Thomas d'Aquin

économiques mais il est certain que ces philosophes ont inspirés certains économistes modernes. La suite de notre exposé porte sur les mercantilistes, nous avons choisit volontairement de supprimer quelques étapes, comme les théologiens avec Saint Thomas d'Aquin et ainsi toutes les pensées religieuses avec surtout la montée du protestantisme, par manque de renseignements et de faibles évolutions dans la pensée économique.

pour prévenir » L’idée d’un pouvoir sans problème, infaillible, grâce à tous ces moyens de sentences est fausse. En effet si cela était vraiment le cas, la dictature d’Hitler n’aurait pas été évincée. La position extrême de Saint Thomas d’Aquin nous dit que « l’homme est misérablement assujettit à tout mal ». L’homme à besoin d’autorité. La justice à été justement crée pour cela. Si celle-ci n’existait pas, le monde ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui. L’anarchie serait au

A. Substitution de la vérité technique à la vérité absolue Effectivement, la recherche de la vérité absolue, indépendante, est abandonnée au profit d'une vérité « technique », c'est-à-dire d'une vérité qui n'est plus, selon la définition de Thomas d'Aquin, « adéquation de l'intellect aux choses », une propriété du langage, mais une vérité qui serait finalement la théorie la plus apte à organiser le réel pour le contrôler et le rendre utile à l'homme. La science est alors au service du bien-être

inévitablement. Ceci amène à chercher les causes des représentations de la conscience. Spinoza en se fondant sur l’ignorance avérée de ces causes, dénonce l’illusion de l’autonomie de la conscience. En cela Spinoza reprend la Somme théologique où Saint Thomas d’Aquin où la cause de la conscience est avancée comme une des preuves de l’existence de Dieu. L’approfondissement de l’origine de la conscience est aussi une tentative pour percer le voile de son illusion d’autonomie. Nietzsche voit aussi dans la

haute lutte. L’histoire abonde de penseurs qui ont souffert en voulant rendre indépendante leur pensée de la croyance religieuse / pouvoir religieux en place. Au MA, on a prétendu mettre la philosophie au service de la religion chrétienne (-> Thomas d’Aquin) Pour traiter de problèmes, il faut mettre entre () le discours religieux; il faut douter des croyances. Puisque la raison refuse à se subordonner à autre chose qu’à elle-même, il y a conflit. Même si la raison ne va pas rejeter la foi en

doit etre conforme a un ordre naturel. Ce courant tres ancien puisqu’il existait deja chez les auteurs de l’antiquité grecque. Il a perduré au Moyen-Age notamment avc St thomas d’Aquin. - La question est de voir comment decouvrons nous ces regles sensées etre immuables et universelles : le droit naturel par st thomas d’aquin est d’inspiration divine, il vien de dieu. Ce courant a perduré encoré.au XVII , Grotius……., ont laïcisé ces regles et affirment qu’elles ne viennent pas de Dieu mais de

souhaitant contrôler le spirituel. Grégoire VII veut renverser la hiérarchie en disant que les rois sont rois par la main de dieu. Le pape a donc plus d'autorité que le roi. Il va demander à l'empereur le pouvoir de sacrer les empereurs. Saint Thomas d'Aquin, va essayer de régler ce conflit. Il va dire que l'homme en tant que chrétien appartient au royaume de l'église, mais l'homme en tant que membre de l'humanité appartient au royaume ou au domaine de l'empereur. C'est là une distinction entre pouvoir

s'exprime universellement la puissance de la nature. Sur ce point Spinoza reprend volontiers le vocabulaire de la scolastique, faisant de l'être, ou substance, ou Dieu la natura naturans et des choses " créées " la natura naturata. Même si Saint Thomas d'Aquin range évidemment l'homme parmi les " créatures ", il déclare aussi que " la créature raisonnable est subordonnée à la providence divine d'une manière plus excellente (que les autres), en tant qu'elle devient elle aussi participante de la providence

elle-même est corrompue. Mais le « je vois » marque une interprétation subjective et superficielle. Dom Juan cherchera tout au long de la scène à corrompre le Pauvre, en cherchant à le soumettre à l’un des sept péchés capitaux identifiés par saint Thomas d’Aquin (ORGUEIL, AVARICE, ENVIE, LUXURE, GOURMANDISE, COLERE, PARESSE). Dans cette réplique il veut ainsi mettre en évidence le désir d’argent, donc l’AVARICE du Pauvre, mais celui-ci de par sa naïveté se refuse à la tentation. RÉPLIQUE 3 : « je

aisé et mort en 1221 à Bologne), est un religieux catholique, fondateur de l'ordre des frères prêcheurs appelés couramment « dominicains ». Canonisé par l'Église en 1234, il est fêté le 4 août par l'ordre des Dominicains qu'il a lui-même fondé. Thomas d'Aquin (né en 1224/1225 au château de Roccasecca près d'Aquino en Italie du Sud, mort le 7 mars 1274 à l'abbaye de Fossanova près de Priverno dans le Latium), est un religieux de l'ordre dominicain, célèbre pour son œuvre théologique et philosophique