Thermidor

ROBESPIEERE le 9 thermidor an II, signe la fin de la grande terreur, mais également la mise en avant sur la scène politique des hommes de thermidor. En effet, ces hommes que l'on appel les thermidoriens, sont des hommes politiques ayant fait parti de la convention; des montagnards qui ont cherchés à se débarrasser par tous moyens de Robespierre ainsi que de sa guillotine qui tournait à plein régime et qui commençait à les menacer. Pour cela, ils n'ont pas hésité au cours de Thermidor à recourir à la

La Convention   La réaction Thermidorienne juillet 1794 - novembre 1795 Thermidor an II - Brumaire an IV   La réaction politique et économique La réaction politique et la chute des Jacobins La victoire du Centre Le matin du 28 juillet (10 thermidor), les députés de la Convention sont accueillis par des acclamations à leur sortie des Tuileries et les moins acclamés ne sont pas Tallien, Barras ou Fréron. Ces bourreaux d'hier sont aujourd'hui les coqueluches de la foule parisienne. Derrière

rapporteur, le décret du 18 floréal an II, par lequel « le peuple français reconnaît l’existence de l’être suprême, et l’immortalité de l’âme », et la loi de Prairial, dite de « Grande Terreur ». Il prend la Convention à témoin de ces dissensions le 8 thermidor an II, mais ne parvient pas à imposer ses vues. Le lendemain, empêché de parler par ses ennemis, alliés pour la circonstance aux modérés de la Plaine, il est arrêté avec son frère Augustin et ses amis Couthon, Saint-Just et Le Bas. La Commune entre

Déclaration et l’acte constitutionnel. 4 août : Ratification de la Constitution de l’an I. 10 octobre (19 vendémiaire an II) : La Convention décide que le gouvernement provisoire de la France est révolutionnaire jusqu’à la paix. 1794 27 juillet (9 thermidor an II) : Chute de Robespierre. 1795 22 août (5 fructidor an III) : Adoption de la Constitution par la Convention. 6 septembre (20 fructidor an III) : Début du référendum constituant. 23 septembre (1er vendémiaire an III) : Proclamation de

la combattent, la guillotine s'annonce comme une sorte de «Jugement dernier ». III La nouvelle Eglise de France : 1794-1799 1) La chute de Robespierre: le rétablissement de la liberté religieuse Après la chute de Robespierre, le 9 Thermidor de l'an II (27 juillet 1794), la vie religieuse se déroule dans un climat de liberté et d'égalité des cultes, mais ce n'est que très progressivement que l'Eglise va se rétablir en France, après la Terreur, et reprendre en partie la place qu'elle

et membre de la Convention, organisateur des fêtes révolutionnaires. Proche de Robespierre, le tableau 'La mort de Marat' est une dénonciation du crime contre-révolutionnaire et illustre l'engagement du peintre qui le mènera en prison après le 9 thermidor. Admirateur du général Bonaparte, il devient le peintre officiel de l'Empire, chargé de commémorer les grandes fêtes organisées par l'Empereur. Fidèle à Napoléon, il s'exile au retour des Bourbons et s'installe à Bruxelles en 1816. Chef de l'école

s'attache alors à faire appliquer ses idées religieuses en faisant reconnaître le culte de l'Etre Suprême par la Convention. Mais l'hostilité à l'égard de « l'Incorruptible » ne cesse de croître chez les modérés.La crise ainsi amorcée aboutira le 9 thermidor an II (27 juillet 1794) à la chute de Robespierre et de ses partisans qui, malgré une tentative insurrectionnelle de la Commune de Paris, seront exécutés le lendemain. 3)Louis Saint Just Né à Decize en 1787, l'« Archange de la Terreur » est élu

plus de jugement et le « suspect » est immédiatement exécuté. On estime à 35 exécutions par jour le nombre de guillotinés entre juin et juillet 1794. L’opposition à Robespierre et au Comité de Salut Public se développe dans la Convention. Le 10 Thermidor an II (28 juillet 1794), Robespierre est arrêté et exécuté. C’est la fin de la Terreur. CETTE EXPERIENCE AURA ETE UN TRES GRAND TRAUMATISME POUR LES FRANÇAIS ET LONGTEMPS L’HOSTILITE A LA REPUBLIQUE SE NOURRIRA DES EXAGERATIONS DE LA TERREUR.

pouvoirs, suffrage universel masculin) -10 juillet: Danton écarté du Comité de salut public -27 juillet 1793: Robespierre entre au Comité -17 septembre 1793: loi des suspects -10 juin 1794: loi du 22 prairial; Grande Terreur -27 juillet 1794 (9 Thermidor): chute de Robespierre, déclaré hors-la-loi et guillotiné le lendemain -21 février 1795: séparation de lʼÉglise et de lʼÉtat -mai 1795: émeutes de famine. intervention de lʼarmée dans les luttes politiques. -22 août 1795: Constitution de lʼAn III

public. Les montagnards, s'appuyant sur les sans-culottes parisiens de la Commune insurrectionnelle de Paris, proscrivirent les girondins après les insurrections des 31 mai et 2 juin 1793. -En France, la Convention montagnarde, du 2 juin 1793 au 9 thermidor an II (27 juillet 1794), est la deuxième période de l'histoire de la Convention nationale dominée par les Montagnards après l'éviction des Girondins. La Convention nationale a été mise en place du 21 septembre 1792 au 26 octobre 1795, son rôle est