Thomas Hobbes Déterminisme

L’homme asocial qui vit en dehors de toute cité est un être « sans foi ni lois », c’est un être qui est guidé uniquement par ses intérêts et ses passions, qui sera prêt à tout pour les satisfaire. Il est comme cet homme à l’état de nature décrit par Thomas Hobbes, « un loup pour l’homme », naturellement agressif envers ses semblables, prêt à tout pour les satisfaire ses intérêts. La comparaison avec l'animal fait aussi refference a l'égoïsme de celui-ci. L'intérêt se définit avant tout comme ce qui est

conceptions philosophiques et scientifiques de son temps, mais qui est aussi une invitation à la remise en cause de tous les savoirs qui étaient jusques là considérés comme vrais. On peut aussi citer parmi les précurseurs du siècle des lumières, Thomas Hobbes qui, avec son successeur John Locke, va inspirer les auteurs des lumières qui vont se pencher sur les questions politiques tels que Montesquieu et Rousseau. Au-delà des précurseurs, on peut comprendre la genèse du siècle des lumières à travers

heureuse. Dans l’état de nature selon Rousseau, l’homme est autosuffisant et cultive son bout de terre librement. Etre stupide, robuste et candide, l’homme naturel ne connaît ni le bien ni le mal et vit au présent, sans soucis des lendemains. Contre Hobbes, qui décrit l’état de nature comme un état de guerre, Rousseau fait de l’état pré-civilisationnel une époque de paix et défend le mythe du bon sauvage, pure face à l’homme civilisé perverti. Cet état de nature idyllique étant posé, Rousseau décrit

maîtrisée (cf. Discours sur la première décade de Tite-Live, III, 12). Le rôle de la virtù est donc de prévoir les catastrophes, de les prévenir. B) THOMAS HOBBES (1588 – 1679) I- Biographie Philosophe anglais, fils d'un ecclésiastique protestant, il est l'un des premiers penseurs de l'Etat moderne et fondateur de la philosophie civile. Thomas Hobbes débute comme précepteur de la famille Cavendish, comte de Devonshire et s'intéresse beaucoup aux mathématiques et à la physique. Il profite de déplacements

essayer de garder cette puissance, c'est un processus qui va mener jusqu'à la guerre. Machiavel dit dans le prince qu'il n'y a rien au dessus des cités et que c'est l'anarchie qui domine et qu'elles sont toujours à la recherche d'une puissance. Hobbes dit que l'homme est en proie à ses passions qui peuvent nous conduire aux conflits, il pense qu'il y a trois types de passions : la rivalité entre individus ou états qui conduisent au conflit, ensuite la peur d'un autre état qu'on considère comme

mettrait à n'en faire qu'à sa tête, bafouant les lois à l'envie ? Nous disons : ce serait l'anarchie, car les lois perdraient justement toute leur valeur de lois. De là à tomber dans un « état de nature » où ne régnerait finalement que ce que Rousseau ou Hobbes nomment « la liberté naturelle », c'est-à-dire le pouvoir de suivre ses seules impulsions sans autres limites que celles de sa force propre, il n'y a qu'un pas. Or là où il n'y a plus de lois instituées et reconnues, et de ce fait, plus d'État, on

Question 2 Pour commencer, pour Hobbes la solidarité de l'état c'est lorsque qu'une multitude d'homme réussi a s'entendre sur le choix d'un seul homme à réussi à s'entendre sur le choix d'un seul homme ou une assemblée d'homme grâce aux moyens des conventions pour devenir celui ou ceux qui autorisera toutes les actions et les jugements. Car tout avis contraire à cette majorité ( c'est à dire la multitude d'hommes) doit être d'accord avec elle. Parce que dans le cas contraire il ferait le contraire

qui vit en dehors de toute cité est un être « sans foi ni lois », c’est un être qui est guidé uniquement par ses intérêts et ses passions, qui sera prêt à tout pour les satisfaire. Il est comme cet homme à l’état de nature décrit plus tard par Thomas Hobbes, « un loup pour l’homme », naturellement agressif à l’égard de ses semblables, « passionné de guerre » car mû par ses seuls intérêts et prêt à tout pour les satisfaire. Dans l’Antiquité grecque rien n’est moins condamnable que l’individualisme

deux philosophes prendra place dans la présente dissertation. Tout d'abord, Jean-Jacques Rousseau est un philosophe qui a vécu durant les 18 siècles aussi appelés siècles des Lumières. Il s'oppose à la conception de l'état de la nature accorde par Hobbes et loche et il explique la nature originelle de l'homme. L'homme originel possède des caractéristiques fondamentales. Il devrait être libre, car il devrait choisir a répondre oui ou non à ses besoins, il devrait être perfectible ; être capable de

souffert du totalitarisme et de l’anarchie de la terreur et du Directoire, par conséquent ils ont des souvenirs douloureux de cette période révolutionnaire. La vision de l’homme pour les codificateurs se rapproche d’avantage de celle que se faisait Hobbes, selon lequel à l’état de nature « l’homme est un loup pour l’homme » et celle de Machiavel. L’image des hommes à l’état de nature se résume aux mots d’Horace Say qui les décrits comme étant de vulgaire « ignorants, fanatiques, intéressés, tels qu’ils