Théodore Géricault Le Radeau De La Méduse

Yann Martel 6 Fiche 5 Analyse d’images Objectifs Analyser et comparer des images fixes Réfléchir à la notion d’illustration d’un texte écrit Support : Le tableau Le Naufrage de Joseph Vernet Le tableau Le Radeau de La Méduse de Géricault La couverture de la 1re édition de L’Histoire de Pi en Folio Junior L’affiche française du film L’Odyssée de Pi I. Le Naufrage de Joseph Vernet (1759) 1) Combien de navires peut-on distinguer dans cette scène ? Sont-ils tous

d’espionnage Une fauvette : un oiseau passereau Propre ligne de vêtements à Z : Lorie Acteur français, « trois hommes et un couffin », « un cœur en hiver » ou « on connait la chanson » : André Dussolier Artiste 19ème, « Le radeau de la méduse » ou « course à Epson » : Théodore Gericault Les trois glorieuses : trois journées révolutionnaires du 19ème Maurandie : plante mexicaine

formant ainsi la première génération de peintres romantiques. Les tableaux dégagent toujours une expression personnelle, ce que la seconde génération va changer en incorporant des éléments politiques et historiques, avec Delacroix (1798-1863) ou Géricault (1791-1824). C’est alors que les peintres s’intéressent à ces paradoxes sociaux dont regorgent le XIXème siècle : l’extrême pauvreté des mineurs d’un côté et les industriels dont les capitaux ne font qu’augmenter de l’autre par exemple. C‘est à ce

dans une série de tableaux à la gloire de Napoléon, redonne la couleur à travers la théâtralisation des champs de bataille, c'est avec Théodore Géricault que la vision romantique de la guerre, de la mort et de la folie prend les couleurs de la réalité la plus atroce (Cuirassier blessé quittant le champ de bataille, 1814, Musée du Louvre, Paris). Le Radeau de la Méduse (1819, Musée du Louvre) dépeint a son paroxysme la souffrance humaine et l'inexorabilité de la destinée, thème qui trouve écho chez le

enfant du siècle (1836) Sand, La Mare au Diable (1846) Vigny, Cinq Mars (1826) Stendahl, Racine et Shakespeare (1823-1825) Principaux peintres romantiques Caspar David Friedrich,Voyageur contemplant une mer de nuages (1818). Théodore Géricault, Le Radeau de la Méduse (1819) Delacroix, La liberté guidant le peuple (1930) Principaux musiciens Berlioz Schubert Schumann

légitimité historique, Le Radeau de la Méduse (1819) : un tableau signé Théodore Géricault (1791 ; 1824) qui fut d'ailleurs soumis à de violentes polémiques. L'image est élaborée dans une figure triangulaire et ascendante, dont les lignes dynamiques font émerger les tensions, qui est à l'origine de sa parenté historique picturale, même si quelques éléments situés dans le haut de l'image incitent au déséquilibre. N'oublions pas les intentions fédératrices de l’œuvre de Géricault, détaché de l'emprise

chaque main et un béret en velours noir . 3ème plan : A l'arrière plan on peut apercevoir la ville de Paris et la cathédrale Notre Dame. Œuvre en lien : La liberté guidant le peuple à un lien avec le chef d'œuvre de Théodore Géricault « Le radeau de la Méduse » car La composition de ce chef d’œuvre à pour structure une pyramide dont la base est la surface de la mer. Une pyramide de chair humaine avec des morts. Conclusion : L'artiste a voulu nous montrer la liberté avec

comme le moment où le Romantisme livre bataille et triomphe en France. Y assistent les peintres Louis Boulanger (1808-1867) et Eugène Devéria (1805-1865) qui, au début, apparaît comme le chef de file d’une école romantique qui compte également Théodore Géricault (mort prématurément à l’âge de 33 ans), Ary Scheffer, Edouard Bertin, Eugène Isabey, Paul Huet, Diaz de la Peña et Louis Boulanger (fig. 3). Fig. 1 Eugène DEVÉRIA La naissance d’Henri IV 1827 Huile sur toile, 0,65 x 0,54 m. Inv. 868.1.27 Montpellier

cherchant le mystère, l’évasion, le doute, la fuite et le ravissement dans le rêve. Je vais présenter, en premier lieu, une peinture anglo-saxonne « l’abbaye dans les bois » de David Friedrich, puis un tableau français « Le radeau de la méduse » par Theodore Géricault et enfin une autre œuvre de David Friedrich « le voyageur au dessus des nuages » . L’abbaye dans les bois Le peintre: Le peintre de cette peinture est Caspar David Friedrich peintre né en 1774 et mort en 1840, il appartient

moment où le Romantisme livre bataille et triomphe en France. Y assistent les peintres Louis Boulanger (1808-1867) et Eugène Devéria (1805-1865) qui, au début, apparaît comme le chef de file d’une école romantique qui compte également Théodore Géricault (mort prématurément à l’âge de 33 ans), Ary Scheffer, Edouard Bertin, Eugène Isabey, Paul Huet, Diaz de la Peña et Louis Boulanger (fig. 3). Fig. 1 Eugène DEVÉRIA La naissance d’Henri IV 1827 Huile sur toile, 0,65 x 0,54 m. Inv. 868