Tibre

des 3 Triumvir agris dandis assignandis en 133 av. J.-C. Il est connu pour son côté réformateur et en est mort assassiné de cela à la suite de tensions qui ont conduit à une émeute conduite par Scipion Nasica. Il meurt et son corps sera jeté dans le Tibre. Caius est né en 154 av. J.-C et mort en 121 av. J-C. Il commence par être tribun militaire de 134-133 av. J-C, puis membre du triumvirat institué par son frère donc (au tableau) de 133-121 av. J-C, Questeur en 126 av. J.-C, Tribun de la plèbe en 122

qu’il était grand et large d’épaules, que son peuple ne le comprenait pas. Sa misanthropie transparaît dans nombre de ses dires, tout comme son impopularité tient dans cette formule, que la foule clama quand elle fut certaine de sa mort : « Tibère au Tibre ! » Un autre de ses surnoms, sans équivoque, provient des légionnaires commandés par Tibère, « Biberius », soit l’ivrogne.   Ses deux mariages ne sont guère heureux : d’avec Vipsania, qu’il aime et qu’il épouse en premier, il doit divorcer sur ordre

son secrétaire. Ça a donné naissance a deux recueils : Les antiquités de Rome et Les Regrets : il exprime sa déception vis a vis de Rome en tant que poète de la Renaissance. Ce poème est construit sur une comparaison " Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin" ou il compare des fleuves. Texte en alexandrin Date de publication : 1558, 31eme sonnet de l'oeuvre Les Regrets qui comprend 191 sonnet ( J.Du Bellay faisait parti des poètes de la Pléiade (mouvement littéraire : Défense et illustration

thermes) mais aussi à l’évacuer : chose qui n’était pas faite automatiquement avant l’apparition des égouts. L e premier égout d e Rome : C loaca Maxima Dans la Rome antique, il s'agissait d'un grand égout qui desservait le Forum et gagnait le Tibre. C'est Tarquin l'Ancien qui entreprit sa construction ( V IIe- V Ie siècle av. J.-C.). Le but de cet égout était d'assécher les bas fonds marécageux se trouvant entre l'Esquilin, le Vimuninal et le Quirinal. Cet assèchement était devenu inévitable

monde sous ses lois devint proie au temps qui tout consomme. » La beauté des ruines existe, mais pour contrer l'image de la dévastation opérée par le temps, DU BELLAY met en opposition l’image de la vie, en faisant mention du Tibre dont la liquidité, l'écoulement, représente la mobilité permanente, donc la vie, opposée aux ruines figées. L'on retrouve ici l'image de la mer dont ont parlé HEREDIA et CHATEAUBRIAND, dans les textes précédents, qui reste le symbole de la vie

urbaine, avant que des groupements de village. -Les rois Latins et Sabins des légendes : la plus connue est celle de Romulus et Remus, jumeaux du Dieu mars et d’une vestale albaine nourris par une louve ,ils seraient venus d’Albe sur les bords du Tibre et auraient fondé la ville de Rome sur une colline entre 754 e 748. légendes réécrites par Tite-Live et Virgile (centrées sur Enée et Romulus) Enée= Fils d’Anchise et de Vénus aurait fondé Lavinium Des découvertes archéologiques : Découverte

trône par son frère Amulius. Celui-ci craignant que ses petits-neveux ne réclament leur dû en grandissant, et parce qu’ils étaient les fils d’une vestale qui, en se consacrant à cette déesse, avait fait vœu de chasteté, ordonna qu’on les jetât dans le Tibre. Mais l’ordre est mal exécuté, les nouveaux-nés sont abandonnés dans un panier sur le fleuve et survivent miraculeusement (protégés par les dieux, dit la légende).Ils sont nourris par une louve (d’ailleurs, en latin archaïque ruma désigne « une

de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur angevine. Poème n°2 : Demain, dès l'aube . Extrait du recueil « les Contemplations » de Victor Hugo (1802-1885). Demain, dès l'aube, à l'heure

d'or dans le champ des étoiles. Victor Hugo, Booz endormi. L’ANAPHORE Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux Que des palais romains le front audacieux ; Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine. Plus mon Loire gaulois que le Tibre latin, Plus mon petit Liré que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Joachim du Bellay, Les Regrets LA PRETERITION Je n'essaierai donc pas de vous décrire quel sombre enthousiasme se manifesta dans l'armée insurgée

de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Commentaires : Ce sonnet nous propose une vision humaniste de la vie dans l’évocation des voyages, et de la recherche d’un bonheur sage et simple. Il