Theatre Realite Ou Fiction

1999. - Cercles, collectif de nouvelles, Éditions Quadrature, Bruxelles, 2005. Théâtre - Alessandro, théâtre, drame en quatre actes, Ed. Asmodée Edern, Ohain, 2006. - L’imposture, théâtre, Edern éditions, Ohain, 2006. - Mayday, théâtre, Edern éditions, Ohain, 2006. - Monsieur Octave, théâtre, Edern éditions, Ohain, 2006. - En attendant, go to, théâtre, Edern éditions, Ohain, 2006. - Pygmald Symphorien, théâtre, Edern éditions, Ohain, 2006. Divers - La souris qui voulait aller au Bout-du-Monde

une pièce de Marivaux dans la mesure où le marivaudage passe traditionnellement pour un jeu raffiné sur la langue. Le langage paraverbal n’en est pas moins très présent. I La surprise des sens La « surprise de l’amour », si fréquente dans le théâtre de Marivaux, est d’abord une « surprise des sens ». Celle – ci est suggérée dans les apartés des personnages : Cf. Dorante apercevant Silvia : « Cette fille-ci m‘étonne, il n’y a pont de femme au monde à qui sa physionomie ne fît honneur » (I, 6)

pur » 1.1. Aristote contre Platon 1.2. Le récit comme restitution inexacte 1.3. L’héritage benvenistien : opposition récit/discours 2. Fiction et diction : le statut ontologique de l’événement 2.1. Séparation histoire/récit 2.2. Noyaux de cerises et événementialité 3. Les impasses du réalisme genettien 3.1. Le récit de fiction comme réduplication d’une réalité antécédente 3.2. Copie vs récit : vérité vs approximation Gérard Genette s’attache, dans un chapitre fameux de Figures II, à reconnaître

Lorsqu'il apparaît pour la première fois dans la langue française au XIIe siècle, le terme « roman » désigne la langue romane. Par la suite, le roman, en tant que genre littéraire, sera considéré comme un genre mineur par rapport au théâtre et à la poésie. C'est une forme libre sans contraintes ni limites où l'auteur peut s'essayer à quelque chose de nouveau. Puis il deviendra l'un des genres littéraires « phares » du XIXe siècle. Dans une interview de Tahar Ben Jelloun, à propos des événements

cœur. Que ce soit au cinéma, au théâtre, devant un tableau ou une affiche, etc., l’art est un moyen d’évasion, il permet de quitter le monde extérieur et toutes ces illusions. L’art témoigne du monde intérieur et du monde spirituel. Il participe à remplir le vide que tout le monde ressent en soi. Plan : I- L’art divertit 1) Le comique au théâtre, un divertissement depuis longtemps Idée : le théâtre romain → ironie, parodie, imitation, satire. Le théâtre servait essentiellement à amuser

Le théâtre est un genre littéraire qui peut être à la fois un texte écrit et un texte dit et joué sur une scène devant un public. Le texte écrit contient des indications de mise en scène afin de susciter l’imagination du lecteur et le texte dit et joué devant un public est caractérisé par le jeu des acteurs, leurs gestes, leurs voix, leurs costumes, et bien sûr les décors, les lumières et la mise en scène de la pièce. Nous verrons en premier le langage des mots, puis le jeu de l’acteur

de l’être ; le réel se confond-il avec l’être ? Est-ce que la réalité est univoque (être), ou équivoque (être et non être) ? Y a-t-il des degrés de réalité ; la réalité advient-elle par degrés ?  Pour répondre à ces questions il faut faire des distinctions ontologiques (possible, contingent), et logiques. L’être est-il mêlé de non-être ? Y at-il du « presque-être » ?  Ces questions renvoient à une délimitation des régimes de réalité et des champs du réel (frontière entre réel/non réel). Distinctions

milieu de la vie du saint. ⇨ Le théâtre en rond Comme le spectacle durait plusieurs jours, il nécessitait un décor spécial. Il y avait un étagement correspondant à la hiérarchie sociale ; siège vide pour le roi. L’endroit était clos ; on avait une loge surélevée tout autour. L’échange des places entre spectateurs et acteurs étaient constant. Principe de l’amphithéâtre de cirque. Participation du public ; pas de séparation réel avec l’espace de la fiction ; le public est presque figuratif

c'est-à-dire les costumes, objets, accessoires et lemaquillage. Tout d’abord, l’élément capital de l’espace scénique, celui sur lequel les acteurs évoluent tout au long de la pièce est le sol, le plateau, ouencore les planches. Dans les anciens théâtres à l’italienne, l’inclinaison de celui-ci permettait l’effet de perspective, de nos jours, le sol est plat. Cependant, cet espace est exploité de diverses manières en fonction des représentations, il est indicatif de l’intention générale de la mise

L’archéologie constitue à la fois une porte d’entrée vers la relation aux savoirs (ce qui est considéré comme véridique par la science), et vers le rapport à la réalité (ce qui est considéré comme ayant réellement existé). Lorsqu’un dispositif médiatise l’archéologie, c’est donc tout un rapport au monde, à la réalité et aux savoirs sur cette réalité qui est en jeu. La recherche présentée ici se trouve à l’articulation de deux axes : la médiation, qui concerne la relation des gens aux objets du monde