Théorie De Jean Baptiste Say

Chapitre II : La pensée économique I. Le mercantilisme : Première théorie économique (1500 à 1750) A. Le contexte historique Après le Moyen-Âge dominé par les principes moraux de l’église, la renaissance et la réforme donnèrent naissance à un courant économique déconnecté du moralisme. Cette pensé se situe historiquement à la fin du Moyen-Âge et marque aussi la fin de la prééminence des doctrines de l’église dans l’organisation sociale. Le mercantilisme est une doctrine qui se préoccupe des moyens

économiques ont amenés les économistes à développer des théories dans le but de trouver un système capable d'engendrer une croissance économique continue, d'où l'importance du sujet. La croissance économique correspond à l'augmentation de la production de biens et services dans une économie, à une période donnée. Comment est perçut la croissance économique pour les économistes? Les précurseurs puis les classiques sont les fondateurs des principales théories sur la croissance. Les précurseurs ne parle pas

cette école.Tout d'abord, il existe un ordre relativement naturel dont les lois conduisent à une relative harmonie des intérêts particulier. Mais cet ordre est constamment menacé et il revient à la puissance publique de le protéger. Ainsi pour Jean-Baptiste Say, l'État se doit absolument de protéger la propriété privée qui ne va pas de soi. Pour Adam Smith, il doit empêcher les conspirations des entrepreneurs qui tentent par des ententes de faire monter les prix, ou encore prendre en charge l'éducation

commercial. Les mercantilistes doivent protéger le marché intérieur par des barrières protectionnistes. Les mercantilistes voient le commerce interne comme un jeu à somme nul. Les gains réalisés par certain pays sont perdus par d’autres. 2. Jean Baptiste Colbert (1619-1683) et le colbertisme (version française du mercantilisme) Né à Reims d’un père industriel, Colbert est le protégé de Mazarin, ministre de Louis XIV. Il entre au service de ce dernier à la mort de Mazarin en 1661. Il sera contrôleur

La théorie de la valeur chez les économistes du 19ème siècleLa théorie de la valeur chez les économistes du 19ème siècle Introduction : Au 19ème, on voit se constituer l'économie politique dans laquelle vont se succéder différents modes et écoles de pensée. Parmi les lois qu'ils essaient de dégager des relations économiques, on trouve de façon récurrente et centrale la théorie de la valeur chez les économistes du 19ème. Certes, avant même Smith qui fût l'un des 1er à aborder cette théorie, on a

chapitre 3 : LES FONDEMENTS THEORIQUES DE L’ANALYSE ECONOMIQUE DES ANNEEs 1930 A NOS JOURS Problématique Trente glorieuses : apogée de la théorie keynésienne : * des outils politiques de gestion de l’économie * politique mixte (policy mix) : combinaison harmonieuse entre politique budgétaire et politique monétaire Gloire de Keynes … plusieurs Keynes ? Keynes tente de réconcilier la démocratie et le capitalisme/l’économie et le social. Pour Robert Reich, le marché a gagné cf. Supercapitalisme

→ théorie sur l'efficacité et absence de débouchés KEYNESIEN → plein emploi pas automatique, réfute la loi des débouchés Ces 2 visions sont divergente théorique et politique. C'est un débat sans fin qui ce poursuit a l'heure actuelle, au niveau mondial on peut observer une différence, on peut constater qui marche le mieux. Pour l'instant c'est l'approche keynésienne. A/ Approche classique : 1- Les Fondements : Les classiques, les libéraux dans la grande majorité Jean Baptiste SAY « l'offre

déterminés par le travail nécessaire à leur production. Si Petty est le grand ancêtre, les principaux représentants de l'économie classique sont, selon Marx, deux auteurs britaniques du 18° siècle et du début du 19°: Adam Smith et David Ricardo. Dans Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie, paru en 1936, John Meynard Keynes « range » aux côtés de Ricardo et Mill tous les auteurs formant à partir de la fin du 19° siècle le courrant appelé habituellement néoclassique. Or ces derniers

il préfère la mise en place d'entités autonomes (telles que les grandes universités) ou semi-autonomes à des organismes placés sous la responsabilité directe des ministères d'ÉtatK 4. S'il est contre le socialisme d'État qui pour lui découle des théories de Jeremy BenthamK 5, il assigne quand même quatre responsabilitésK 6 aux pouvoirs publics : le « contrôle délibéré de la monnaie et du crédit », la « collecte de données relatives à l'état des affaires et leur diffusion à grande échelle », la détermination

é dde I) La neutralité de la monnaie A) Jean Baptiste Say : le voile monétaire L'hypothèse de JB Say, en 1805, est la plus importante :"Le voile monétaire ne fait que masquer la réalité des échanges. Les produits s'échangent contre des produits, puisqu'ils se servent mutuellement de débouchés". Cela est encore plus nettement formulé par John Stuart Mill en 1848 : "Tous les échanges sont en substance et en réalité des trocs". L'économie avec monnaie fonctionne de la même façon que l'économie