Thésaurisation

travail. Économie pas suffisante : l'État et les dépenses publiques (politique monétaire). Delta G >0 + d'argent, les agents seront plus riche => consomment plus=> demande augm => offre augm=> E augm=> ch^ baisse. Idée de cercle vertueux : lim thésaurisation. C] Économie littéraire ou économie mathématique : → Les premiers travaux économiques étaient littéraires (Smith, Ricardo, Marx) → Il a fallu attendre les marginalistes pour introduire une formalisation mathématique en économie (microéconomie)

intervention de l’état. La demande sera exactement correspondante à la valeur de l’offre donc il n’y aura pas de thésaurisation, le revenu est utilisé pour la consommation ou l’épargne. Cependant, Keynes croit le contraire, c’est la demande effective qui détermine le niveau de production et ensuite le niveau d’emploi et il y a trois utilisations du revenu : la consommation, l’épargne et la thésaurisation. La demande est le point de départ du circuit économique pour Keynes. Pour les Néo-classiques, le

nouvelle : Keynes retourne à Cambridge ou il cherchera une théorie nouvelle, il travaillera avec Robertson qui est l’un des théoriciens les plus en vue de Cambridge. Keynes sera d’accord sur la théorie de Robertson qui est que c’est les thésaurisations qui sont le point central. Keynes cependant ne sera point d’accord avec le reste de la théorie de Robertson qui dit que c’est au banque de faire en sorte que l’épargne des ménages soit redistribuée pour financer les grands travaux publique. Keynes

future ou d'un meilleur rendement. Une partie de l'épargne est confiée aux banques qui la rémunèrent par un taux d'intérêt et s'en servent pour accorder des prêts à leurs clients. Les différentes formes d'épargne : - l'épargne liquide (ou thésaurisation) qui reste disponible sous forme liquide (ex : Livrets A) - l'épargne investie qui est affectée à des placements (ex : comptes ou titres d'épargne, livrets d'épargne, contrats d'assurance-vie, valeurs mobilières) ou à des investissements dans

coffres détruisent de la monnaie et donc interrompt le processus de création. Ce mécanisme même a été analysé par Keynes, qui a mis en valeur que le processus de multiplication des investissements donc de l’épargne pouvait être contrarié par la thésaurisation, laquelle faisait effet de trappe à monnaie. Or la foi dans la monnaie de banque, dite « de confiance », c'est-à-dire la monnaie fiduciaire étant limitée, les demandes de conversion était soutenue, la capacité à créer de la monnaie faible,

américain et y compriment des prix déjà beaucoup trop faibles. Or c'est l'objectif prioritaire de Roosevelt, pour redonner l'espoir, reconstituer les marges de profit, relancer l'investissement, alléger le poids réel de la dette, combattre la thésaurisation. D'ailleurs, si l'étalon-or n'est pas abandonné, il doit être défendu, soit grâce à une forme ou une autre de coopération intrenationale, soit par une politique de déflation interne ( hausse des taux d'intérêts, pression sur les salaires, ) aux

investissement (demande globale. Ces revenus sont dépensés). Critiques : même si au total égal, par produit pas forcément (surproductions de secteurs) / une partie pas dépensée mais épargnée. En investissement mais aussi thésaurisation, d’où dépenses inférieures / même si pas de thésaurisation, comment sait on que C et I sera égal à C et S / achats à des producteurs étrangers devant être compensés par débouchés extérieurs. Adaptation aux déséquilibres (Say c’est toujours bon car) : prix parfaitement flexibles

La neutralisation d’une certaine quantité de monnaie par thésaurisation est stable dans le temps. À l’époque où la monnaie était de l’or, on peut considérer que cette thésaurisation représentait un volume non négligeable dans la mesure où existait un attachement quasi sentimental et irrationnel à l’or. Plus le système monétaire s’éloigne de l’or, plus la thésaurisation est négligeable. La monnaie n’est pas neutre. En effet, la thésaurisation n’est pas un phénomène marginal, il y a chez les agents

dont ils disposent peuvent être amenés compte tenu d'un taux d'intérêt trop faible à garder ce capital au lieu de le placer dans la sphère monétaire ou la sphère réelle. C'est la thésaurisation. II L'épargne est un puissant facteur de ralentissement économique L'épargne : une non consommation La thésaurisation, mentionnée précedemment est une des formes de l'épargne financière la plus critiquée, aussi appelée "bas de laine", ce procédé consiste à garder un capital sous forme de liquidités

demande immédiat pour satisfaire des besoin immédiat et épargne productive (en vue de rendement) l'idée sous-jacente et bien entendu que les agents sont rationnelle et ont conscience du manque à gagner à conserver de l'argent sous forme de liquide (thésaurisation) au lieu de le placer ou de consommer. Say écrit que “lorsque la dernière prod a terminé un produit son plus grand désire et de le vendre pour que la valeur de ce produit ne chôme pas mais il n'est pas moins empressé de se défaire de l, argent