Tir de fusillade

les rues de New York. Après l’avoir capturé, le chef de la police, Mulrooney, déclara: 22 «Cet homme est un des criminels les plus dangereux que j’ai connus. Il tue pour rien. » Mais lui, Crowley, comment se considérait-il ? Tandis que la fusillade faisait rage autour de lui, il écrivait une lettre destinée à ceux qui trouveraient son cadavre. Le sang ruisselant de ses blessures faisait une traînée rouge sur le papier. Dans cette lettre, il disait: «Sous ma veste bat un coeur las, mais bon

proximité de Louvain (on entend les bruits de bataille dans la ville). Une unité allemande se replie à Louvain et on entend des tirs. Les défenseurs (allemands !) de Louvain tirent sur leurs compatriotes qui se replient. Dès les premiers tirs, la fusillade se propage dans toute la ville, les citoyens sont tués sur le pas de leur porte. Le clergé et les profs d’université sont particulièrement visés. Les troupes allemandes à Louvain sont majoritairement protestantes. On force les portes de la bibliothèque

grise, légère et sans valeur. 4. Fourchette : Il s'agit d'une grande tige de métal, terminé par deux dents en forme de U, ce qui lui donne l'aspect d'une énorme fourchette. Ce dispositif servait à soutenir le mousquet pendant la préparation du tir - et il n'avait aucun rapport avec le maniement de l'épée. 5. Bas d'attaches : bas que l'on attachait au haut des chausses (ou culotte). 6. Brodequins à l'antique : chaussures couvrant le pied et une partie de la jambe. Les acteurs de tragédie

probable, si j’en juge par l’Envie qui croît en moi. Alors pourquoi cette timidité ? En attendant, je suis apparemment seul sur ce coup-là – et, pendant ce temps, Deborah pose sur moi un regard interrogateur et pas du tout commode. Rectifions donc le tir, 0 grand et sinistre génie. Il y a quelque chose de différent dans ces meurtres, au-delà de la mise en scène spectaculaire des cadavres. Spectaculaire est d’ailleurs le mot approprié : ils sont exposés de manière à produire le maximum d’effet. Mais

un point donné, c’était là sa clef de victoire. Il traitait la stratégie du général ennemi comme une citadelle, et il la battait en brèche. Il accablait le point faible de mitraille ; il nouait et dénouait les batailles avec le canon. Il y avait du tir dans son génie. Enfoncer les carrés, pulvériser les régiments, rompre les lignes, broyer et disperser les masses, tout pour lui était là, frapper, frapper, frapper sans – 20 – cesse, et il confiait cette besogne au boulet. Méthode redoutable

n’hésita pas. PAN ! Le garçon se détourna et s’enfuit dans la direction opposée après avoir jeté son fusil. D’autres cris s’élevèrent. Des tirs éclatèrent ici et là, à l’aveuglette, éclairant la nuit par intermittence. — Cessez le feu ! beugla Hank. La fusillade redoubla, mais tous les tirs provenaient du camp de Zil, à présent. — Arrêtez ! s’écria Zil. Le silence revint. Les oreilles de Zil bourdonnaient. Au loin, quelqu’un pleurait comme un bébé. Pendant un long moment, personne ne dit mot ni ne bougea

occupe un no man’s land large de quelques centaines à quelques mètres, surveillé par des postes d’observation légèrement en avant de la première ligne. Elles sont reliées par d’autres boyaux, euxmêmes en zigzag pour éviter d’être pris en enfilade par un tir ennemi. À l’arrière, se trouve l’artillerie légère, le poste de commandement et le poste de secours. Le front Est est tout à fait différent, plus ouvert, et la tranchée ne s’y impose pas comme système défensif. Avec l’immobilisation du front, le Nord

occupe un no man’s land large de quelques centaines à quelques mètres, surveillé par des postes d’observation légèrement en avant de la première ligne. Elles sont reliées par d’autres boyaux, euxmêmes en zigzag pour éviter d’être pris en enfilade par un tir ennemi. À l’arrière, se trouve l’artillerie légère, le poste de commandement et le poste de secours. Le front Est est tout à fait différent, plus ouvert, et la tranchée ne s’y impose pas comme système défensif. Avec l’immobilisation du front, le Nord

tellement surprenant en effet, répondit la jeune femme. -Ce qui l'est un peu plus c'est le choix de la victime s'étonna Lanie. Pourquoi la mère de l'institutrice ? Et puis selon la serveuse, elle et Castle avaient déja fini de parler au moment du tir, donc ce n'était pas pour l'empêcher de dévoiler quoi que ce soit ! Ca n'a pas de sens. -Effectivement je ne comprends pas non plus, répondit la jeune femme songeuse. -Et puis je veux dire, s'ils avaient voulu t'atteindre toi directement, te dissuader

ils rencontraient le sénéchal venant de Wurzbourg. Ceux de l’Allgaü, forts à cette heure de vingt-trois mille hommes, s’apprêtaient à affronter cette troupe, qui n’en comptait que onze mille. Le 19 juillet ils se décidèrent et engagèrent un violent tir d’artillerie. Mais le 21, un des chefs de la bande, Georg von Frunsberg, trahit et passa à la Ligue Souabe. Il servit d’entremetteur pour acheter plusieurs autres chefs, qui incendièrent les réserves de poudre. Les paysans tentèrent alors une sortie