Terre du Milieu

développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987). En 1992, le Sommet de la Terre à Rio, tenu sous l'égide des Nations unies, officialise la notion de développement durable et celle des trois piliers (économie/écologie/social) : un développement économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement soutenable. Le développement

consomment 86 % des ressources de la Terre. Les végétaux fournissent notre oxygène, les forêts et les zones humides purifient notre eau, les plantes sont les seuls médicaments de plus de la moitié de la population mondiale. Nombre de petits animaux évitent la prolifération de maladies chez l'homme en stockant les agents pathogènes... Nous avons besoin de la biodiversité. Maintenant, la biodiversité a besoin que nous la respections. Un milieu humide est une terre imbibée ou saturée d'eau : une véritable

Peycru PROGRAMME 2010 2 Sciences de la Vie de et de la Terre POUR COMMENCER L’ANNÉE tout le manuel vidéoprojetable dans votre spécimen POUR LES ÉLÈVES Le manuel feuilletable en ligne www.lyceehatier2010.com Manuel papier : – déjà disponible – existe aussi en format compact SVT 2 Sous la direction de Pierre Peycru Auteurs Anne Cynober Yves Darbarie Christelle Guilloux Sci Sciences de la Vie de et de la Terre Manuel interactif Françoise Jauzein Guy Ménant Professeur

dire une culture in vitro de germes de pommes de terre. Nous extraierons différentes parties de la pomme de terre afin de voir si l'une d'entre elles se clone plus facilement qu'une autre.   Matériel : * Agar-agar * Boîte de pétri * Eau distillée * Eau de javel fraichement préparée (berlingot de 250mL du commerce mélangé à 750mL d'eau distillée) * Alcool à 70° et 90° * Scalpel, pinces longues * Plaque chauffante * milieu de culture : liquide de Knop, c'est à dire 1g

2nde 10 Devoir de Sciences et Vie de la Terre Je sais que le vivant a indispensablement besoin d’eau pour pouvoir vivre sur une planète. Il est composés de 60 à 99 % pour certain de cette molécule. Je conclus que, notre connaissance de la nature chimique du vivant est un moyen de rechercher la vie en dehors de la Terre en cherchant de l’eau sur une autre planète du système solaire. Comme sur Mars, où nous avons trouvé des traces

BOCOUM Madina 1S3 Lundi 24 septembre 2014 Compte-rendu du TP n°7 : les apports des ondes sismiques dans l’étude de la structure interne du globe Introduction : Un tremblement de terre, aussi appelé séisme, est dû à une rupture des roches en profondeur. Cette rupture a lieu au foyer, l’hypocentre, et ce dernier produit une projection à la surface du globe, c’est l’épicentre. Suite à un séisme, des vibrations sont émises, ce sont les ondes sismiques. Il en existe deux sortes :

INTRODUCTION Les facteurs écologiques sont tout les éléments du milieu scuceptible d’agir directement au moins durant une partie de leur cycle de développement. On utilise les facteurs écologiques pour décrire et analyser un écosystème ou une éspèce donnée. On classe les facteurs écologiques en deux catégories: les facteurs biotiques et les facteurs abiotiques. Les premiers comprennent l’ensemble des caractéristiques physico-chimiques du milieu, et les seconds l’ensemble des intéractions qui se réalisent

Thème 1 : La Terre dans l’Univers, la vie et l’évolution du vivant : une planète habitée | Connaissances | Capacités et attitudes | L’histoire de la Terre s’inscrit dans celle de l’Univers. Le développement de la vie sur Terre est lié à des particularités de la planète. La vie émerge de la nature inerte. Les êtres vivants possèdent une organisation et un fonctionnement propres. Leurs formes montrent une diversité immense, variable dans le temps, au gré de l’évolution. | Les conditions de

utilisée par certaines bactéries ou par les paramécies : elle consiste en l’agitation de très nombreux cils (extensions locales du cytoplasme et de la membrane) qui, en bougeant permettent à l’être vivant de prendre appui sur une substance de son milieu et donc de se déplacer. Les spermatozoïdes, eux, possèdent des flagelles, qui sont aussi des extensions cytoplasmiques, mais plus longs que les cils et en nombre bien moins important (les cils peuvent se compter par milliers). Paramécie (les

carnivores (par exemple les espèces du genre Friesea) qui se nourrissent de nématodes, de protozoaires et de rotifères[13]. Les collemboles peuplent les sols, mais également les rochers, troncs d'arbres et autres milieux en contact plus ou moins direct avec le sol, ainsi que les milieux humides tels que mares et tourbières. Il existe même une espèce marine vivant dans la zone intertidale, Anurida maritima[14]. Dans chaque type d'habitat on trouve un grand nombre d'espèces qui cohabitent, mais la