Théorie De Jean Baptiste Say

Mercantilisme hispanique/bullioniste (Espagnol et Portugais) D’après eux, pour que le pays soit plus riche, il faut augmenter la présence d’or et d’argent sur le territoire. Ils vont donc aller chercher ces ressources dans leurs colonies. Mais très vite, Jean Bodin à réfuté cette thèse : pour lui, la production n’augmente pas, seuls les prix augmentent et non pas la richesse totale du pays. * Mercantilisme commercial (Anglais et Hollandais) Pour eux, c’est par le commerce que l’on enrichi un pays

général par un mécanisme d’autorégulation des marchés. Il en est de même pour Jean-Baptiste Say pour lequel les rééquilibrages sur les marchés par ajustement de l’offre et de la demande se font sans intervention de l’État. Les néo- classiques dont l’approche est micro-économique distinguent le marché des biens et services, le marché du travail et le marché des capitaux mais adhèrent aux principes du libéralisme. Ces théories vont donc à l’encontre d’une intervention de l’État ou d’un autre agent extérieur

d'actions car leur pouvoir d'achat augmentait quand le chômage diminuait. La bulle spéculative prend forme avec la hausse des achats. 1. Les causes : (cf, loi de l'offre et de la demande concernant la variation des titres en bourse, J.B SAY) A partir des années 1925, 1926 et 1927, l'économie américaine s'essouffle avec de fortes baisses de la croissance de la production dans les secteurs secondaire et tertiaire après une hausse considérable depuis 10 ans. La spéculation, c'est-à-dire

facteurs : -la demande réelle -les profits - progrès techniques -la structure institutionnelle La perspective keynésienne : la demande est importante pour la croissance car elle crée l’offre. Jean Baptiste SAY, loi des débouchés « toutes productions crée les conditions de sa demande ». Contrairement à JB Say, Keynes explique que la demande crée l’offre. La demande effective a un rôle central (consommation finale, investissement, exportation, dépenses publiques = 4 grandes composantes de la demande)

BOYER | BUCHANAN |   |   | CALVIN | CHAMBERLIN | CLARK | COASE | COLBERT | CONDILLAC | COURNOT | COVARRUBIAS (de) |   |   | DUESENBERRY |   |   |   |   | EDGEWORTH | ENGEL |   |   |   | FISHER Irving | FITOUSSI Jean-Paul | FOGEL Robert | FOURASTIÉ Jean | FRIEDMAN Milton | FRIEDMAN (David) | | | |   | GALBRAITH | GIFFEN | | |   | HAAVELMO | HARROD | HAYEK (von) | HECKSCHER | HICKS | HIRSCHMAN |   |   |   | KAHN | JEVONS | |   |   |   | KALDOR | KEYNES |

Sylvie Diatkine, les fondements de la théorie bancaire – des textes classiques aux débats contemporains Paris, Dunod, coll. théories par Dominique LACOUE-LABARTHE | Éditions L’Harmattan | Cahiers d’économie politique 2005/1 - n° 48 ISSN 0154-8344 | ISBN 2-7475-8143-8 | pages 189 à 194 Pour citer cet article : — Lacoue-Labarthe D., Sylvie Diatkine, les fondements de la théorie bancaire – des textes classiques aux débats contemporains Paris, Dunod, coll. théories économiques, 2002 191 p, index des

mathématisée et coupée de ses racines historiques. Aujourd’hui c’est la théorie néoclassique qui est dominante en microéconomie (recherche, enseignement) Prix nobels d’économie = néoclassiques Classiques : Smith, Ricardo Ils démontrent l’avantage du libéralisme économique avec une démarche nouvelle (néo) Les classiques se concentraient sur les groupes sociaux, les néo sur l’individu (individualisme méthodique). Théorie de la main invisible : dans une société sans entraves au niveau des échanges

politique économique libérale et se montra hostile aux mesures d’assistance sociale prises par l’État. Certaines de ses idées influencèrent directement Ricardo (rôle de la monnaie, rente foncière), mais aussi Marx (qui le critiqua fortement) et Keynes. Say Pour lui, le principe de la valeur n’est pas le travail, mais l’utilité. Sa «loi des débouchés» qui, si elle explique les crises sectorielles, estime impossible une crise généralisée. Il explique cela en montrant que le producteur qui met ses produits

riche et puissante. Cette période voit se développer aussi les premiers principes de la théorie monétaire. Jean Bodin explique l'accroissement des prix au 16eme siècle par l'afflux d'or et d'argent en provenance d'Amérique. A la fin du 18eme siècle il apparaît chez les Physiocrates (c'est un courant de la pensée qui est à l'origine de la conception moderne de l'économie). Adam Smith, Maltus, Ricardo, Jean Baptist Say... ont fondé ce qu'on appel l'économie politique classique. Défenseurs du libéralisme

Professeur : M. Silem Économie Générale & Comptabilité Nationale Lexique économique chez Dalloz L’économie politique chez Armand Colin (pages 1 à 269). L’économie contemporaine en 12 leçons chez Sirey Cours en ligne : Jean-Pierre Fitoussi, sciences politiques HEC Montréal Université de Genève HEC de Nantes pour la micro-économie Définitions : • La monnaie est une créance, c’est un équivalent général de toutes les marchandises dans une société donnée. • Le marché n’est pas un lieu