Theophile Gautier Les Colombes

mort suit de près ma folie,Mais je vois tant d'appas en ma mélancolie Que mon esprit ne peut souffrir sa guérison. Chacun à son plaisir doit gouverner son âme,Mytridate autrefois a vécu de poison, Les Lestrigons de sang, et moi je vis de flamme. Théophile DE VIAU Stances amoureuses de la reine de Navarre: J'ai un ciel de désir, un monde de tristesse,Un univers de maux, mille feux de détresse, Un Etna de sanglots et une mer de pleurs. J'ai mille jours d'ennuis, mille nuits de disgrâce,Un printemps

|1.Gerfauts : oiseaux de proie. | |Et les vents alizés5 inclinaient leurs antennes |2.Palos de Moguer : Nom du port d’Espagne d’où partit Christophe Colomb le 3 | |Aux bords mystérieux du monde occidental. |août 1492. | |Chaque soir, espérant des lendemains épiques,

bien l’idéal des poètes parnassiens, courant auquel se rattache Hérédia, à la suite de Théophile Gautier, théoricien de « l’Art pour l’Art » : le primat de la beauté, la recherche de la forme parfaite en dehors de toute expresion du « moi », de tout engagement politique ou social. Dans son sonnet, Hérédia, dont un des ancêtres avait été le compagnon de Cortès,rappelle le premier voyage de Christophe Colomb, d’août 1492 à mars 1493, parti pour « Cipango », le Japon, mais qui arriva, en fait, à

d'Anne Frank Témoignage de Denise Holstein Comme toi de Jean Jacques Goldman Au revoir les enfants de Louis Malle La déclaration des droits de l'homme de 1948 L'orange, Bécaud Libre choix de l'humanité, Miro Guerre et Paix, Picasso La colombe de la paix Picasso Thrène à la mémoire des victimes d'Hiroshima Differents Trains, S. Reich Le régime de Vichy ( sceren) Le dictateur, Chaplin Strange Fruit, B. Holiday Discours de Martin Luther King Le salut des Black Power Film Mississipi

beauté. C’est Théophile Gautier qui instaura la théorie de « l’art pour l’art ». Ce mouvement prône le travail acharné sur la forme du poème, sur les mots utilisés et sur la beauté des vers. Il y a alors développement de la forme fixe, les alexandrins sont très utilisés, les sonnets, les rimes plates, croisées ou embrassées aussi. Les Parnassiens s’opposent au lyrisme et ses excès sentimentaux. Ils préfèrent alors rester objectifs. On peut remarquer une phrase de Théophile Gautier (dans sa préface

mentalités ayant évolué, la dimension fictionnelle et poétique du récit de voyage paraît aux yeux du lecteur ou du critique si importante, qu’elle ne doit, en aucun cas, être dissociée de l’analyse textuelle. En effet, certains récits, tel celui de Théophile Gautier5 qui visita Constantine en août 1846, s’inscrivent dans le projet d’une stratégie d’écriture explicite dont l’un des objectifs est le profit littéraire. Le récit de voyage : historique Chaque civilisation, chaque période historique possède

dynamique : un niveau de langue soutenu (gerfaut, charnier, alizés, etc) permet de retrouver ici avec rigueur les mots et les découvertes qui ont fait vibrer les européens au sortir du Moyen Âge : « Palos de Moguer » renvoie symboliquement à Christophe Colomb, « Cipango » illustre la curiosité pour la lointaine Asie, les « alizés » et le « mirage » indiquent une meilleure connaissance des phénomènes naturels, les « antennes », « caravelles » et « étoiles nouvelles » précisent les progrès en matière de

contrastes, sur l'opposition du beau er du lais, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. La Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théatre.A sa tête il y a Victor Hugo, puis viennentThéophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine et Jacques Michelet. Les limites chronologiques du Romantisme qui sont fixées sont aléatoires car il a continué à influencer la littérature française durant tout le XIXème

closes, La nuit, mon vieux Moulins bâti de briques roses, Les cours tout embaumés par la fleur du tilleul, Ce vieux pont de granit bâti par mon aïeul, Nos fontaines, les champs, les bois, les chères tombes, Le ciel de mon enfance où volent des colombes, Les larges tapis d’herbe où l’on m’a promené Tout petit, la maison riante où je suis né Et les chemins touffus, creusés comme des gorges, Qui mènent si gaiement vers ma belle Font-Georges, À qui mes souvenirs les plus doux sont liés. Et son

Corbière, le poète qui, par le biais du verbe « c’est », est identifié totalement au crapaud. • Dans le calligramme « La colombe poignardée » d’Apollinaire enfin, la métaphore se complique: elle se fait dessin, le graphisme et la mise en page figurent la colombe ; en outre, le comparé n’est pas même nommé (on ne saurait que faire des conjectures sur ce que représente la colombe). p Question 2 Ces poèmes, s’ils ont une structure très proche, n’appartiennent pas tous au même registre. • Les