Theme Du Voyage Dans Parfum Exotique

Présentation : ce poème est un poème exotique qui fait l'éloge de la femme à travers un voyage, ce poème est comparable à un blason Plan possible I°/ Un poème en prose II°/ Une célébration sensuelle de la femme III°/ Un voyage immobile I°/ Un poème en prose - C'est un poème en prose composé de 7 strophes - Comme un poème en prose il n'y a pas de vers ni de rimes - On a un effet de bouclage caractéristique du poème en prose : "Laisse-moi + vb inf + longtemps" + "souvenirs" à la fin de

indien sur lequel Baudelaire navigue avec les autre matelots durant plusieurs jours et nuit pendant de nombreux mois. OUVERTURE - LE SIGNE - CHARLES BAUDELAIRE - LES FLEURS DU MAL - 1857 Le thème du voyage se retrouve dans d'autres de ses poèmes tels que l"invitation au voyage", "parfums exotiques", "la chevelure" et "le signe" dans lequel il s'identifie aussi animal rejeté par la société qui ne le comprend pas.

: - Poème en prose Introduction : - Ce poème peut être comparer avec "La chevelure" - 27ème poème du recueil - Présentation : ce poème est un poème exotique qui fait l'éloge de la femme à travers un voyage, ce poème est comparable à un blason Plan possible I°/ Un poème en prose II°/ Une célébration sensuelle de la femme III°/ Un voyage immobile I°/ Un poème en prose - C'est un poème en prose composé de 7 strophes - Comme un poème en prose il n'y a pas de vers ni de rimes - On a un

Baudelaire est dominé par la mélancolie = le spleen (déception face à l’époque, médiocrité du monde…). Tentation d’aller vers l’Idéal : l’amour, l’Art, le Voyage (l’ailleurs). Correspondances : les choses se répondent dans la nature. ex : couleur vous mène vers une odeur, etc. = Univers des sensations. XXII - Parfum exotique Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne, Je respire l'odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu'éblouissent les

leur caractère exotique ou onirique, mais surtout pace qu’elles sont un gage d’amour autant que la dernière offrande faite à un défunt. Tous ces éléments permettent d’affirmer que le sonnet s’inscrit, dès le début, dans la duplicité d’un décor qui par sa profusion, son exubérance, en somme sa vie, affirme sans cesse la présence inéluctable de la mort. Ce décor est, par ailleurs, autant l’évocation d’un paradis perdu que celle d’un avenir meilleur. Il est une « invitation au voyage » tant dans l’espace

Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés. Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise : Ils ont aimé ! Le lac est le dixième poème du recueil de 24 poésies nommé Les Méditations poétiques d’Alphonse

poésie (Voyage) Pour cette anthologie j’ai décidé d’aborder le thème du voyage. J’ai choisi ce sujet car la perception de l’ailleurs, l’éloignement du pays natal, la recherche de l’exotisme, la beauté de l'évasion sont depuis toujours des sujets de prédilection pour les poètes. Ce thème m’a donc semblé évident pour une anthologie axée sur la poésie. Pour ma part, le voyage n’est pas seulement une volonté de s’ouvrir aux autres, de découvrir d’autres terre, d’autres cultures. Le voyage n’est pas

l’incarnation du Mal – être de tentation et de perversion- tout au long du recueil. Ainsi nous avons vu que le poète part du postulat que le monde est repoussant mais nous allons voir que tout le travail du poète est de transformer cette boue en or. Le thème de l’amour est dans une certaine mesure magnifier. Nous pouvons prendre pour exemple un poème traitant le coup de foudre « à une passante ». Dans ce poème, Baudelaire parle d’un coup de foudre en secret pour une femme inconnue « Un éclair... puis

Le serpent qui danse : Que j'aime voir, chère indolente,             De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante,             Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde             Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde             Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille             Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille             Pour un ciel lointain. Tes yeux où rien ne se révèle             De doux ni d'amer, Sont deux bijoux froids où se mêlent      

essentiels de l'Idéal : le voyage, l'envol vertical par l'excellence, loin du monde spleenétique. *lecture du poème* Dans un premier temps, nous verrons comment le réseau imaginaire l'Idéal est traité dans ce poème. Dans un second temps, verrons comment est présentée la réalité spleenétique. I – RÉSEAU DE L'IDÉAL Dans notre première partie, nous verrons comment l'Idéal est traité et nous étudieront les deux grand thèmes que sont le voyage et l'élévation. 1- Élévation & Voyage. L'élévation est