Théorie De La Firme Bancaire

Sous le thème : MARKETING BANCAIRE Réalisé par : SOW CHEICKNA HAMALLA ANNEE UNIVERSITAIRE 2010-2011 Remerciements : Je tiens à remercier toute personne ayant contribué de façon directe ou indirecte à ma formation universitaire et en particulier à la réalisation de ce mémoire. Ce mémoire fut pour moi l’une des expériences les plus enrichissantes dont je dois la réalisation à l’Université Hassan II, Faculté des Sciences Juridiques, Economiques

les diverses parties prenantes dans le succès d’une entreprise à atteindre les objectifs qui lui ont été fixés, ou la nécessité de les traiter de manière éthique. Mais cette définition fait bien la distinction entre les fins et les moyens. La théorie financière apporte à ce débat «stockholders-stakeholders» une réponse qui tient en trois propositions qui s'enchaînent : - Les contrats qui lient l'entreprise à toutes ses parties prenantes sont fatalement incomplets. C'est-à-dire qu'il n'est pas

entreprises durant cette période réduisent de fait la probabilité de défaillance ; il augmente en période de récession, car les gains diminuant, les entreprises se retrouvent plus souvent que d'habitude dans des difficultés pour rembourser leurs emprunts bancaires ou obligataires. Le crédit est une anticipation de recettes futures. Tout crédit comporte le risque que ces recettes ne se produisent pas et qu'aucun remboursement ou bien seulement un remboursement « particuliers » à l'échéance, Ce risque appelé

de la grande entreprise qui dissocie à la fois l’action politique intérieur et l’apport de capital (c'est-à-dire on n’a pas besoin d’être propriétaire pour agir sur l’entreprise), l’autre mérite c’est qu’elle contribue à démystifier la théorie classique de la firme en introduisant le pouvoir économique. Ainsi la concertation du pouvoir économique opérer par les entreprises de grandes dimensions à pour conséquence une grande dispersion des actions des sociétés, cet élément favorise un transfert du

l’évolution est inconstante car elle dépend avant tout de leur prix. 1963 1985 2009 PA 29% 14% 10% PMC 16% 22% 20% PM 52% 2% 70% Source : OMC 1.2 Les services commerciaux 1994 : GATTS Les services les plus échangés sont les services bancaires. Cet accord a libéralisé l’échange international des services et c’est un enjeu majeur pour les pays développés car ils ont au fur à mesure perdu la bataille sur le marché des biens. Classement en 2009 (part des services rendus à l’international)

.................................................................................................. 01 Première partie : Le financement bancaire de la PME et risque crédit .............................. 07 Introduction de la première partie ........................................................................................ 07 Chapitre I : L’activité bancaire et le risque crédit ............................................................... 08 Introduction au chapitre I .....................

(ECRICOME, 2000) Des petits ateliers des canuts au XIX° siècle aux «géants» mondiaux des télécommunications de ce début de XXI° siècle, l’entreprise capitaliste s’est profondément transformée et agrandie. On est bien loin des «atomes» envisagés par la théorie néo-classique du dernier tiers du XIX°. La dimension des entreprises peut être appréhendée de différentes manières. L’agrandissement des centres de production renvoie à la question de la concentration des systèmes productifs. Il apparaît théoriquement

plus en plus admis que les pratiques de bonne gouvernance consolident la confiance indispensable entre tous les partenaires de l’entreprise et contribuent à créer davantage de valeur pour l’entreprise et pour ses parties prenantes. En fait la théorie de la gouvernance d’entreprise a fait le sujet de multiples réflexions déjà anciennes d’où il est possible de retirer deux conceptions, la conception shareholder et la conception stakeholder. Le modèle de type shareholder est le mode de régulation

Et inversement) - Les échanges intern. S’explique soit : -la réalité des échanges= le commerce interbranche contredit l’idée de spécialisation ; le dvlp + rapide des échanges contredit la théorie classique ; l’influence des firmes intern. Est absente dans théorie trad. -explication des nouvelles théories : Paul. R Krugman met en avant du role des économies d’echelle et la différenciation des pdt. -la nouvelle division intern. du travail (dit) :elle designe le fait que les pays se sont spécialisé

.... 10 I. Définitions et typologies des investissements directs étrangers ........................................ 11 II. L’attractivité des investissements directs étrangers ......................................................... 17 III. Les théories de la croissance en conjonction avec les mouvements d’IDE .................... 23 Chapitre II : Analyse des flux d’investissements directs étrangers dans l’espace UEMOA 37 I. Démarche méthodologique ..............................................