Theophile Gautier Les Colombes

XIXème siècle et du début de XXème siècle avec des écrivains comme Rimbaud, Verlaine, Mallarmé... Commençons par une définition : le symbole est une représentation figurée de la réalité (mot ou expression renvoyant à autre chose). Par exemple la Colombe qui symbolise la paix ou alors la faux et le squelette qui symbolisent la mort. POur Baudelaire le poète doit déchiffrer le monde, le réel et le retranscrire aux hommes: "Qu'est-ce qu'un poète si ce n'est un traducteur, un déchiffreur?" donc

romans de Zola (Germinal ou Nana). Le symbolisme est également une réaction contre le mouvement parnassien, qui se concentre surtout sur la forme et qui veut atteinde la perfection de la forme poétique. L'un des auteurs de ce mouvement est Théophile Gautier, grand ami de Baudelaire. Pourtant pour Baudelaire, la forme n'était pas le sens premier de la poésie. C'était la synesthésie: le mélange des sens. Dans ses Fleurs du mal, Baudelaire est un véritable auteur symboliste. 3. Les symbolistes français

reprendre à la musique », « de la musique avant toute chose » nous indique Verlaine dans « Art Poétique), il recherche la Beauté. Malherbe déclarait : « Beauté, mon beau souci ». Au XIXème siècle, le mouvement du Parnasse, l’Art pour l’Art (dont Théophile Gautier) défend les règles traditionnelles comme les vers syllabiques, les rimes, les formes fixes qui confèrent de la musicalité et de la beauté aux poèmes. Des poètes tels que Mallarmé adoptent un relatif hermétisme afin de donner la priorité à la

importance des sensations, subjectivité de la connaissance A la fois un art et un mode de vie. Auteurs cherchent à dévoiler le surréel dans leur vie. Ecriture libre de toute règle Auteurs Victor Hugo, Arthur Rimbaud, Alphonse de Lamartine Hérédia, Th. Gautier Verlaine, Rimbaud André Breton, Philippe Soupault, Louis Aragon Œuvres « Le dormeur du Val », « Le Lac » Vénus de Milo Brise Marine, Clair de lune « Le paysan de Paris », « Champs magnétiques » Poésie médiévale Introduction Il y avait deux

s'étirait en parodies frénétiques de lui-même, tout le monde fait du fantastique. Les diables, à la mode, sont d'ailleurs partout et en particulier - signe des temps - sur la publicité dans les vitrines, les journaux et les vignettes des revues. Th. Gautier, lui-même grand expert en effets macabres, s'en moque gentiment dans ses Jeunes-France (1833). Cette mode fantastique coïncide avec la naissance du Romantisme en France (Préface de Cromwell, 1827). On notera que l'exaltation par Hugo des constrastes

intense suggestion sant mirage. collective, un où Les Phéniciens reviennent des îles lointaines les poussa leur amour du négoce, Hérodote revient d'Egypte ; plus tard, les compagnons leurs souvenirs, les de Colomb, de Certes ou de Pizarre, racontent mers indiennes, les oiseaux couleur d'azur et les les palais de Montezuma. Ainsi, pays lointains entrent dans la littérature, embellis par l'imagination des premiers voyageurs. Ainsi, de tout temps, coexistent

parnasse Le mouvement: Le Parnasse apparaît en France pendant la seconde moitié du XIXème siècle en réponse aux « excès lyrique » des auteurs romantiques, qui sont accusés de détourner l'art pour servir une cause qu'elle soit politique ou sociale. Théophile Gauthier, à l'origine du mouvement parle des principes du parnasse dans la préface de Mademoiselle de Maupin, il y décrit son credo (ou « l'art pour l'art ») en ces termes: « Il n'y a pas de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien; tout ce

ou la géographie. Après cela, jusqu’en 1660, la tendance est plutôt baroque même si les deux poètes qui dominent le début du 17ème siècle Malherbe et Régnier préfigurent en partie le Classicisme. A partir de 1620 un nouveau climat s’installe et Théophile de Viau occupe le devant de la scène. La génération de 1625 est particulièrement riche et diverse : gaité baroque (St-Amant), courant burlesque (Paul Scarron), mélancolie maniériste (Tristan), courant pastoral (Les Illustres Bergers), raffinement

la séductrice s’oppose à la ferveur religieuse de l’ascète. Les trois tirades centrales combinent déclaration, célébration et prière et, grâce à des couleurs et à des séries de comparaisons empruntées au Cantique des Cantiques (lys, roses, vignes, colombes, myrrhe, grenades), elles composent un blason du corps masculin (corps, cheveux, front, cou, bouche). Le texte théâtral, en se faisant poème, durcit le conflit entre deux rêves d’absolu. SÉANCE 5 ● « Salomé » d'Apollinaire, Alcools (publié en 1905

laquelle la composition et le dessin sont complètement sacrifiés à la couleur ». Cependant, Delacroix n’a pas eu que des détracteurs. Tout au long de sa carrière, il a pu bénéficier du soutien indéfectible de Thiersqui lui apporta son appui, de Théophile Gautier (1811-1872) et de Charles Baudelaire (1821-1867) qui lui consacra un poème56, Les Phares (VI, Les Fleurs du mal) et un de ses salons, celui de 1846 (IV, Mes Salons). Le peintre présente également trois autres tableaux au Salon : Tête de vieille