Thésaurisation

existe : la thésaurisation C’est la part de l’épargne qui n’est affectée ni à l’investissement, ni aux placements financier ; traditionnellement on oppose l’épargne placée, qui donne droit à un intérêt, et qui est utilisée pour le financement de l’économie, et l’épargne thésaurisée (par exemple amasser de l’argent sous forme de billets sans le placer ou l’investir), qui serait détournée du circuit économique. Dans cette perspective qui s’inspire d’une lecture de Keynes, la thésaurisation est néfaste

sous autre forme de richesse car ils ne sont pas sûr de la valeur des placements qui leurs sont proposés et de la valeur future des biens qu’ils peuvent acquérir. Ainsi l’épargne, chez Keynes, est l’épargne au sens commun du terme : c’est une thésaurisation de la monnaie. En conséquence, dans la théorie de Keynes, l’épargne s’ajuste à l’investissement seulement après qu’une augmentation de la production est provoqué une augmentation encore plus importante de l’investissement : en effet, pour lui

volonté de l’argent économique, elle est constituée des prélèvements fiscaux et sociaux (impôts et cotisations sociales). • La thésaurisation : C’est retirer l’argent épargné du circuit économique en le conservant chez soi ou en le transformant en valeur non productives (achats d’or, de bijoux, de pierres précieuses, lingots d’or). La thésaurisation est une forme inactive de l’épargne. • Le placement : Il se traduit par une réinjection de l’épargne dans le circuit économique

l’épargne placée (pas de thésaurisation), et si le budget de l’état est équilibré, elle sera utilisée pour financer l’investissement des entreprises. Les impôts sont utilisés par l’état pour financer les dépenses publiques. Le montant des impôts et des taxes sera égal aux dépenses publiques. On retrouve donc là les 3 composantes de la demande de B&S en économie fermée: - Consommation des ménages - Investissement des entreprises - Les dépenses publiques. S’il n’y a pas de thésaurisation sur le marché de

controverse Keynes - Robertson et la révolution keynésienne 7.1 Collaboration et discussion 7.1.1 La collaboration (1924-1925) 7.1.2 Désaccord et séparation 7.2 La controverse sur le traité et la grande découverte de Keynes 7.2.1 La controverse sur la thésaurisation 7.2.2 La controverse sur la relation IS et renversement du dogme classique 7.3 La marche vers la théorie générale et les fruits de la controverse 7.3.1 La nouvelle définition du revenu et la nouvelle égalité IS 7.3.2 Le principe de la demande

d’ « excès » d’épargne ni de problème général des débouchés…) ( toute épargne est affectée à des fins socialement et individuellement productive SAUF la « thésaurisation »= détention de monnaie « pour elle-même », sorte d’avarice jugée irrationnelle et exclu de l’analyse. L’ajustement I-S chez Keynes Keynes réfute la loi des débouchés=> la thésaurisation, bien qu’elle soit improductive au niveau global, peut être profitable au niveau individuel : On parle de motifs de transaction (détention de monnaie

la promotion des moyens scripturaux de paiement (II). I- LES JUSTIFICATIONS DE LA PROMOTION DE L’UTILISATION DES MOYENS SCRIPTURAUX DE PAIEMENT L'espace UEMOA est fortement marqué par un faible taux de bancarisation entraînant une forte thésaurisation de la monnaie fiduciaire, une faible interbancarité et bilatéralité, et un règlement inapproprié fondé sur le support papier. Ces considérations laissent entrevoir, qu'à travers la promotion des moyens scripturaux de paiement les autorités des

sociales.  Les agents qui épargnent : les ménages, les entreprises, les administrations. 2. Les formes de l’épargne :     L’épargne privée : c’est l’épargne des ménages et/ou des entreprises ; L’épargne publique : l’épargne de l’Etat ; La thésaurisation : c’est de l’argent conservé et maintenu chez soi ; Le placement : il est constitué de dépôt aux banques, d’achat des actions et des obligations. II. les motifs de l’épargne : Selon John Maynard Keynes, il y a 3 raisons qui poussent les agents

donc l’offre ne crée pas automatiquement sa propre demande. Une partie du revenu issu de la production peut être épargnée et thésaurisée. On peut dire que s’il n’y a pas de thésaurisation, l’emploi est stable.      Le théoricien se pose de nombreuses questions dont il essaye de trouver les réponses: Si l’absence de thésaurisation est une condition  nécessaire pour le maintien de la situation de plein-emploi, est-elle est aussi une question suffisante? Est-ce qu’on doit mettre en œuvre une capacité

consommation, la part consacrée à l'épargne. Si le taux d'intérêt est élevé, alors l'agent économique aura une préférence pour l'épargne investie, sinon, il optera en faveur de la thésaurisation. l’épargne ne sert plus alors la réalisation d’investissements productifs et constitue donc une fuite dans l’économie. La thésaurisation est dès lors un frein à l’activité économique. A. Et ne suscite pas forcement la croissance Une forte épargne n’est pas toujours synonyme de croissance L’épargne forcée n’est