Texte Les Obsèques De La Lionne

styliser en vue du symbole, l’autre qui le pousse à décrire avec réalisme en vue du pittoresque. En ce qui concerne le symbole, les animaux se rangent en deux classes : - ceux qui symbolisent une condition, un état c’est à dire un rang social : le lion souverain, le tigre, le renard des puissants - ceux qui symbolisent un caractère, un défaut, une faiblesse de l’homme : la pie (le bavardage), la chèvre (l’entêtement) - les plus complexes combinent ces deux aspects social et moral : le renard est

Vous irez dans la poêle, et vous avez beau dire, Dès ce soir on vous fera frire. » Un Tiens vaut, ce dit-on, mieux que deux Tu l’auras : L’un est sûr, l’autre ne l’est pas. 12 Les oreilles du Lièvre Un animal cornu blessa de quelques coups Le Lion, qui plein de courroux, Pour ne plus tomber en la peine, Bannit des lieux de son domaine Toute bête portant des cornes à son front. Chèvres, béliers, taureaux, aussitôt délogèrent ; Daims et cerfs de climat changèrent : Chacun à s’en aller fut prompt

SEQUENCE 1 : LE DEUIL D’ORPHÉE OBJET D’ETUDE : Écriture poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours PROBLEMATIQUE : L’écriture poétique peut-elle réparer le non-sens ? [pic] S1 LE DEUIL D’ORPHÉE - TEXTE 1 Comme on voit sur la branche au mois de Mai la rose Pierre de Ronsard, Second livre des Amours, IV, 1578 Comme on voit sur la branche au mois de Mai la rose En sa belle jeunesse, en sa première fleur Rendre le ciel

« législateur du Parnasse » c’est un poète, écrivain et critique français qui écrivit « Les embarras de Paris » et « À mon jardinier », ou Jean de la Fontaine avec ses diverses fables relatant une morale sur la vie humaine comme « Les Obsèques de la Lionne » ou « La cour du lion » ainsi que « Le corbeau et le renard ». Ce dernier écrit des poèmes typiques de l’époque comme « Le savetier et le financier » : [pic] Cette fable, tirée du Livre VIII de Jean de la Fontaine, permet une réflexion

si 'UI'S Jll( Ils, lorsqu l's d mo 'l'lIl S mnnif '!olt l' 'Ill 1(ur pl'()l sl r ' nlr l'a a sinat d' Azcrn l lajdari, bras droit d Bcrisha, abattu d'un rafu] d'arme automatique devant le i ge de n parti. AI' cca i n d . s obsèques, ses amis tentèrent de prendre d'a saut le siège du gouverne. ment puis du parlement et l'on se battit derrière des chars et des blindés, Le Premier ministre Nano parvint à se mettre à J'abri, tandis que n ministre de l'Intérieur dénonçait un «coup d'État» et menaça d'arrêter

lui la vraie beauté : art du moins dire et, souvent, du « dire sans dire » qui caractérise sa manière, insaisissable et reconnaissable entre toutes. Un souriceau raconte à sa mère ses surprenantes rencontres, un cerf éclate de rire aux obsèques de la lionne, deux pigeons se séparent puis se retrouvent. Le conteur est adroit et nous l'écoutons avec amusement, sans nous sentir particulièrement concernés. Et voilà que, par une suite de transitions savantes - intelligemment analysées par Léo Spitzer

L'église, les halles et la mairie, la pharmacie, l'auberge du Lion d'Or. Madame Lefrançois, patronne de l'auberge, prépare le dîner : on attend les Bovary. Monsieur Homais, le pharmacien, est là ; il bavarde inlassablement. Entrent ensuite le percepteur, Binet, et le curé, Bournisien. Enfin, la diligence arrive : les Bovary descendent en même temps que Lheureux, le marchand d'étoffes et de nouveautés. Chapitre 2 / Un dîner au Lion d'Or Pendant que le pharmacien et l'officier de santé s'entretiennent

démythification de l’utopie d’un monde passé idéal et plaidoyer pour un bonheur sur terre. I Le blâme du bonheur simple d’autrefois sur un ton badin et irrévérencieux 1. La démystification d’un mythe : dénonciation d’un lieu commun • Ce thème « encadre » le texte : v.1-4 ; v. 30-34. • Le mélange des allusions païennes et religieuses : – allusion au mythe païen de l’« âge d’or », avec ses divinités mythologiques (élucider les allusions ; cf noms propres) ; – allusion à l’Eden avec « jardin » (religions judéo-chrétiennes)

parlent de guerre à un homme de robe, et de politique à un financier ; ils savent l'histoire avec les femmes ; ils sont poètes avec un docteur, et géomètres avec un poète.” Même ses amis ont du mal à supporter ses comportements. La Bruyère passe dans ce texte du portrait d’un personnage singulier “Pamphile”, puis fait de son prénom un nom commun qui englobe un groupe de personnes “Un Pamphile”. Finalement, au dernier paragraphe du portrait il écrit “Les Pamphiles”. La Bruyère ne décrit plus un courtisan

lui ? 10. Observez le tableau d’Anicet Charles Gabriel Lemonnier : où se trouve Madame Geoffrin ? Comment ce personnage est-il mis en valeur ? Que nous révèle ce tableau sur les Salons ? 11. Effectuez une recherche sur l’Affaire Dreyfus. Pourquoi le texte de Zola est-il désigné sous le titre « J’Accuse » ? 12. Classez les œuvres de Jean-Paul Sartre selon les genres auxquels elles appartiennent (philosophie, roman, théâtre). Quel genre vous paraît le plus efficace pour défendre un point de vue ? 13.