Terreur nocturne

Comment ce texte qui mêle réalisme et fantastique laisse-t-il transparaitre le paysage intérieur de Pierre ?I/ Un texte qui nous transporte du réel au fantastiqueII/ Un paysage qui laisse deviner un homme perturbé : le portrait intérieur de Pierre. Guy de Maupassant est un journaliste et écrivain français. Il nait le 5 août 1850 en Normandie. Lié à Flaubert et Zola, il marque la littérature française par ses romans et ses nouvelles qui allient parfois réalisme et fantastique. Il écrit

tricolore remplace le drapeau blanc, les ecclésiastiques doivent jurer fidéliter à la nation, instauration des droits d'auteur pour les découvertes et les inventions. 20 au 25 juin 1791 : le roi fuit apeuré par les initiatives de l'Assemblée, la fuite nocturne se déroule d'abord parfaitement mais l'assemblée constatant sa disparition, ordonne la fermeture complète des frontières du royaume. Le 22, le roi est reconnu grâce à une pièce de monnaie à Varennes. 3 septembre 1791 : la constitution est terminée

me tienne contre son thorax pour que je puisse m’apaiser et enfin dormir. Je suppose que le rythme de sa respiration et les battements de son cœur m’apaisaient. Ces difficultés à trouver le sommeil sont d’ailleurs toujours d’actualités. Les terreurs nocturnes * P.154 : «Quand un enfant a des cauchemars, c’est que l’activité de la journée l’a laissé dans un état de tension ; l’activité continue pendant le sommeil et comme elle n’ a plus de limites, elle prend des formes très fantasmatiques. »

radicales de la Révolution – démocrates et sans-culottes – qui ont beau jeu de dénoncer la duplicité de Louis XVI et les dangers que font courir en France et hors des frontières tous les « aristocrates ». Organisée en secret en juin 1791, la fuite nocturne du roi et de sa famille, qui quittent le 21 Paris pour gagner la frontière de l’est, fait éclater au grand jour les contradictions qui divisaient l’Assemblée. Reconnu dans le village de Varennes, Louis est ramené à Paris. Les Fayettistes tentent

1935, il est pianiste à Radio Pologne et commence à composer de nombreuses musiques de film (Wrzos- 1937, Dr Muret en 1939). C’est lui qui tenait l’audience lors de la dernière émission de radio en direct le 23 septembre 1939, où il interprétait le nocturne en do# mineur de Chopin Après la guerre, il contribue à la restauration majeure de la vie musicale polonaise et dirige le département musique à la radio jusqu’en 1963. Pendant cette période, il ne compose pas moins de 500 chansons, ainsi que des

jour-là une marque, une empreinte de peur, me comprenez-vous ? Oui, j’ai subi l’horrible épouvante, pendant dix minutes, d’une telle façon que depuis cette heure une sorte de terreur constante m’est restée dans l’âme.23 Le vieillard ajoute qu’il éprouve depuis une peur permanente, en particu- lier la nuit. Cette terreur nocturne, qui frappe plutôt l’enfance, laisse le lecteur dans l’attente d’une expérience limite hors du commun. D’ailleurs, comme la confidence de Roger des Annettes, le récit s’achève

quelle peuplade féroce, que la vue seule de la silve germanique terrorisait, anéantissait. L'épouvante de tout homme, qu'il soit isolé ou en groupe, qui compare sa petitesse et sa faiblesse à la majesté impassible et redoutable des arbres. Lieux des terreurs sans nom, la forêt est l'endroit où tout devient possible, où la rencontre des êtres que la raison et la logique refusent, apparaît normale, où les jeux infiniment variés et infiniment dangereux de la nature entraînent dans leur vertige le voyageur

CSTI Les rituels du Ku Klux Klan 31/10/2011 Table des matières Introduction historique 6 1. Le premier Klan 6  Après-guerre et restructuration 6  Naissance du Ku Klux Klan 6  La terreur blanche 6  Dissolution 7  La mort du Klan ? 7 2. Résurrection : 1915-1944 7  Naissance d’une nation 7  Les faiblesses du Ku Klux Klan et son déclin 7 3. Le troisième Klan : de l’après-guerre aux lois civiques. 1944-1967 8  Renaissance et déclin 8  Violence et répression

serait facile de se venger de Duffe lorsqu’il viendrait, comme souvent, loger à Fores, sans autre garde que celle du château, entièrement à leur dévotion. Shakespeare a repris les circonstances du meurtre : ivresse provoquée des chambellans, forfait nocturne, prodiges qui l’accompagnent… La suite de la tragédie reprend la vie de Macbeth qui, tenaillé par la peur et le remords, se montre cruel. Il assassine Banquo. Il jalouse la puissance de Macduff et tente de le tuer. Macduff, prévenu du danger, passe

jour-là une marque, une empreinte de peur, me comprenez-vous ? Oui, j’ai subi l’horrible épouvante, pendant dix minutes, d’une telle façon que depuis cette heure une sorte de terreur constante m’est restée dans l’âme.23 Le vieillard ajoute qu’il éprouve depuis une peur permanente, en particulier la nuit. Cette terreur nocturne, qui frappe plutôt l’enfance, laisse le lecteur dans l’attente d’une expérience limite hors du commun. D’ailleurs, comme la confidence de Roger des Annettes, le récit s’achève