Terreur nocturne

tard peut-être il se trouvera une intelligence qui réduira mon fantôme à l’état de lieu commun, — quelque intelligence plus calme, plus logique, et beaucoup moins excitable que la mienne, qui ne trouvera dans les circonstances que je raconte avec terreur qu’une succession ordinaire de causes et d’effets très naturels. Dès mon enfance, j’étais noté pour la docilité et l’humanité de mon caractère. Ma tendresse de cœur était même si remarquable qu’elle avait fait de moi le jouet de mes camarades

resplendissante. Maintenant nous allons tenter de démontrer la signification de ce poème. Dans ces phrases Francis Ponge veut nous faire passer un message d’espoir. En effet la nuit est depuis toujours dans la culture de notre monde un mot synonyme de terreur. L'idée de danger vient du fait que le noir peut cacher des dangers réels ou alimenter la peur et le fantasme. Les contes et légendes, les mythes puis le roman et le cinéma évoquent souvent la nuit pleine de mystères ou chargée d'angoisse. La nuit

méditations : devant la naissance et la mort, l’univers réel et l’univers imaginaire, la foi, notre existence. Nous sommes nourris d’images toutes faites l’extrême, savons-nous ce qu’est le retour du printemps, le lever du jour, le couchant, les terreurs nocturnes, la hantise de la faim, des épidémies ? Aux époques médiévales, les intempéries conditionnent le vivre et le mourir; la famine étend son spectre; l’affreuse mort ne cesse de faucher; une absence de pluie multiplie les cadavres; l’accord

toujours près de l'eau", raconte une nuit d'épouvante qu'il a vécue sur sa barque. Le fleuve était parfaitement tranquille, mais je me sentis ému par le silence extraordinaire qui m'entourait. Toutes les bêtes, grenouilles et crapauds, ces chanteurs nocturnes des marécages, se taisaient. Soudain, à ma droite, contre moi, une grenouille coassa. Je tressaillis : elle se tut ; je n'entendis plus rien, et je résolus de fumer un peu pour me distraire. Cependant, quoique je fusse un culotteur de pipes renommé

proximité de la cité d'Argos. Le marécage était devenu le repère de l'animal dans lequel disparaissaient de nombreux téméraires qui avaient tenté de s'y aventurer. Des rites nocturnes en l'honneur de Dionysos avaient lieu chaque année à Lerne puisque c'était ici qu'il était descendu au Tartare. L'immense reptile faisait régner la terreur en ravageant le bétail et en saccageant les récoltes de cette région fertile et sacrée. Héraclès et l'hydre de Lerne : Depuis sa naissance, Héraclès était poursuivi

caractérisée par une tension artérielle faible, ainsi que par une activité cardio-respiratoire assez régulière et ralentie. Cependant, l'individu peut se réveiller en pleine nuit comme c'est souvent le cas et peut être victime notamment de terreurs nocturnes. Enfin, le sommeil profond constitue le dernier stade du sommeil lent. C'est le moment ou l'organisme secrète des hormones de l'hypophyse , car la quantité d'hormones augmentent considérablement durant la nuit. Elle dure elle aussi environ

technique et au progrès. On peut envisager deux aspects. A/ La Terreur à l’ère industrielle La technique elle-même peut être mise au service de la terreur. Ex : la 1ère GM > guerre démocratique et industrielle, avec du matériel nouveau : pluie d’acier, gaz. 20 Millions de morts, le nombre de victimes dépasse toutes les horreurs, de la main de l’homme qui utilise la technique. Les deux parties sont épuisées par cette guerre. Ex : la terreur nazie. On se trouve dans une époque d’extermination professionnelle

Auguste, il a donc une ascendance prestigieuse. Mais lorsqu’il arrive au pouvoir, Néron se change en un despote cruel et sans aucune morale. A partir de 59 il règne un climat de terreur dans Rome, notamment à cause de crimes et de suicides douteux. Tigillin, préfet du prétoire et proche de Néron entretient ce climat de terreur sans que le Sénat ne s’interpose. Le premier siècle de notre ère voit naître de nouvelles religions, judaïsme et le christianisme. Mais la tolérance des romains se heurte à

cauchemars, nuits agitées, terreurs nocturnes… que se passe t-il ? Comment s’en sortir ? Au secours ! Notre enfant ne veut pas dormir ! Le coucher en le berçant : « Eureka ! ». Évidemment, une fois qu’il est grand cela apparaît comme difficile, voire impossible. Le mal de dos l’emportant, il faut donc trouver une autre solution. Dormir dans le lit à barreaux jusqu’à l’endormissement avec nos chères têtes blondes ? Les faire dormir avec nous ? Faire un tour de voiture nocturne ? Ou peut-être un tour de

tard peut-être il se trouvera une intelligence qui réduira mon fantôme à l’état de lieu commun, – quelque intelligence plus calme, plus logique, et beaucoup moins excitable que la mienne, qui ne trouvera dans les circonstances que je raconte avec terreur qu’une succession ordinaire de causes et d’effets très-naturels. Dès mon enfance, j’étais noté pour la docilité et l’humanité de mon caractère. Ma tendresse de cœur était même si remarquable qu’elle avait fait de moi le jouet de mes camarades. J’étais