pathétique du passage et l’identification du lecteur à ces bêtes. - L’importance de l’idée de la mort L’identification et le pathétique sont accentués par la dimension tragique du passage : ces chevaux sont condamnés à mourir sous terre. Déjà dans les lignes 17–20 : « on descendait le cheval et c’était toujours une émotion, car il arrivait parfois que la bête, saisie d’une telle épouvante, débarquait morte ». L’idée de mort clôt le passage et en suggère le caractère définitif (condamnation

matérialistes (Italie) et du libertinage (en France, cf. Théophile de Viau) • Ces idées non religieuses sont punies I.3. Vie culturelle et productions artistiques • Interrogations, savoir remis en question sur le monde, sur la place de la Terre de l’Univers à cause de la théorie héliocentrique de Copernic, puis Galilée • Conséquences du point de vue artistique : plus d’imagination, de fantastique, d’irrationnalité et naissance du mouvement baroque (appellation postérieure) • Le

lentement se greffer d'autres espèces tel que les Droséras. La tourbière n'est qu'un stade intermédiaire d'évolution de l'écosystème puisqu'à terme, un comblement total sera observé avec l'apparition de nouvelles espèces comme des éricacées (bruyères) évoluant ainsi vers la lande tourbeuse puis encore plus tard vers la forêt. .L’évolution d’une tourbière passe par 5 phases : l’eau libre, le radeau flottant, le tremblant, le bombage et l’affaissement : 1. L’eau libre Partout où la topographie

Corpus des 3 Textes Le procédés de la guerre es dénoncée par différentes perceptives. Dans le texte A de Jean de La Bruyère le procédés est dénoncée par des animaux. Car eux contrairement à l‘homme, il n’ont pas d’armes et ils se battent mieux. L’homme à pars se faire des égratignures au visages ou au plus s’arracher les cheveux avec les mains, que faire d’autres ? Les animaux eux ont leurs griffes et leurs dents pour se battre. Pour l’homme se battre ces avec des instruments commodes qui nous

par l'intermédiaire de la nature. Le champs lexical du ciel est ici l'instrument d'Apollinaire pour ce poème. « Anges, ciel, couleurs, plume, soleil ». L'ADIEU J'ai cueilli ce brin de bruyère L'automne est morte souviens-t'en Nous ne nous verrons plus sur terre Odeur du temps Brin de bruyère Et souviens-toi que je t'attends L'Adieu (Explication) : Il existe des ambiguïté dans ce poème : dans les vers 2-3, il est question d'un deuil mais on ne sait pas de quel deuil

Histoire naturelle et sociale au XIXème siècle. Le plan de l'auteur : La descente aux enfers est matérialisée comme si la mine et ses profondeurs représentaient l'enfer des Grecs. La scène se situe presque exclusivement dans les "entrailles" de la terre, la mine. L'extérieur est à peine évoqué comme une réminiscence (la bonne odeur du grand air, l'odeur oubliée du soleil...) Les éléments d'interprétation développés : Comparaison et métaphore filée « C'était comme… » est une expression très fréquente

entrainement facultatif – Séries ES - S | Objet d’étude : La question de l’Homme dans les genres argumentatifs. Textes Texte A : La Bruyère, « De l’Homme », 128, in Les Caractères 1688. Texte B : Fénelon, Lettre à Louis XIV, 1693. Texte C : Victor Hugo, Discours à l’Assemblée, 30 juin 1850. Texte D : Arthur Rimbaud, « Les Effarés », 1870 |Texte A