Texte Opinion

doit s’informer des ambitions de ces hommes politiques qui gouvernent le pays. Les médias semblent l’unique moyen de le faire : la presse, la radio, la télévision, accessibles à tous, sont autant de ressorts qui permettent à chacun de forger son opinion politique, ses idées. Ils constituent un viatique où chacun puise arguments et représentations pour comprendre le monde dans lequel il vit, pour s’y repérer et s’y pouvoir. Mais ce formidable moyen d’information, ou plutôt de communication a souvent

amener Elisabeth à réfléchir sur sa propre thèse qui affirme que l'engagement de l'individu au sein d'un groupe doit être fait avec l'amour du tout, ce qui permettrait l'accès à la vraie morale. Pour développer ses idées, nous avons pu observer que son texte peut être étudié de manière linéaire, le premier paragraphe se consacrant à l'éloge de l'altruisme, le second insistant justement sur la modération à apporter par rapport à l'altruisme, le troisième, sur l' individualisme étant également néfaste pour

disciples a retenu ses idées et les a écrit dans un ouvrage : manuel, un recueil de pensées du philosophe. Le texte porte sur l’opinion, la pensé ou encore le jugement des hommes. On remarque qu’Epictète évoque une relation entre l’opinion et le bonheur. Pour lui, le bonheur ou le malheur dépendent de nos opinions. Epictète dit que « ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, mais les opinions qu’ils en ont. » Epictète entend par « choses », les évènements vécus par les personnes et qui ont une

Dès le début de son texte, Alain met sa thèse en avant "penser, c'est dire non". De ce fait pour Alain penser consiste à refuser toutes les idées extérieures qui lui sont proférées. Il illustre sa thèse avec un exemple imagé faisant référence au quotidien, à la vie ordinaire. En effet, le oui est l'action de s'endormir qui correspond à un abandon de la pensée, tandis que le non est l'action de s’éveiller, de douter des informations reçues.D’abord position de la thèse : penser, c’est dire non. Pour

Étude de texte: Platon,Protagoras "le savoir peut se vendre à quiconque peut payer" Platon dénonce ce préjugé des sophistes de son époque, car pour lui l enseignement payant est dangereux pour l âme . En faisant un parallèle entre les marchands de nourritures " terrestres" et les sophistes , il montre le danger de ces enseignements promulgués sans discernement à qui veut et peut financièrement,sans limite: en gros et en détail. Selon lui, seule la connaissance consiste une défense de l âme.

Chapitre ….. : L’argumentation exercices de mise en situation Lis bien ce texte et réponds aux questions. Chers enfants, J’ai reçu Madame Langevin, votre titulaire de classe. Elle intercédait auprès de moi pour obtenir mon accord pour une petite journée à Bruxelles comprenant l’exposition de Magritte et la visite de mini-Europe à Brupark. Je ne puis malheureusement vous donner satisfaction. Tout d’abord, une excursion à Londres est déjà programmée fin mars à votre intention, tous les

Chapitre ….. : L’argumentation exercices de mise en situation 1) Lis bien ce texte et réponds aux questions. Chers enfants, J’ai reçu Madame Langevin, votre titulaire de classe. Elle intercédait auprès de moi pour obtenir mon accord pour une petite journée à Bruxelles comprenant l’exposition de Magritte et la visite de mini-Europe à Brupark. Je ne puis malheureusement vous donner satisfaction. Tout d’abord, une excursion à Londres est déjà programmée fin mars à votre intention, tous les élèves

Introduction Ce texte de Spinoza tiré du traité théologico-politique a pour thème la liberté. On pourrait être amené à penser que l’esclave est celui qui obéit à autrui et que l’homme libre est celui qui fait entièrement ce qui lui plait. Mais l’obéissance est-elle nécessairement exclusive de la liberté et être libre est-ce faire tout ce qui nous plait ? Spinoza nous démontre ici le contraire en allant à l’encontre de l’opinion commune, en effet il fait d’abord la critique de la première opinion publique

Deuxième postulat : « on suppose que toutes les opinions se valent » Or, pour Pierre Bourdieu, ce qui compte d’abord dans la vie sociale et politique, ce sont les courants d’opinion mobilisés. Rien n’est plus inadéquat pour représenter l’opinion qu’un pourcentage, car l’état de l’opinion résulte de tensions et de rapports de forces dont les sondages ne rendent pas comptent. Et si on cumule différentes opinions qui n’ont pas toutes la même force réelle cela va conduire à des artefacts c'est-à-dire

propices. La philosophie nous apprend de rester sceptiques dans les situations où nous ne connaissons pas les circonstances. Donc de ne pas créer de faux savoirs, de ne pas nous faire une fausse opinion sur des faits qui nous sont inconnus. En restant sceptiques, cela nous évide de porter de fausses opinions et de ne pas porter de faux jugements qui pourrait créer des conflits. La personne qui entend des rumeurs ou les faux savoirs à son sujet pourrait trouver cela blessant. Elle trouverait cela blessant