Théorème du moment cinétique

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.4.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.4.2 Température de bruit . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.4.3 Facteur de bruit d’un quadripôle passif . . . . . . . . 4.4.4.4 Théorème de Friiss . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5 Parasites radioélectriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5.1 Les sources de parasites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5.2 Classification des parasites... . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.4.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.4.2 Température de bruit . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.4.3 Facteur de bruit d’un quadripôle passif . . . . . . . . 4.4.4.4 Théorème de Friiss . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5 Parasites radioélectriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5.1 Les sources de parasites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5.2 Classification des parasites... . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.4.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.4.2 Température de bruit . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.4.3 Facteur de bruit d’un quadripôle passif . . . . . . . . 4.4.4.4 Théorème de Friiss . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5 Parasites radioélectriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5.1 Les sources de parasites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5.2 Classification des parasites... . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.4.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.4.2 Température de bruit . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.4.4.3 Facteur de bruit d’un quadripôle passif . . . . . . . . 4.4.4.4 Théorème de Friiss . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5 Parasites radioélectriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5.1 Les sources de parasites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5.2 Classification des parasites... . . .

). Seul un éclairage artificiel était censé indiquer ce qui était le jour et la nuit. Des lampes, disposées à la place des fenêtres, simulaient aube et crépuscule. Quand le "jour" baissait, il allumait son lampadaire intérieur, qu'il éteignait au moment de se coucher, ignorant superbement ce qui pouvait bien se passer à l'extérieur de son avion. Quant à ses collaborateurs, dans ses différentes agences situées aux quatre coins de la planète, ils devaient s'accommoder de convocations à des heures impossibles

. pn xn = x = −∞ x.d F(x) = x. p(x) d x −∞ Le moment d’ordre n d’un signal aléatoire x(t), encore appelé espérance mathématique de X n . +∞ E(x n ) = x n p(x) d x −∞ Moment de second ordre - Variance Le moment de second ordre ou moyenne quadratique donne une mesure de la dispersion d’une variable aléatoire autour de sa valeur moyenne. Dans les processus physiques, le Alimentation stabilisée à découpage 7 moment est lié à la puissance ou à l’énergie transportée par un signal

. pn xn = x = −∞ x.d F(x) = x. p(x) d x −∞ Le moment d’ordre n d’un signal aléatoire x(t), encore appelé espérance mathématique de X n . +∞ E(x n ) = x n p(x) d x −∞ Moment de second ordre - Variance Le moment de second ordre ou moyenne quadratique donne une mesure de la dispersion d’une variable aléatoire autour de sa valeur moyenne. Dans les processus physiques, le Alimentation stabilisée à découpage 7 moment est lié à la puissance ou à l’énergie transportée par un signal

= −∞ +∞ x.d F(x) = x. p(x) d x −∞ Le moment d’ordre n d’un signal aléatoire x(t), encore appelé espérance mathématique de X n . +∞ E(x n ) = x n p(x) d x −∞ Moment de second ordre - Variance Le moment de second ordre ou moyenne quadratique donne une mesure de la dispersion d’une variable aléatoire autour de sa valeur moyenne. Dans les processus physiques, le Alimentation stabilisée à découpage 7 A moment est lié à la puissance ou à l’énergie transportée par

2 3 4 71,9 77,6 92,0 116 35,6 35,8 34,9 36,6 e. Calcul des distances parcourues par le second train d’ondes : Exemple : L2 = v t = 5,49 13,09 = 71,9 km. f. Expression littérale de la profondeur h du Moho dans la région de tir. D’après le théorème de Pythagore : L h + 1 2 2 2 = 2 L2 2 2 L2 h = 2 2 L – 1 2 2 h= L2 2 2 L1 2 2 71,9 10, 0 = 35,6 km. g. Exemple de calcul de la profondeur du Moho : h = 2 2 35, 6 35,8 34,9 36, 6 h. Valeur moyenne : hmoy =

CHAPITRE 2 • RÉACTIONS NUCLÉAIRES 7 CHAPITRE 3 • ATOME ET STRUCTURE ÉLECTRONIQUE – CLASSIFICATION PÉRIODIQUE 13 CHAPITRE 4 • LIAISON CHIMIQUE – STRUCTURE ÉLECTRONIQUE DES MOLÉCULES 31 CHAPITRE 5 • LIAISON CHIMIQUE – GÉOMÉTRIE DES MOLÉCULES – MOMENT DIPOLAIRE 43 CHAPITRE 6 • ÉTATS DE LA MATIÈRE – QUANTITÉ DE MATIÈRE – ÉTAT GAZEUX – ÉTAT LIQUIDE 61 CHAPITRE 7 • STRUCTURE DES CRISTAUX 71 CHAPITRE 8 • CONSERVATION DE L’ÉNERGIE – CHALEUR – TRAVAIL – ÉNERGIE INTERNE – ENTHALPIE 83 CHAPITRE