Thème Du Horla

et d’ambiguïté quant à la distribution des rôles, est omniprésente dans l’oeuvre de Maupassant. Ce perpétuel duel qui a torturé l’esprit de Maupassant transparaît aussi dans Pierre et Jean. La dualité dans Pierre et Jean Avant de s’attarder sur thème du double dans Pierre et Jean, il convient de s’intéresser un instant sur une notion qui prend place dans tout le roman : le chiffre deux ou toutes les occurrences qui concourent à l’évoquer sont assez représentatives de l’omniprésence d’une certaine

marqué la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-88, mais surtout par ses nouvelles, (parfois intitulées contes), comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Guy de Maupassant se limite

clair qu’il y a ici une différence entre eux. Poe, tout comme Maupassant, se lève contre le romantisme, soutenant l’idée de l’intelligence créatrice. Le conte a très souvent pour but la Vérité, parce qu’il est pratiquement impossible d’avoir comme thème d’un conte seulement le Beau. Dans son œuvre, le Français veut donner « la vision la plus complète, plus saisissante, plus probante que la réalité même » et non pas une photographie8. Il veut donc la vérité, tandis que Poe soutient l’art pour l’art

d'écriture Français Mouvement Réalisme Naturalisme Fantastique Genres Romans Nouvelles Œuvres principales Romans : Une vie (1883) Bel-Ami (1885) Pierre et Jean (1888) Près de 300 contes et nouvelles, dont : Boule de suif (1880) Le Horla (1887) Le Rosier de madame Husson (1887) La Parure (1884) Signature modifier Henry-René-Albert-Guy de Maupassant (prononcé [gi d(ə) mo.pa.ˈsɑ̃]), est un écrivain français né le 5 août 1850 au château de Miromesnilà Tourville-sur-Arques1 (Seine-Inférieure)

théâtre, poésie. Indiquez les titres principaux des œuvres appartenant au genre littéraire dominant pratiqué par l’auteur. Le genre dominant que Maupassant utilise le plus est celui de la Nouvelle. . 1880 BOULE DE SUIF, première nouvelle sur le thème de la guerre de 1870. . 1881, vif succès remporté par LA MAISON TELLIER ( premier recueil de nouvelles dont UNE PARTIE DE CAMPAGNE) qui l'encourage à redoubler d'ardeur. . 1882, MADEMOISELLE FIFI : une prostituée qui, à l'inverse de son aînée Boule

recueil collectif, en réunissant six auteurs : Émile Zola, Guy de Maupassant, J.-K. Huysmans, Henry Céard, Léon Hennique et Paul Alexis. L’idée d’écrire sur la guerre est née d’après une conversation entre les amis et un défi de Zola d’écrire sur le thème de la guerre de 1870.Néanmoins c’est « Boule de suif » qui « écrase l’oeuvre » et fait de Maupassant un « Maître » selon écrit Flaubert dans une lettre pour son ami. La morte de Flaubert, à cause d’une hémorragie cérébrale dans cette même année touche

celui de F. Kafka, le château, le registre dominant est celui du fantastique. En effet, pour appartenir à se registre, un texte doit contenir des tournures interrogatives, ici on voit que K. et le jeune homme pose un grand nombre de questions. Le thème du doute est remplie par le fait qu’on ne connaisse pas le nom des personnages, « K. » et «  jeune homme ». Pour le texte 2, l’œuvre de M. Butor, l’emploi du temps, le registre pathétique est bien le registre dominant, il nécessite des figure

humaine » fondamentale est punie. Le dénouement est tragique. Aucune explication trop précise n’est fournie au lecteur qui hésite jusqu’à la fin de l’histoire entre une explication naturelle et une interprétation surnaturelle des événements. UN THEME FANSTATIQUE : FANTOMES ET FANTASMES L’irruption du surnaturel dans le monde réel prend souvent la forme du fantôme dans la littérature fantastique: ombre, spectre, lémure, vampire, zombie, il est le « revenant » de l’autre monde (le monde des morts

 On parle de fantastique en littérature dès lors qu’il y a irruption de l’irrationnel dans un cadre réaliste. C’est ce qui se produit dans Le Horla. Le Fantastique est un genre littéraire qui se développe au XIXe siècle. « le fantastique manifeste un scandale, une déchirure, une irruption insolite, presque insupportable dans le monde réel. » Ainsi, un texte fantastique se reconnaît par un début réel, où tout est logique et réel. Ensuite, un élément mystérieux fait son apparition, l’histoire plonge

fantastique · Guy de Maupassant, Le Horla , 1887. Qu’en est-il quand le moi connaît un phénomène de dédoublement qui brouille encore davantage ses limites ? Peut-on perdre la conscience de soi ou même percevoir son moi comme un autre ? La littérature fantastique exploite ce topos : dans la seconde version du Horla , Guy de Mau- passant joue avec la forme du journal pour restituer les méandres