Thomas Hobbes Explication De Texte

représentations, autrement dit la volonté. Celle-ci est à l’inverse infinie. L’erreur consiste alors à affirmer plus que je ne peux concevoir, autrement dit à étendre ma volonté au domaine de ce qui dépasse mon entendement, ce que ma raison comprend (voir le texte tiré des Méditations métaphysiques), et d’affirmer ainsi comme vraies des choses fausses. A partir de là, il est possible de rectifier l’erreur, en cantonnant notre volonté aux choses que nous comprenons. Dans l’ordre théorique, il faudra ainsi douter

cet état de liberté naturelle ou une partie de cet état pour faire société à condition bien sûr que cette société leur garantisse ce qu’on appelle aujourd’hui les droits de l’Homme. Chez Rousseau et Montes ce contrat social est optimisme, pas chez Hobbes. Pour Durkheim il s’agit dans le contrat social d’une inversion de ce qu’a pu être l’homme à ses débuts. Comment un homme isolé aurait-il pu survivre à tant de maléfices dans une nature hostile ? Il n’a pu survivre justement que parce qu’il était

constituent deux modes d’entrée possibles dans l’ouvrage. Les Listes finales offrent une troisième possibilité. Les dialogues Ils vous aideront à élaborer et à reconnaître les problématiques. Partie 1 / Dialogues Les textes d’auteurs Chaque texte répond à une problématique surgie dans les dialogues. P a r t i e 2 / Te x t e s 1 Problématique 1 : Difficile vérité VICTOR – Il y a quelque chose que je ne comprends pas avec la philosophie. HÉLOÏSE – Ah oui ! Et quoi donc ? VICTOR – Chacun

un texte à rédiger, il faut le faire de telle manière que les paragraphes ou phrases de transition, ainsi que les termes et locutions de liaison (« en effet », « par exemple », « mais », « cependant », « en dépit de ce que nous venons de voir », etc.), indiquent suffisamment clairement la suite logique et l’enchaînement de vos idées et de votre analyse ; il n’y a pas à craindre, en général, de faire trop lourd sur ce point. De même, nous avons ajouté au texte ci-dessous quelques explications en note

nous empêcher de penser par nous même (la famille, etc.). L’homme doit être autonome grâce au droit. D’après Kant, il faut donc penser la fonction du droit indépendamment de la réflexion des juristes. Alain Renaud s’interroge par exemple dans un texte sur la liberté de se droguer : il ne regarde pas les solutions apportées par les différents états. Il dit juste que le droit sert à l’homme d’être libre. Ensuite, il dit qu’est qu’une drogue : c’est un moyen pour un individu de se priver

français. La renaissance de la philosophie politique * Marsile Ficin traduit Platon * Pic de la Mirandole ou l’esprit universel * Machiavel de Florence ou le modèle réaliste * Erasme de Rotterdam ou le modèle de l’humanisme * Thomas More et Francis Bacon ou les lumières anglaises Ces auteurs sortent du schéma classique des auteurs médiévaux et vont proposer des modèles politiques et idéalistes. Il propose un modèle de vertu politique idéale mais qui est laïque, non confessant

renforcer. Le judaïsme a donné naissance à un droit qui est le droit hébraïque, qui est l’exemple type du droit religieux dicté par un dieu, il puise sa source dans la bible, qui reproduit la loi écrite dictée par dieu, c’est la Torah. La Torah est un texte juridique, elle est exposée dans les 5 premiers livres de la bible, qu’on appelle le Pentateuque. Dans ces 5 livres on trouve une série de prescription qui apparaissent comme dictées par dieu ou des règles rédigées sous son inspiration comme le décalogue

gréco-latine et judéo-chrétienne d’origine méditerranéenne dans les deux cas, est identifiée par les lettrés comme ayant informé l’esprit européen. Il s’agit de ce qui fait son identité même, son essence, son esprit. Paul Valery met cela en évidence dans un texte célèbre intitulé « la crise de l’esprit » lors d’une conférence à l’université de Zurich en 1922, à un moment où l’Europe prenait conscience de son destin tragique. Que dit-il aux étudiants ? Il dit « je considérerais comme européen, tous les peuples

critique ? Parce que la plupart de nos certitudes, que nous n’interrogeons pas, sont affectives, passionnelles : elles ont pour causes des passions, et non des raisons patiemment examinées. Elles sont admises de manière passive. C’est ce que nous dit Hobbes (cf Polycopié), et qu’on peut voir à travers le juré n°3 et le juré raciste : si l’on 2 tient tant à nos certitudes, c’est parce que leurs causes sont passionnelles, affectives, et non pas rationnelles. On va tout de même s’accrocher à elles,

ensemble, renvoient à deux types d'explication. La cause est une explication par l'amont, qui se présente comme ce qui a directement produit ce que l'on cherche à expliquer, qui est alors un effet. La fin est une explication par l'aval qui explique la chose par un but, une finalité vers laquelle elle est censée tendre. Dans le domaine du vivant, le mécanisme est une explication par la cause alors que le vitalisme est une explication par la fin. À la question "pourquoi ?", je peux répondre "parce que"