Thèse De Freud

le lien avec la seconde tend souvent à avoir une définition péjorative de la religion (asservissement du peuple, etc.) foi et raison (problème des preuves de l’existence de Dieu) religion et aliénation de l’homme/ nature humaine (Nietzsche, Marx, Freud : « les théories du soupçon) religion et croyance : il faut savoir distinguer les degrés de croyance (et ne pas assimiler « croyance » et « religion ») : cf. distinction foi et croyance, mais encore, croyance, crédulité, superstition. Croire est d’abord

A quel public Freud s’adressait-il ? Quelles découvertes ou recherches de Freud précèdent-elles cet article ? Ce texte est tiré de l’ouvrage Introduction à la psychanalyse. Cet ouvrage rassemble les cours donné par Freud à l’université de Vienne entre 1915 et 1917. « Devant un auditoire composé de médecins et de profanes des deux sexes »1. Cet ouvrage fait suite aux recherches de Freud ayant servi de base au développement

charnière entre l’homme et la divinité. Cette vision du « Moi » est partagée par le philosophe Rousseau qui assimile le « Moi » à Dieu. La notion du moi en médecine apparait au 19ème siècle lorsque le médecin neurologue théoricien et philosophe autrichien Freud, fondateur de la psychanalyse, découvre et élabore des hypothèses et des concepts sur la « psycho-analyse ». Ces découvertes sur le refoulement, le Moi, l’idéal du moi et les notions de pulsions sont approfondit par la représentation du psychisme.

Texte de Platon Thème : les différentes sortes de désirs Thèse : Platon dit qu’il existe en chaque homme inné une part bestiale, violente sans limite, réprimés par les lois de la société et la raison .Ces désirs déréglés se manifestent dans les rêves (réalité psychique des hommes), il faut éduquer son âme pour apprendre à en devenir maitre et sinon l’homme ne peut pas être capable de les maitriser. Il existerait selon Platon trois espèces de désirs : Les désirs nécessaires Les désirs superflus

domaine psychique doive être connu de la conscience. » Freud, Métapsychologie, pp. 66-67 Freud publie tour à tour l'Introduction à la psychanalyse et la Métapsychologie, ouvrages dans lesquels il s'emploie à définir et à justifier l'emploi qu'il fait de l'idée d'inconscient. Cette notion est alors à l'origine de nombreuses polémiques : elle est contestée par tous ceux qui, à la suite de Descartes, identifient l'esprit et la conscience. Freud, dont le but est de convaincre ses lecteurs de l'intérêt

critique de la thèse freudienne avec Alain qui critique la diabolisation de l'inconscience, comme s'il s'agissait d'un autre "moi" pour lui on peut maitriser ses instincts et son corps avec de la volonté. Auteur clé: Bergson+Freud Citation clé "la ou le ca est, le moi doit advenir (rôle de la psychanalyse, théorie de l'inconscient plus thérapie, psychanalyse doit permettre au sujet de connaitre ses refoulement, de s'en délivrer en rendant au moi sa santé et sa liberté) Complexe d'oedipe: freud met en

choix libre de l’individu, mais seulement une prise de conscience par l’esprit de ce que veut le corps (ou de ce que fait le corps).               3. Trois arguments déterministes   :             Ces données scientifiques viennent conforter la thèse déterministe : l’esprit n’est pas libre de vouloir, mais il est déterminé, comme toute autre chose du monde, par des causes extérieures : naturelles, psychologiques et sociologiques.1. le déterminisme naturel L’ensemble des phénomènes qui se produisent

La notion d'inconscient n'est pas nouvelle puisque déjà pour Platon, l'homme de la caverne ignore tout de la réalité extérieure. Cet inconscient au sens large à une valeur négative et désigne tout ce qui m'échappe à ma conscience (...) Pour Freud pourtant, la conscience n'est pas le tout de l'activité psychique. Il se produit sous des phénomènes psychiques dont nous n'avons pas même conscience, mais qui déterminent certains de nos actes conscients. Ainsi nous croyons nous connaître, mais nous

bien/mal. La morale se présente comme universelle (=valable en tout lieu/temps et pour tous) or elle n'est que générale (=valable pour un groupe/culture). Raison raisonneuse: simple habileté à manier les mots qui permet de soutenir n'importe quelle thèse. Sentiment moral ≠ raison raisonneuse. Raison: entendement comme simple faculté de connaissance + volonté ou liberté. III. Autrui est nécessaire à la conscience que je prends de moi Hegel, Phénoménologie de l'esprit Selon Hegel, il existe 3 moments

Freud and Dora: Story, History, Case study Critical Summary Paper of Steven Marcus’s article on Freud’s Dora In “Fragment of an analysis of a case hysteria (“Dora”)”, the object of the study (Dora) appears to be totally opposed to her doctor, Freud, considered by Marcus as a modern writer. To the reader at first Dora represents innocence and inexperience (both mentally and sexually), when Freud represents both scientific knowledge and experience and maybe Freud’s logical control over