Théorie Néoclassique De La Macroéconomie

esclaves de quelque économiste passé. Les illuminés du pouvoir qui se prétendent inspirés par des voies célestes distillent en fait des utopies nées quelques années plus tôt dans le cerveau de quelque écrivailleur de Faculté [1]. » John Maynard Keynes, Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie, chapitre 24, 1936 L'archéologie a montré que la pensée économique est très ancienne, comme en témoignent les lois et les principes économiques exposés dans le code d'Hammurabi (roi de Babylone

Samuelson et Robert Solow du Massachusetts Institute of Technology aux États-Unis. On appelle ces deux écoles de pensée la théorie néoricardienne (ou srafienne) et la théorie néoclassique. Le débat est surtout mathématique et ésotérique, mais certains éléments peuvent être expliqués en termes simples. Il tourne essentiellement autour de la question de l’agrégation dans l’école néoclassique. Les implications de ce débat ne font pas l'unanimité parmi les économistes. Sommaire 1 Agrégation des biens

INTRODUCTION I. Qu’est ce que la macroéconomie? II.Les deux grandes traditions de la pensée Macroéconomique III.Une méthode IV.Le plan du cours Leila HAOUAOUI 2012-2013 Macroéconomie 1ère année LFSG 1 I. Qu’est ce que la macroéconomie? La macroéconomie étudie l’économie dans son ensemble, elle s’intéresse à son fonctionnement. Si nous prenons le problème du l’inflation par exemple, nous observons: INFLATION EN TUNISIE 10 8 6 4 2 20 06 20 04 20 02 20

beaucoup apporté à la théorie macroéconomique contemporaine. Il s’agit plus précisément d’entretiens avec des économistes néoclassiques et de leurs adversaires à savoir les néokeynésiens, les monétaristes ainsi que les non orthodoxes. Ainsi on présentera le contenu de l’ouvrage suivant un plan, qui comportera en premier lieu une introduction résumant les théories de l’équilibre macroéconomique, et ensuite les différents économistes selon le courant de pensée : Néoclassiques | Néokeynésiens « l’ancienne

macroéconomique : - théorie classique (Quesnay, Smith, Ricardo, Say, Marx) selon laquelle il existe une macroéconomie sans microéconomie - théorie néoclassique ou marginaliste, de 1850 à 1920, (Walras, Marshall…) qui donne naissance à la microéconomie - théorie keynésienne, à partir de 1930, qui procède à partir d’une analyse macroéconomique L’approche microéconomique consiste à chercher l’explication des phénomènes éco à partir des choix individuels et qui s’oppose en ce sens à la macroéconomie qui porte

I Qu’est ce que la Macroéconomie ? A quoi sert la Macroé- conomie ? La macroéconomie est le domaine de l’économie qui s’intéresse au fonctionnement d’ensemble de l’économie. Elle se définit par opposition à la microéconomie qui s’interesse davantage aux comportements des agents économiques. Il est toutefois difficile de sépa- rer analyses microéconomiques et analyses macroéconomiques. C’est davantage par les questions qu’elle se pose que se définit le champ de la macroéconomie. La question du chômage

Jalel BERREBEH Macroéconomie, éléments de la comptabilité nationale FSEG Nabeul Faculté de sciences économiques et de gestion Nabeul 1ère année Sciences économiques et Gestion COURS DE MACROECONOMIE Enseignant Dr Jalel BERREBEH Année Universitaire 2010/2011 PAGE 66 Jalel BERREBEH Macroéconomie, éléments de la comptabilité nationale FSEG Nabeul Thème I. Eléments de la comptabilité nationale La comptabilité nationale est un instrument adéquat d'observation macroéconomique. Elle vise

(on se réfère a la macroéconomie) a la différence de Général (on se réfère a la microéconomie). La macroéconomie n'a pas de spécificité propre. Les phénomènes macroéconomiques reflètent les résultats individuels des agents dans un contexte de rareté. Ils ne sont que la somme des comportements individuels. Ce modèle n'a jamais été formalisé par les économistes classiques, c'est Keynes pour critiquer ce modèle, l'a construit a partir des différents abords classiques et néoclassiques. Ce modèle a pour

intégrant des mathématiques, toujours dans une optique libérale. Cependant, la crise des années 1930 oblige les économistes à un profond renouvellement, comme celle des années 1970, avec un retour vers le libéralisme. LES CLASSIQUES ET LES NÉOCLASSIQUES Les auteurs de ces courants peuvent être rassemblés selon leurs hypothèses de travail, mais aussi dans une certaine mesure, par une croyance partagée en la suprématie du marché, comme moyen d’information pour la prise de décision. À l’exception

en intégrant des mathématiques, toujours dans une optique libérale. Cependant, la crise des années 1930 oblige les économistes à un profond renouvellement, comme celle des années 1970, avec un retour vers le libéralisme. LES CLASSIQUES ET LES NÉOCLASSIQUES Les auteurs de ces courants peuvent être rassemblés selon leurs hypothèses de travail, mais aussi dans une certaine mesure, par une croyance partagée en la suprématie du marché, comme moyen d’information pour la prise de décision. q Les auteurs