Tiberius Gracchus

« optimarès » veulent le renforcement du Sénat et est un parti conservateur. L’opposition quand au pouvoir va apporter des crises qui conduiront la République vers la fin et l’avènement de l’empire. Des grecques (133-121 av. JC) forment le parti de Tibérius Gracchus. Ce parti est celui des réformes ; il est inspiré par les valeurs stoïciennes. Ce parti fait voter des lois comme celle de la redistribution des terres aux plus pauvres. Mais aussi, il y a une réaction oligarchique de la mort des grecques à Sylla

(Panétios), aristotéliciens, épicuriens, latins qui deviennent philosophes, et mm épicuriens. Ce contexte d’acculturation est lié au contexte du désordre politique. La crise politique commence dès le IIème siècle avec notamment l’affaire des Gracques. Tibérius et Caïus sont assassinés respectivement en -129 et en -121 = le pblm est qu’il y a un fossé social entre les riches et les pauvres, les frères Gracques proposent de réformer, mais les troubles se développent et née une guerre sociale, qui se transforme

TITE-LIVE, Histoire, livre XII, chap. 1. « A Falerius, le ciel sembla se déchirer, créant comme une sorte de grande fissure à travers laquelle étincela une forte lumière. » JULIUS OBSEQUENS, Prodigiorum Libellus, chap. 66. « Sous le consulat de Tiberius Gracchus et de Marius Juventus, à Capoue, on vit le Soleil en pleine nuit. A Formice, ce fut deux Soleils qu'on aperçut en plein jour. Le ciel en était embrasé. En Céphalonie, une trompette résonna dans les cieux. Il y eut une pluie de terre. Une tempête

stabilise le long des frontières naturelles, et Carthage, durant la troisième guerre punique, est complètement détruite (146 av JC) A cette époque, Tiberius Gracus, homme politique romain, propose une loi de réforme agraire visant à redistribuer les terres entre les citoyens romains et à ne pas les laisser aux riches. Il est assassiné et son frère Cais Gracchus qui propose une nouvelle fois cette loi connaît le même sort que lui. Ces tentatives montrent bien que toute mesure populaire est rejetée et que

n'arrive pas qu'en monarchie. En effet, alors que la République romaine de l'antiquité se nommait le sénat et le peuple de Rome, ni le sénat ni le peuple ne pré­tendaient détenir tout le pouvoir, ce qui, d'abord, causa les séditions de Tiberius Gracchus, Caius Gracchus 4, Lucius Saturninus 5, et d'autres, et plus tard, les guerres entre le sénat et le peuple sous Marius et Sylla, et de nouveau sous Pompée et César, jusqu'à l'extinction de la démocratie et l'établissement de la monarchie. Le peuple

l'autre, elle était bornée. Les censeurs, et avant eux les consuls , formaient et créaient, pour ainsi dire, tous les cinq ans, le corps du peuple; ils exerçaient la législation sur le corps même qui avait la puissance législative: "Tiberius Gracchus, censeur, dit Cicéron, transféra les affranchis dans les tribus de la ville, non par la force de son éloquence, mais par une parole et par un geste; et s'il ne l'eût pas fait, cette république, qu'aujourd'hui nous soutenons

3. La recherche de solutions constitutionnelles Les grands acteurs de la vie politique, à partir de 133, furent tous à la recherche de solutions constitutionnelles à la crise de la Res publica. Tibérius et Caius Gracchus, tribuns de la plèbe, inspirés de stoïcisme, ont cherché la reconstitution du populus et le renforcement de son pouvoir politique. Sylla a voulu rétablir les institutions traditionnelles, notamment le sénat, et il a réduit

2526 ROGERS (R.S.), « Fulvia Paulina C. Sentii Saturnini », American Journal of Philology 53, 1932, p. 252-256. 03 Fulvia Paulina. [ 2527 ROGERS (R.S.), « An incident of the opposition to Tiberius», Classical Journal 47, 1951, p. 114-115. 03 Junie. [ 2528 ROGERS (R.S.), « The deaths of Julia and Gracchus, A.D. 14 », Transactions and Proceedings of the American Philological Association 98, 1967, p. 383- 390. 03 Julie fille d'Auguste. [ 2529 CATALOGUE AUTEURS 127 ROLL (Barbara), Untersuchungen