Theologie Morale Fondamentale

associées en tribus. Plusieurs tribus formaient des nations ou cités, qui se groupaient par intérêts militaires et économiques. Les rivalités ont été si fortes qu'aucune de ces nations n'arrivait à faire l'unité des Gaulois.               Le portrait moral classique que fait Jules César à ces nations ("De Bello galico") explique cette incapacité de s'unir et son tempérament, ses querelleurs. - Le courage, l'intelligence, la générosité → avaient comme contrepartie → l'indiscipline, l'instabilité, la crédulité

Malthus Chapitre 3: Ricardo Chapitre 4: Mill, Bentham et l’utilitarisme Chapitre 1: Adam Smith Père de l’économie politique moderne An Inquiry into the nature and causes of theWealth of Nations, 1776 (La Richesse des Nations) Concepts économiques fondamentaux: Division du travail (l’origine du capitalisme moderne) Main invisible (et l’autorégulation du marché) Quelques éléments de contexte Fin du XVe siècle marque un essor dans les sciences Premier livre imprimé 1455 (bible Gutenberg) Le modèle

de la paroisse de son père. Pendant les vacances de Morehouse college, il travaille comme ouvrier et magasinier ce qui lui permet de partager la triste condition des masses. En 1948 , M.L. King quitte Atlanta pour se rendre à la Faculté de théologie Crozer (Pennsylvanie). King est un étudiant modèle dans cette faculté fréquentée par une majorité de blancs. Il trouve le temps de suivre des cours complémentaires de philosophie. Il lit en dehors des cours plusieurs auteurs dans le but de trouver

recherche est indéfinie, objective, dépouillée de toute sentimentalité. Elle s’intéresse au monde en général, et pas seulement à « notre » monde. Contrairement à la religion elle ne dit pas quel est le but de la vie, quel est l’usage du monde, et quel morale il faut adopter, elle n’a pas la prétention de tout expliquer. Dans la science il n’y a pas un maître face à des ignorants, le savoir progresse par le travail de tous mis en commun. * Dernière différence structurelle entre la science et la religion

les vérités nouvelles étaient peut-être souhaitables autrefois, mais que nous en avons assez aujourd’hui ». 4. Que signifie que « la Réforme éclata au moins vingt fois avant Luther, et elle fut réduite au silence » ? Luther est un docteur en théologie du XVIème siècle qui fut à l’origine de la Réforme, mouvement religieux qui se détache de l’Eglise catholique jugée corrompue (commerce des indulgences) et donne naissance au protestantisme en Europe. En disant que « la Réforme éclata au moins

avec MACHIAVEL que s’opère une véritable rupture : il pense le politique en dehors des catégories de la morale religieuse. MACHIAVEL est le premier des humanistes. Il est humaniste car il propose une morale spécifiquement adaptée au domaine politique, une morale qui place l’homme au centre, en dehors du regard de dieu. Il n’y a rien de plus morale que la pensée de MACHIAVEL. Il fonde une morale spécifique au politique. La machiavélisme au sens commun c’est le calcul, c’est la perfidie, la ruse, la

reflète une conviction morale qui repose elle-même sur une adhésion religieuse. Ce n’est donc pas le fait même que les protestants participent matériellement à la création du capitalisme qui compte, mais leur apport d’un esprit nouveau. Car souligne Weber, le mouvement matériel économique n’aurait certainement pas pu surmonter les obstacles sociologiques par lui-même (tradition, attitude envers la nature, institutions, etc. ). Il a fallu, pour renverser les structures morales et sociales antérieures

des curés sont absents ; en 1495, dans le diocèse de Sens, c’est le cas de 50-60% des curés ; dans le diocèse de Liège, de 40%. Or les vicaires sont souvent moins instruits, sans formation théologique ni sens pastoral. On peut aussi parler de crise morale, avec de nombreux cas de conduite douteuse : fréquentation des tavernes, jeux, danses, port d’armes, fréquentation de prostituées, … Le concubinage est important : ¼ des prêtres des Pays-Bas au début du XVIe siècle, 1/3 en Rhénanie en 1569. Mais

» ainsi, depuis toujours, à un ou à plusieurs dieux et attribuent au divin à la fois une signification théorique et un sens pratique : le divin leur permet en effet de se représenter leur origine et le monde, et, en même temps, il leur suggère une morale à travers des devoirs et des actions. Cette croyance et ces pratiques sont organisées et administrées par des intermédiaires entre le(s) dieu(x) et les hommes, de sorte à former une communauté religieuse (ecclesia en grec signifie communauté et a

raisonnement - une physique, qui rend compte de l’ordre de l’univers - une éthique, qui délivre les règles de la vie. Le stoïcisme est donc sur le plan moral, une sorte de fatalisme. Mais aussi il est une sorte de volontarisme. Le stoïcisme renvoie à l’idée d’un effort réalisé sur soi, d’une maîtrise de soi, même dans la souffrance. L’idée morale du stoïcisme est la distinction entre ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. * Le réalisme est né en Grèce, principalement avec Platon