Tibre

Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, 10- Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin Et plus que l'air marin la doulceur angevine. I- Lyrisme et expression de la nostalgie - Si le lyrisme se caractérise par l'expression de sentiments personnels, il n'est pleinement

régime politique : la République.Le site de Rome :Les rois étrusques ont donc permis d’agrandir et de développer la ville.La ville s’agrandit et gagne les autres collines. Les marécages sont asséchés et des ponts sont construits pour traverser le Tibre, ce fleuve qui traverse Rome et se jette dans la mer. Rome est située à une dizaine de kilomètres de la  mer Tyrrhénienne . Cela lui permet d'échapper aux attaques des pirates infestant les côtes. Son retrait de

Ci-contre Attribué à Joseph Warlencourt (1784-1845) Vue de l’ancienne salle du Tibre Aile Sully, entresol, Histoire du Louvre, salle 2. Cette vue de la salle des Antiques, située dans l’aile sud de la Cour carrée (actuelle salle du Parthénon) montre le Tibre du Vatican, découvert à Rome en 1512, saisi avec son pendant le Nil par le traité de Tolentino (1797). En 1815, le Nil repartit pour le Vatican et le Tibre, offert à Louis XVIII, donna ce nom à cette salle où fut placé au centre, en 1824,

pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Poème mélancolique ( mélancolie à la mode au 16em siècle) --> Surtout dans la 2em strophe --> Question logique qui suit: Pourquoi cette mélancolie

Toutefois, il en veut beaucoup à Cinna. Il glisse quelque chose à l’oreille de Polyclète (un mot, pas un objet) puis accorde le pardon à Maxime. Cependant, Maxime ne s’est pas pardonné et Euphorbe raconte qu’il s’est jeté dans le Tibre. (Pas l’animal. Le fleuve. De toutes façons le tibre ça n’a jamais été un animal. Mais on sait jamais.) Scène 2 : Auguste : le seum de la trahison. Il fait une longue tirade adressée au ciel. Il désir que celui-ci reprenne ces pouvoirs, il ne veut plus être roi si cela

pour voir ces deux rives du Tibre » => fait donc un détour pour voir ce fleuve * par son omniprésence dans le relief (lacs, rivières, fleuves…) : * P.318 (quand il quitte un moment Pise – côte ouest) : « de là, suivant la plaine, j’arrivai sur les bords de la mer Tyrrhénienne, où d’un côté, je découvrais à main droite Lerici (une ville protégée par une baie), et de l’autre, encore de plus près, Livourne, château situé sur la mer. » * Fleuves : le Tibre * Rivières : l’Adige

◾évocation de l’importance des voyages et des découvertes dans le premier vers, valeur humaniste. ◾Dans les deux dernières strophes, description de Rome : « des palais romains »(v.10), « marbre dur »(v.11)(bâtiments ), « Tibre latin »(v.12), « mont Palatin »(v.13)(indications géographiques, Tibre=fleuve de Rome, Palatin=une des sept collines de la ville) b) Eloge de la France. ◾Deuxième strophe centrée sur la description méliorative de son village, caractère rassurant et chaleureux : « petit »(v

choisit d’évoquer de manière pittoresque son pays natal, pour en faire l’éloge. On a dans le texte une série d’oppositions frappantes : il ose préférer la fragilité (ardoise) à la durabilité (marbre dur), l’obscurité du petit Liré à la célébrité (Tibre) et la douceur de l’Anjou à l’esprit de conquête de l’Empire romain (c’est ce qu’on peut entendre par « vers marins ») Pour qualifier son village, Du Bellay emploie des déterminants possessifs : « mon » vers 12 et 13, et « petit » vers 5 et 13. Ou

Capitole, le Palatin, l’Aventin, le Caelius, l’Esquilin, le Viminal et le Quirinal). Entre ces collines, on trouve de petites plaines, ou plutôt des dépressions. Proches du Tibre, elles étaient souvent très marécageuses. Si elles ont peu à peu été drainées, elles demeurent exposées aux inondations (bien que peu imposant, le Tibre possède un régime méditerranéen et peut connaître des crues redoutables). Le site de Rome n’est donc pas particulièrement favorable. Il faut aussi compter avec les contraintes

|Le Tibre | |Le mon Palatin (1 des 7 collines de Rome) |Mon petit Liré | |L’air marin |La douceur angevine | 2. Oppositions sonores Les termes utilisés pour parler de Rome dans les deux tercets sont froids et durs (le front audacieux, le marbre dur, le Tibre latin