Thomas Bernhard

Tout animal a des idées puisqu'il a des sens, il combine même ses idées jusqu'à un certain point, et l'homme ne diffère à cet égard de la bête que du plus ou moins. Quelques philosophes ont même avancé qu'il y a plus de différence de tel homme à tel homme que de tel homme à telle bête ; ce n'est donc pas tant l'entendement qui fait parmi les animaux la distinction spécifique de l'homme que sa qualité d'agent libre. La nature commande à tout animal, et la bête obéit. L'homme éprouve la même impression

siècle, certaines communautés scolaires cherchent à s'affranchir de la tutelle de l'évêque et donnent naissance aux premières universités. Celle de Paris obtient ses premiers statuts en 1215. Les plus grands intellectuels y professent comme saint Thomas d'Aquin, saint Bonaventure ou Albert le Grand. La quête de savoir emmène les étudiants de ville en ville. Au XIIIe siècle, on en trouve jusqu'à 10 000 dans le quartier Latin à Paris. Des collèges sont fondés pour les accueillir comme celui de Robert

Intro_ L'Homme, contrairement à l'animal, n'as pas d'instinct mais il a une raison donc il réfléchit et a besoin de connaitre la Vérité,ici la vérité signifie la connaissance, le savoir absolu sur le monde, les choses qui nous entourent et sur nous,les Hommes. C'est une question que tout le monde se pose.Depuis des siècles, les plus grands savants du monde, sont à sa quête pour ainsi la transmettre à l'Homme. Mais elle a aussi était déformée, réfutée par grands nombre de philosophes. Il est

Chaque communiste doit assimiler cette vérité : le pouvoir est au bout du fusil »Mao-Tsé-Toung. Le pouvoir, du latin « podere », signifie, avoir la capacité de, être capable de. C’est une représentation abstraite des capacités éventuelles ou effectives d’un groupe, d’une institution, d’un pays ou d’un seul être. D’entités, qu’elles soient concrètes ou abstraites (Dieu). Il symbolise donc le panel de possibilités d’agir de(s) entité(s) concerné(s). Plus le panel est large, plus le pouvoir est considéré

vouloir fonder la société sur une conception du bien admise par tous et on asseoid la paix civile en recourant à ce que les hommes ont en commun à savoir la peur de la mort violente. Sous la forme de l’absolutisme théorisé par Jean Godin et Thomas Hobbes, nait ainsi l’Etat moderne, une entité exerçant dans ses frontières, le monopole de la violence légitime et se défendant à l’extérieure par une armée nationale. Au plan des RI, le traité de Westphalie énonce et initie la nécessité d’un équilibre

Hobbes et la pensée politique moderne, * Ce livre fait partie d’une restructuration qui permettra de voir les problèmes et les concepts fondamentaux de la pensée politique moderne qui se trouvent analysés à travers différentes angles sous la quelle la philosophie d’Hobbes est considérée. * Page 40 et 41 questions centrales de la politique Premier Chapitre : Trajet : aux fondements de la politique moderne Perspective générale de la recherche : le moment où la philosophie politique façonne

communes qu’elles se posent : celles de la place de l’homme dans la nature, du bien et du mal, et d’autres encore. En outre, quelques théologiens ont “emprunté” aux philosophes certains de leurs concepts et de leurs formes de raisonnement, comme saint Thomas d’Aquin à Aristote. La réciproque existe également, par exemple dans le concept philosophique de Dieu. Enfin, nombre de philosophes se sont réclamés ou se réclament d’une religion particulière. Ce sont là quelques unes des raisons de se demander si

Corrigé d'une dissertation de philosophie sur le thème de la vérité et de la raison. Problématique : Peut-on toujours avoir raison ? Extrait : Dans le fait de vouloir avoir raison, il y a dedans une exclusive : si j'ai raison, les autres ont tort. Vouloir et dire qu'on a raison, c'est se dire qu'on a le dernier mot, qu'il nous revient. Cette expression sous-entend donc que celui qui a raison est arrivé à une position à partir de laquelle toute discussion est désormais inutile, puisque le résultat

Pour Thomas Malthus, les lois universelles de la nature démontrent l'existence d'une loi de population. Le pouvoir multiplicateur de la population est tel qu'en l'absence de frein, celle-ci augmente plus rapidement que les subsistances, ce qui se traduit par des famines, des guerres et une surmortalité. Malthus préconise donc la suppression des lois protégeant à son époque les pauvres en Angleterre, en raison de leurs "effets pervers". Il préconise de favoriser la "contrainte morale" et le développement

elle-même est corrompue. Mais le « je vois » marque une interprétation subjective et superficielle. Dom Juan cherchera tout au long de la scène à corrompre le Pauvre, en cherchant à le soumettre à l’un des sept péchés capitaux identifiés par saint Thomas d’Aquin (ORGUEIL, AVARICE, ENVIE, LUXURE, GOURMANDISE, COLERE, PARESSE). Dans cette réplique il veut ainsi mettre en évidence le désir d’argent, donc l’AVARICE du Pauvre, mais celui-ci de par sa naïveté se refuse à la tentation. RÉPLIQUE 3 :