Théorie du tout

retiendra celle d’ALPHANDERY : « la macroéconomie comme une analyse qui prend en compte le rôle de l’état et qui simplifie les phénomènes économiques à un petit nombre d’équilibres en établissant certaines relations entre les agrégats ». Micro Théorie qui traite des choix et des décisions des unités individuelles (Agents individuels et marchés isolés) / Macro= Traite du mode de comportement des groupes d’unité économique par rapport à certaines entités économiques globales (phénomènes globaux)

: I-les Ecoles traditionnelles de la théorie des organisations : 1) L'Ecole classique 1-1) Le Taylorisme et le management scientifique 1-2) Le courant administratif de Fayol 1-3) La bureaucratie Weberienne 1-4) Etude critique de l'Ecole classique 2) L'Ecole des relations humaines 2-1) E.Mayo : Relations sociales au sein du groupe 2-2) Maslow et la hiérarchie des besoins 2-3) La théorie des deux facteurs de Herzberg 2-4) Douglas MC GREGOR : la théorie X Y 2-5) Les travaux de K.Lewin et R

L’approche behavioriste * L’approche humaniste * L’approche cognitive Section 2 : Théories de motivation 1. Les théories de contenu a. Théorie des besoins d’Abraham Maslow : b. La théorie ERG de Clayton Alderfer c. La théorie des besoins acquis de McClelland (1961) d. La théorie des deux facteurs d’HERZBERG 2. Théorie de processus  a. La théorie des attentes de VROOM b. La théorie de l’équité de Stacy Adams (1963, 1965) Partie III : Les stratégies motivationnelles

La motivation au travail - concept et théories Des définitions pléthoriques Les questions : qu’est ce qui pousse ou qu’est-ce qui suscite la décision de l’individu de se comporter de telle ou telle façon selon le contexte, d’agir dans telle ou telle direction selon sa décision ou sous la pression exercée sur lui ? Le concept de motivation comme objet de recherche apparaît pour la première fois, semble-t-il, dans les travaux des psychologues Tolman (1932) et Lewin (1936). L’essor économique

n'est plus insondable que le système de motivations derrière nos actions.[1] » L'interrogation portant sur la motivation, émerge principalement dans les situations où son rôle de délibération interne est requis prioritairement ; c'est-à-dire avant tout quand l'organisme est face à une dimension quelconque de concurrence, une priorité ou hiérarchie devant émerger pour permettre l'action. De ce point de vue, bien que les problématiques ne soient pas équivalentes, deux types de concurrence sont identifiables :

La lune au secours d'einstein Dans l'histoire de la théorie de la gravitation de Newton, la Lune tenait le rôle principal. Trois siècles plus tard, elle fait un retour remarqué sur le devant de la scène de la physique fondamentale. Grâce à des réflecteurs laser déposés sur le sol lunaire, des instruments mesurent depuis vingt-cinq ans la distance entre la Terre et la Lune avec une précision extraordinaire, aujourd'hui inférieure au centimètre. L'un des principaux acteurs de cette histoire contemporaine

Bien sûr que non. Dès lors, selon Kant, la personne qui pratique la prostitution n’agit pas comme un être rationnel. De ce fait, il n’agit pas moralement. Bref, pour Kant, la prostitution est inacceptable, car elle viole les valeurs fondamentales de tout être rationnel. [2: L’éthique de Kant ; Chapitre 3 ] Ensuite, la valeur fondamentale de l'utilitarisme est la joie excessive sur la douleur. Pour Bentman, l'un des deux philosophes ayant établi les bases de l'utilitarisme, les humains aspirent à

Il est très difficile de définir ce qu’est l’art et comment il se crée. Dès lors, comment supposer si un objet est œuvre d’art ou non ? Les théories sur la question de l’art sont nombreuses : Socrate, par exemple, s’y intéressait déjà. Arthur Danto lui aussi en a son opinion, il la formule dans un article, « Le monde de l’art » (« The Artworld »), qu’il écrit en 1964 dans la revue The Journal of Phylosophy. L'intérêt de ce texte est d’expliquer que, dans une définition de l’art, entre en jeu

Plan Introduction I/ - Auteurs Définition et typologie des couts de transactions III/ - Contexte III / - Apports IV/ - Limites V/ - Application Conclusion Introduction La théorie des coûts de transactions s’est construite en plusieurs temps. Elle repose, dans ses développements actuels, sur certaine hypothèses différentes de l’axiomatique néo-classique, principalement une hypothèse de rationalité différente. La notion de coût de transactions est introduite pour la première

raison ?La science a-t-elle réponse à tout ? C’est là ce que prétend le scientisme. Le scientisme c’est une position philosophique qui consiste à dire qu’il n’y a pas d’autres vérités que la vérité scientifique que seule la science est capable d’expliquer la totalité du réel et que la science est la seule source de connaissance possible. Mais cette position est contradictoire et s’auto réfute car la science est aussi une question de foi. La science n’a pas réponse à tout, elle est cantonnée aux limites