Texte Les Obsèques De La Lionne

: Verlaine, « Melancholia », Après trois ans, in Poèmes saturniens Dissertation : La poésie a-t-elle seulement pour unique but l’expression de sentiments personnels ? Invention : Imaginez la réponse que Monsieur Prud’Homme adresserait au poète. Ce texte aura la forme d’une lettre et respectera le registre que Paul Verlaine prête à ce personnage. Questions : 1) Quelles remarques pouvez-vous faire sur la forme poétique de chacun de ces poèmes ? 2) Quelles fonctions les poètes attribuent-ils à la poésie

raisonnement vise à accomplir une démonstration. Ces « démonstrations » littéraires se traduisent par trois principales actions argumentatives convaincre, persuader et délibérer. Nous allons d’abord nous intéresser à la conviction. Lorsqu’un texte argumentatif veut convaincre, il veut faire admettre le caractère universellement vrai de la thèse défendue. Pour atteindre son but, le locuteur doit s’adresser à la raison du lecteur, il a recours à des arguments logiques, rationnels, cartésiens.

abus auxquels leur condition les conduit, contribue elle aussi à rendre l’apologue humoristique. Chez la Fontaine, c’est le milieu hypocrite et injuste de la cour qui fournit bien souvent la cible de la satire, comme le montre la fable Les Obsèques de la lionne, qui met en scène le succès que l’on rencontre en mentant devant les rois. Les animaux malades de la peste dénonce de même les « jugements de cour », capables de condamner l’innocent au mépris de toute équité. Mais l’apologue ne tire pas

LA FONTAINE – LES FABLES Etude : LES SOURCES Attention : les notes qui suivent portent essentiellement sur les Livres VII à XII des Fables et renvoient à l’édition Folio Classique. NB : Ne pas confondre les sources de chaque fable, càd le texte de départ et les sources de chaque fable en tant que genre, càd la tradition au moment où il s’empare du genre I – L’héritage du passé A - Des origines antiques La tradition veut qu’Esope, grec du 6ème s. en soit l’inventeur

princesses, le Duc de Guise, Monsieur de Nemours nommé « ce prince » ligne 10. - Les pronoms indéfinis désignent la cour, assemblée impersonnelle qui se manifeste par une « bruit », par « un murmure » ; comme dans la fable de La Fontaine Les Obsèques de la Lionne, la foule = un esprit anime mille corps. La dimension sociale de cette rencontre est évidente. Le cadre n’est pas celui de l’intimité. Les deux personnages sont observés par toute une cour que les réactions collectives caractérisent. Ainsi

ralentit par les allitérations en [r] roulement de tambour de « terreur », « fureur », c’est un début grave, tragique). Pour survivre face à « cette infortune », le Lion tient un conseil et décide que « le plus coupable d’entre [eux] se sacrifie aux traits du céleste courroux » pour qu’il puisse « obtenir la guérison commune ». Le Lion commence « sans indulgence » (il s’accuse humblement pour donner l’exemple : on croit qu’on à pardonner un roi doux, bon ; mais on se rend compte que ce roi est hypocrite

FONTAINE – LES FABLES Etude : LES SOURCES Attention : les notes qui suivent portent essentiellement sur les Livres VII à XII des Fables et renvoient à l’édition Folio Classique. NB : Ne pas confondre les sources de chaque fable, càd le texte de départ et les sources de chaque fable en tant que genre, càd la tradition au moment où il s’empare du genre I – L’héritage du passé A - Des origines antiques La tradition veut qu’Esope, grec du 6ème s. en soit l’inventeur.

blesse .Opposition entre sincérité et artifice tout au long du texte . La charge polémique est forte et la caricature se charge de dessiner les traits les plus caractéristiques des faux dévots : leur propension à jouer la comédie . De manière éloquente , Dom Juan vient de donner une véritable démonstration de l’hypocrisie pour donner à voir aux spectateurs/ lecteurs les travers de son époque . II Dans la seconde partie du texte , il affiche sa nouvelle profession de foi . Après avoir montré

prononcé le 10 mai 1789. Le second est un extrait des Mémoires d’outre-tombe de Chateaubriand, œuvre posthume de 1848. Le troisième est un autre discours, de Victor Hugo à l’Assemblée Nationale à la séance du lundi 11 septembre 1848. Le dernier texte est d’Albert Camus, Combat, > 31 août 1944. Tous ces textes parlent de la presse et chaque auteur défend ses idées. Nous allons trouver les moyens rhétoriques qu’emploient les auteurs de ces discours afin de démontrer leur attachement à la liberté

compréhension des textes et d’engager un travail d’interprétation. » Ces questions peuvent porter sur le sens ou le registre des textes, sur un procédé et l’interprétation de ce procédé ou sur les caractéristiques de l’objet d’étude qu’illustre(nt) le(s) texte(s) sur le(s)quel(s) porte la question. Les réponses aux questions de lecture, tout comme le développement des axes de lecture du commentaire prennent la forme de paragraphes entièrement rédigés et bien structurés. Des liens logiques relient les différentes