Théâtre de la Bordée

QUEBEC 1 Quelle péninsule située au Nord de la province du Québec porte le nom d’un chien ? LABRADOR 2 Quelle rivière prenant sa source dans le lac Champlain porte le même nom qu’un célèbre cardinal français ? RICHELIEU 3 Dans quelle péninsule bordée au nord par le détroit d’Honghedo se trouvent les monts chic-choc ? GASPESIE 4 Dans quelle région administrative, portant le nom d’un ancien peuple, se trouve la ville de Gastineau ? OUTAOUAIS 1 Quel peuple habite dans la région du Nunavut

danger. L’agression perpétrée sur les sens et l’esprit du sujet par l’hiver sibérien se double d’une violence fantasmatique qui est sans doute projection sur le paysage de la violence guerrière anticipée par celui qui se sait en route vers le théâtre des combats de la guerre russo-japonaise. Ainsi « les gares […] pendent »-elles aux « fils téléphoniques » et les « poteaux grimaçants qui gesticulent […] les étranglent » : les éléments inanimés du décor s’animent d’une vie agressive, meurtrière

reliés ou non comme les cartes de géographie, les documents d’archives ou les livres publiés. henri harpignies, La Loire à Bonny, 1892 Lavis sur papier Legs Loiseau, 1970 Musée de la Loire – COP 970.1.214 Les 3èmes Affiche pour le théâtre de la chauve-souris sergei soudeïkine achetée en 2010 par le musée, cette affiche est signée du russe Sergei Soudeïkine, le même artiste qui a imaginé le Projet de décors et de costumes légué par Emile Loiseau en 1970. L’affiche a été créée

voir mène Hollywood à son apogée. C’est alors que se joue le « classique » d’Hollywood. Comédies, drames, horreur… Tout pour plaire à l’Amérique Tout influence l’univers cinématographique : la culture populaire, les romans, les journaux, le théâtre, etc. Plusieurs films sont produits par les studios et certains genres apparaissent au goût du public. Les films de guerre, dont traitant de la Première Guerre mondial, les comédies, les films de gangsters portant sur le haut taux de criminalité dû

sont recherchées à cause de leur tourbillon d'activité, tandis que d'autres le sont pour leur calme. New York 8,211 millions de touristes en 2010 New York est célèbre pour sa Bourse des valeurs située dans Wall Street, le quartier des théâtres, le gratte-ciel Empire State, la statue de la Liberté, des musées renommés et des marchands ambulants qui offrent des mets de divers pays. Cette ville retient l'attention du monde. Tout grand cuisinier qui y ouvre un restaurant, tout styliste qui

rejetant par-delà les barrières des petits artisans et des ouvriers qui, jusque-là, vivaient à l’intérieur des villes... Le peuple entre alors, véritablement, dans la littérature, non pas seu- lement les domestiques, de tout temps personnages obligés du théâtre ou du roman, mais les travailleurs : artisans, ouvriers des ateliers et des usines, employé(e)s des grands magasins, paysans. Il faut toutefois modérer l’enthousiasme de la préface de Germi- nie Lacerteux. Le 3 décembre 1871, Edmond note dans le Journal

habitants. Superficie terrestre : 3400 ha - Superficie maritime : 1205 ha - Longueur des voies urbaines : 44 km. Il est à noter que Mèze ne rentre dans aucun périmètre intercommunal. 3- Un peu d’Histoire Celle-ci est entourée de vignes et bordée au sud par l'étang de Thau. Elle constitue une de plus vieilles bourgades du bassin de Thau. C’est sur le site de la chapelle des Pénitents que l’on a retrouvé les premières traces de l’occupation de Mèze par les Phéniciens, probablement dès le VIIIème

in its current dimensions (d'après Pierre GROS) Au nord-est du forum républicain est construit le forum de César. Sa rigueur planimétrique et sa puissance symbolique va bientôt le transformer en modèle. Cette place mesurait 160x75m, elle était bordée de portiques sur les trois côtés, le côté nord était occupé par le temple de la Venus Genetrix, l'ancêtre mythique de la gens Iulia. Il était adossé à la colline du Palatin. C'était un temple à abside, la place était vaste, elle n'était occupée que

crématoires pour faire disparaître rapidement les cadavres. Les SS vivaient donc à l’extérieur du camp. Seule l’immense et sinistre place, où avaient lieu matin et soir d’interminables et mortels appels par tous les temps, était, avec les miradors, le théâtre de leur présence et de leurs bizutages. Les déportés étaient en réalité gardés par des geôliers encore pires, les Kapos, des co-détenus, souvent de droit commun, qui abusaient de leur pitoyable autorité. Ces Kapos surveillaient, battaient, dénonçaient

crachait avec un râle lent et rythmique son panache de fumée noire ; des gouttelettes de rosée coulaient sur les cuivres ; le pont tremblait sous une petite vibration intérieure, et les deux roues, tournant rapidement, battaient l'eau. La rivière était bordée par des grèves de sable. On rencontrait des trains de bois qui se mettaient à onduler sous le remous des vagues, ou bien, dans un bateau sans voiles, un homme assis pêchait ; puis les brumes errantes se fondirent, le soleil parut, la colline qui suivait