Tertiarisation

s’accentuer surtout depuis les années ’90. Il y a plus de pauvres (individus avec revenu inférieur au 60% de la médiane des salaires) et du chômage de longue durée. Le développement s’accompagne de différentes modifications de structures: → Tertiarisation des emplois et de la production : Le secteur tertiaire devient le prépondérant. Les besoins des secteurs primaire et secondaire n’augmentent pas beaucoup car les ménages sont déjà équipés, et la production augmente de toute façon grâce au progrès

d’immeubles collectifs très luxueux Ville traditionnelle, commerciale et artisanale exiguë et surpeuplée Secteurs de la première industrialisation au nord Ensembles de bidonvilles (slums) dans les interstices de la ville. B) Ville-centre, tertiarisation et gentrification ont expulsé les usines et favorisé l’installation des classes supérieure et moyenne. Convoitises immobilières. Les autorités ont aménagé sur le continent la ville nouvelle de Navi Mumbai. C) Une agglomération extensive

dans ces mêmes industries en Asie du Sud-Est. La convergence de ces deux statistiques (6,5 millions dans les deux cas) est troublante mais on sait que d’autres facteurs ont influencé la désindustrialisation des pays riches : la robotisation et la tertiarisation de l’économie par exemple. La Délocalisation crée un dumping social déloyal,envers les emplois des pays riches. Des études montrent qu’en réalité, la nature et les causes des délocalisations ne sont pas si simples. En 1997, le National Bureau

appuie sa thèse de la moyennisation sur plusieurs éléments. Ce premier critère fait référence a la croissance économique qui va permettre une augmentation continue des salaires et une diminution des inégalités salariales. Mais également la tertiarisation de l'emploi qui fait que des emplois se développent dans diverses strates sociales (des ouvriers aux grands cadres), sans que l'on puisse les attribuer à une classe particulière, et sans qu'une identité de classe unisse les travailleurs du tertiaire

économiques sociaux et politiques. • Transformations de l’appareil de production : tertiarisation et désindustrialisation massives, féminisation, qualification.  La baisse du monde ouvrier, bastion traditionnel très syndiqué comportant une importante conscience de classe, donc très impliqué au sein de l’action collective est un facteur de désyndicalisation. Ce déclin s’explique par la désindustrialisation et la tertiarisation de l’économie dues au progrès technique et à la hausse de la qualification.

«récemment» accéder à la phase impérialiste de développement tels le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud. (8) La tertiarisation de l’économie capitaliste. http://www.toupie.org/Dictionnaire/Tertiaire.htm Encyclopaedia universalis. Voir l’article sur l’économie de services. http://www.universalis.fr/encyclopedie/economie-de-services/1-de-la-tertiarisation-a-l-economie-de-services-des-vues-conflictuelles/ (9) Les 1% qui dirigent l’économie. http://www.centpapiers.com/quand-la-science-decouvre-les-1-qui-dirigent-leconomie/

classe moyenne, et ce, pour diverses raisons. Nous observons la conséquence du phénomène de moyennisation, étudié surtout par le sociologue Mendras, qui s’appuie sur deux idées fondamentales : tout d’abord, cette moyennisation apportée par la tertiarisation, la consommation et culture de masse, ainsi que la démocratisation de l’enseignement ont fortement contribué au fait que les individus accèdent quasiment aux mêmes choses ; ainsi, les clivages et distinctions de classes, à la fois en terme de

ininterrompue du secteur tertiaire La baisse régulière du nombre d'actifs dans les secteurs primaire et secondaire (même si celle-ci est lente) s'accompagne d'une croissance du secteur tertiaire. Elle témoigne de profonds bouleversements sociaux. a. Une tertiarisation de l'économie La croissance économique ainsi que les progrès accomplis dans les technologies d'information et de communication permettent à ce secteur tertiaire d'employer un nombre toujours plus importants d'actifs. Le développement de ce secteur

porter leur demande vers un nouveau secteur. La production augmentera donc dans ce nouveau secteur, ce qui sera source de création d’emplois. On parle de « déversement » car les emplois détruits sont plus que compensés par les emplois créés. La tertiarisation en est une conséquence (du déversement). En effet, historiquement, le progrès technique est d’abord apparu dans le secteur primaire, ce qui a détruit des emplois dans ce secteur, et en a créé dans le secteur secondaire (l’industrie) vers où la

croissance du secteur tertiaire une croissance remarquable Le secteur le plus hétérogène et la croissance la + remarquable : de 3M à 8,5M en 1960, en 1974, plus de 50% de la population active y est employé, 77% aujourd'hui. On parle de tertiarisation de la société. 2) un secteur très hétérogène la domesticité est en recul : très forte au 19°, concernant aussi bien les H que les F, elle se féminise avant 1914 et diminue tout au long du XX°. Le patronat est très divers