Thomas Hobbes Leviathan Bonheur Et Désir

texte est extrait du chapitre XI du Léviathan de Thomas Hobbes, publié en 1651. Dans ce texte, l'auteur démontre que le désirs est essentiel à l'homme . Selon Hobbes , l'homme répond a ses désirs dans le but d'assurer les moyens qui lui permettront d'arriver à son désir futur.Qu'est ce qui permet aux hommes d'avancer dans la vie ? y-a-t'il un désir fondamental qui donne un sens à tous les autres ? Du début du texte jusqu'a la ligne 6("de son désir futur") , Hobbes nous montre que pour la satisfaction

martyres chrétiens. C’est à ce moment qu’apparaissent au XVIe les monarchomaques avec de Bèze et Hoffman. Ils vont théoriser le tyrannicide. Ils sont à l’origine des protestants puis catholiques (Ravaillac monarchomaque catholique, tué Henri IV). Thomas D’Aquin estime qu’il existe un droit avant l’Etat, un droit inhérent à la nature. Ce droit antérieur à l’Etat, créé par Dieu est supérieur au droit de l’Etat. Pour lui les règles du droit positif doivent être conformes au droit naturel. Il n’y a

notre nature. Ce travail porte sur la conception de la nature humaine de deux philosophes, Aristote et Hobbes. Il sera question de la théorie de l’office de l’homme par Aristote et de l’état de nature par Hobbes. Nous commencerons par observer la théorie d’Aristote, puis celle de Hobbes. Ensuite, nous confronterons leur pensée et finalement s’en suivra une critique sur un argument défendu par Hobbes. Pour débuter, étudions les arguments d’Aristote sur l’office de l’homme. Aristote commence par

abuse de son autorité en légiférant un pseudo droit de prise de pouvoir, qui se rapproche d’ailleurs du despotisme. Les philosophes ont montré à travers l’hypothétique état de nature, que la mise en place d’une autorité légitime est nécessaire. Thomas Hobbes définissait cet état de nature comme «horrible état de guerre» où «l’homme est un loup pour l’homme ». En effet, il considérait l’homme comme un être méchant, cruel, menteur. Dans cet état de nature où l’ordre régnait à travers « la loi de la jungle

la vision rousseauiste du droit et de la société, nous verrons tout d’abord comment Rousseau veut faire passer les hommes de l’état de nature au contrat social (I), puis nous comparerons la vision de Rousseau à celle d’autres philosophes tels que Hobbes et Locke qui ont eux aussi théorisé le contrat social (II). I. De l’état de nature au contrat social L’objectif majeur de Jean-Jacques Rousseau dans son œuvre Du Contrat social, est de permettre aux hommes de passer de l’état de nature

chronologique de leur conception. a) Le contrat social selon Hobbes Hobbes (1588 - 1679) est un philosophe anglais qui appartient au courant philosophique des matérialistes et à celui des nominalistes. Il est l’un des premiers penseurs de l’Etat moderne. C'est dans le Léviathan (1650) ou Traité de la matière, de la forme et du pouvoir d'une république ecclésiastique et civile que Hobbes expose sa conception du contrat social Hobbes tente de refonder la légitimité du pouvoir des dirigeants sur

et une autorité supérieure. Thomas Hobbes, dans son ouvrage le Léviathan, affirmait qu’avant le pvr étatique, les hommes vivaient dans un état de nature caractérisé par l’anarchie. Pour sortir de cette situation, les hommes ont eu recourt en dernière instance à la création d’un Etat qui garantit leurs droits. L’Etat devient dès lors un ordre nécessaire pour survivre en société. John Locke, dans son ouvrage Traités sur le gouvernement civil, s’oppose à Hobbes dans une certaine mesure. Selon

que l'amitié est une des clefs du bonheur et nous étudierons sa définition selon Kant. Ensuite, nous mettrons en évidence le rôle d'autrui dans la construction de soi. La dernière partie fera l'objet des conflits qui opposent les hommes et permettent de se forger. Le bonheur est le but naturel de l'homme, c'est donc un devoir de travailler à son propre bonheur. Or aimé et être aimé est essentiel, c'est le sens ultime de l'existence. On trouve donc le bonheur dans l'amitié car ça signifie être

théorie de la souveraineté : Se dessaisir ou autoriser ? La théorie de la Souveraineté chez Hobbes est originale : ce n’est plus, comme chez ses prédécesseurs, un contrat entre le peuple et le roi qui doit bien gouverner. Le pacte hobbesien n’a rien à voir avec ce contrat de confiance : avec lui, chacun se dessaisit de son droit naturel (la seule chose qu’il « possède »). En adoptant ce dispositif, Hobbes rompt avec tous les penseurs qui ont usé de la notion de contrat pour penser l’origine de

Hobbes et le pouvoirHOBBES ET LE POUVOIR Pierre Dockès L'Harmattan | « Cahiers d'économie Politique » 2006/1 n° 50 | pages 7 à 25 ISSN 0154-8344 ISBN 2296012876 DOI 10.3917/cep.050.0007 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-cahiers-d-economie-politique-1-2006-1-page-7.htm --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------