Theme Du Voyage Dans Parfum Exotique

Analyse de l’invitation au voyage de Baudelaire Un poème de Baudelaire, écrit en 1857 pour une femme, Marie Daubrun, une de ses maitresse. Un extrait de spleen et idéal. Baudelaire reprend souvent le thème du voyage dans ses poèmes, un lieu d’évasion. Métrique : Les vers sont des pentasyllabes (5) et des heptasyllabes (7). Ce rythme crée un rythme irrégulier, propre au rêve et à l’évasion. Le vers impairs donne une touche de musicalité. Les strophes sont des douzains (12 vers). Composé de

Commentaire composé : « L’invitation au voyage » (poème XVIII) ? Poème qui doit être comparé au poème de même titre figurant dans Les Fleurs du mal. ? Il ne s’agit pas d’une réécriture en prose du poème en vers, mais d’une variation sur un thème commun, celui d’un espace idéal envisagé comme métaphore de l’amour parfait et de la femme aimée. ? Le poème en prose pousse plus loin l’identification de la femme aimée et du pays idéal que ne le fait le poème en vers, même si ce dernier l’annonce dès

temps et la condition humaine composent l’essentiel de l’existence humaine, et rendent compte de la brutalité du destin. Nonobstant, Baudelaire se laisse emporté par l’ivresse du sentiment amoureux :  L’invitation au voyage invite le lecteur dans un voyage onirique, au sein d’un monde sublimé par la poésie. Par ce biais, la poésie rend compte d’une image méliorative de la vie, mêlant la tendresse à l’excitation et fait de l’amour une partie majeur de l’existence. La poésie décrit

rêver à
bâbord comme à tribord
Et qui me fait suivre jusqu’au bout une idée
Mon idée Blaise Cendrars Ce poème traite du voyage, surtout du retour. Il y a une ambiguité sur le fait de savoir si la citation décrite est réel ou imaginé. Je trouve ce poème exceptionnelle car bien que la majorité des vers sont des alexandrins l'auteur parvient a traiter les thèmes du voyage, du retour, de la découverte et de l'écriture de manière non conventionnelle et personnelle. Ce poème est rédigé en prose. On

l’hostilité qu’il subit de la part des hommes. Il est considéré comme un paria, un être de douleur mais qui est purifié par cette douleur : c’est le cas dans « Bénédiction » [1]. Il est aussi un mage qui « lit dans les ténèbres futures » dans « Bohémien en voyage » [13]. Il a le pouvoir de se soustraire à la laideur du monde terrestre (« Elévation » [3]) et d’accéder à la transcendance par le biais des « Correspondances » [4]. La réflexion se porte alors sur l’art, la difficulté de créer et la recherche du

pour indiscipline en 1839, ce qui ne l’empêche pas de devenir bachelier la même année. Son beau père décide alors de l’envoyer en Inde pour son comportement scandaleux. Il y tombe amoureux de Jeanne Duval, une femme métisse, avec qui il se lie. Son voyage s’achève prématurément en 1841. Revenu à Paris, il dépense tout l’héritage de son père et est donc placé sous conseil judiciaire en 1842. Il décide de se consacrer à la poésie et commence à écrire plusieurs poèmes qui paraîtront plus tard dans

alors qu’il n’a que six ans. Suite au remariage de sa mère, ils emménagent à Lyon en 1831. Là-bas, Baudelaire finit sa scolarité de manière hardie et mène une adolescence scabreuse. Ainsi, en 1841, il est envoyé par son beau-père en voyage pour les Indes, mais ce voyage le mènera finalement aux Iles Mascareignes où il restera un an. C’est, à son retour, qu’il rencontre Jeanne Duval qui deviendra son amante. Vers 1844, Baudelaire pour gagner sa vie, devient alors journaliste et critique d’art. C’est

d’une étreinte et renforcent le thème de la gémellité. L’unité du second quatrain repose d’ailleurs sur le leitmotiv du couple : répétition lancinante, du chiffre deux, « présentation » par paires des éléments du décor : les « miroirs » et les « flambeaux ». Les rimes mêmes (« flambeaux » / « jumeaux ») renforcent cette binarité. En cela, Baudelaire se place dans une longue tradition, à la fois antique (Platon et le mythe de l’androgyne) et romantique (le thème du double et la quête de l’unité

lecteur une relation de confiance et une complicité presque fraternelle (vers 40: « mon semblable, mon frère ») par un mal-être partagé, une hypocrisie (« hypocrite lecteur ») dont il est parfaitement familier, pour l’inviter dans une expérience, un voyage métaphorique à travers les différentes sections du recueil qui permettra de transcender ce Mal universel et trouver la paix intérieure.----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------2)

ainsi, le voyage est une façon d’échapper à un présent peu satisfaisant. Il conduit l’artiste romantique vers un ailleurs le plus souvent exotique et oriental : On pense par exemple à Nerval allant au Moyen-orient, ou encore à Delacroix se rendant au Maroc. Chateaubriand lui, préfère l’Amérique, destination de son héros René. Quant à Victor Hugo, il écrit les Orientales en 1824. Au voyage dans l’espace, il faut ajouter le voyage imaginaire. Ainsi, Baudelaire rêve dans l’Invitation au Voyage ou dans