Tijuana

fue a Tijuana. Tijuana es un punto de cruce (= point de passage) famoso entre México y los Estados Unidos. El cantante Manu Chao, que denuncia frecuentemente el tratamiento de los clandestinos, habla de este pueblo en su canción "Welcome to Tijuana". En este pueblo sentimos que hay mucho sufrimiento. Todo el mundo busca trabajo y la vida es dura. Pedro Morales no podía soportar esa condición, estaba ávido (= avide) de libertad y de dignidad. Por eso decidió salir rápidamente de Tijuana y se digirió

le cas « Des frontières à franchir », qui relate l’expérience d’Angelica Garza, responsable des ressources humaines de deux usines appartenant à la multinationale pharmaceutique USMed et situées à la frontière entre le Mexique et les États-Unis (à Tijuana et à Chula Vista). Puis réalisez une analyse de ce cas en respectant bien chacune des étapes de la procédure d’analyse de cas avec laquelle vous êtes maintenant familier. Consultez bien les critères de correction présentés à la suite du cas, qui vous

quiere resignarse ante las perspectivas que le ofrece el destino « ser como su padre y su abuelo, míseros campesinos » (l.2). Tiene ambición y esto lo lleva hasta Tijuana, ciudad fronteriza con los EE.UU. Además, había terminado el servicio militar, es decir que estaba en regla con su país y no podría ser considerado como desertor. En Tijuana se va a quedar poco por 2 razones: - primero, la ciudad no le cae bien. Lo dice en la línea 7 « ni le gustó ese pueblo de paso ». Es poca acogedora y carece

le domaine de la fabrication de produits médicaux. Cette entreprise compte sept usines au total, soit six à travers différents états des États-Unis ainsi qu’une usine se trouvant à Tijuana, une ville mexicaine située à la frontière de San Diego, Californie. Communément appelée maquiladora, l’usine localisée à Tijuana permet à l’entreprise de bénéficier de «lois favorables ainsi que d’une main-d’œuvre à bon marché» du pays voisin. L’usine mexicaine est située tout près d’une unité administrative dans

fabriquant des produits médicaux. La maquiladora dont il est question ici se trouve à Tijuana, grande ville mexicaine située en face de San Diego (Californie), juste de l’autre côté de la frontière. Les maquiladoras sont des usines mexicaines à capital étranger installées dans les zones limitrophes des États-Unis pour profiter de lois favorables et d’une main-d’œuvre à bon marché. Cette usine de Tijuana appartenait à USMed, propriétaire de six autres installations situées dans divers États

Pedro Morales tenía entonces veinte años, acababa de terminar el servicio militar y como no deseaba seguir los pasos del padre y del abuelo, míseros campesinos de una hacienda de Zacatecas 1 , prefirió emprender la marcha hacia el norte. Así llegó a Tijuana 2 , donde esperaba conseguir un contrato como "bracero" 3 para trabajar en el campo, porque los agricultores americanos necesitaban mano de obra barata, pero se encontró sin dinero, no pudo esperar que se cumplieran las formalidades o sobornar 4 a

Mexique aggloméré à Amérique) qui rend compte des réalités de l’espace transfrontalier entre les deux pays : côté américain, la population hispanique est très présente, on trouve des villes jumelles avec celles du Mexique : San Diego (Californie) et Tijuana (Mexique) par exemple. L’espagnol est la langue dominante. Côté mexicain, sont implantées de nombreuses  maquiladoras : ce qui fait du nord du Mexique une zone « atelier » des USA. Cet espace draine des flux de capitaux américains et des flux de main

conforme pas avec ce que son pays lui offre. Il se laisse tenter par le rêve américain, la terre promise. Le texte nous raconte alors son parcours à la recherche d’un travail et d’une vie meilleure. Etape 1 : TIJUANA Tijuana = bassin agricole / Main d’œuvre bon marché A Tijuana commence les problèmes : il ne trouve pas de travail difficile d’obtenir les papiers nécessaires pour traverser la frontière (visa, contrat de travail, permis de séjour), il dépense tout son argent. connaît

Angelica Garza est une Américaine d’origine mexicaine qui a travaillé pendant 10 ans comme cadre aux ressources humaines d’USMed à Tijuana, une multinationale américaine fabricant des produits médicaux. Angelica était également responsable des ressources humaines d’une petite unité administrative à Chula Vista, du côté américain de la frontière. Le bureau de Tijuana comptait 1 100 Mexicains et 22 Américains, tandis que le bureau de Chula Vista comptait 12 Américains. Malgré le fait qu’USMed comptait

situe à Tijuana. Angelica avait également la responsabilité des ressources humaines d’une petite unité administrative localisée du côté américain de la frontière dans la ville de Chula Vista. Elle n’avait très peu de relations avec les cadres des autres usines et aucune politique générale ne semblait exister en matière de gestion des ressources humaines ou en matière de gestion de la diversité. Ses collègues américains avaient très peu d’intérêt à savoir ce qui se passait dans l’usine de Tijuana et à