Tirade Amour Impossible

1, p. 149). 14. Jean est retenu en chemin pour des raisons sanitaires, car il s’est arrêté dans une maison infectée par la peste. Il est retenu quelque temps pour éviter un risque de contagion (acte V, sc., p. 169). 15. Juliette, voyant son amour mort, se poignarde (acte V, sc. 3, p. 178) et Roméo, qui a cru que Juliette avait expiré, s’empoisonne (acte V, sc. 3, p. 175). 16. Mercutio (tué par Tybalt, acte III, sc. 1, p. 111), Tybalt (tué par Roméo, acte III, sc. 1, p. 113), Paris (tué par

de la tragédie (le dilemme, le rôle du divin, la fatalité, la lutte entre la raison et la passion) • Point de départ d’un voyage sans fin autour du personnage de Phèdre, dans tous les arts, à toutes les époques, image de la passion dévorante et impossible. 1 © Nathan 2009 Séquence pour les élèves de 6ème • Séance 1 : questionnaire de lecture Objectifs : • Vérifier la bonne compréhension de la situation d’énonciation. • Vérifier la bonne compréhension des grandes lignes du mythe. • Mise en évidence

répudier son épouse, Octavie (qui est stérile), puis en s'éloignant de Junie, lui faisant savoir I'amour qui l’unit à Britannicus, et les manèges secrets de sa mère et de son demi-frère. Néron, qui a convoqué Junie, courtoisement, lui dévoile son amour. Elle le repousse, lui opposant qu'elle aime Britannicus, et qu'elle reste sa dernière consolation. Changeant de ton, Néron la menace de le tuer si elle ne lui dit pas, lors d'un entretien qu’il épiera, qu'elle ne l'aime plus. Narcisse annonce l’arrivée

| | |On note la présence de plusieurs | | | | |tirades attribuées au Notaire qui| | | | |servent à mieux connaître le | | |

sens 2-3 sont sujets à discussion; le sens 4 est incontestable. Lorenzaccio, personnage principal de la pièce (sens 4) - il est présent dans de très nombreuses scènes (18 sur 39), dans des endroits très différents; il s’exprime beaucoup: il aime les tirades (I,1, III,3...) et est le seul à avoir le droit à trois monologues (IV,3,5,9). Même absent, il est au centre de nombreuses conversations (cf.I,4; I,6...). Ainsi, onomastiquement, il est le personnage avec le plus grand nombre de surnoms : Renzo, Lorenzino

scénographique est évident, mais il s'agit aussi de l'image d'un dilemme d'abord divertissant, celui d'un choix à prendre (se marier ou ne se pas marier), bien que porteur d'une menace implicite et latente, celui d'un dénouement dramaturgique peut-être impossible à atteindre, non assuré : la menace d'une aporie de la signification, et donc d'une « mort théâtrale » symbolique. Enfin, la préoccupation majeure des personnages est de nature matrimoniale, suivant le schéma des mariages arrangés, des tractations

déesse de l’amour Aphrodite est furieuse, méprisée par un Hippolyte lui préférant la chasse et son incarnation divine, Artémis. L’instrument de sa vengeance sera Phèdre, épouse de Thésée et belle-mère d’Hippolyte, victime d’une passion amoureuse impossible envers son fils. Elle se confiera à sa nourrice qui rapportera sa parole à Hippolyte. La réaction négative et colérique de ce-dernier la poussera au

répudier son épouse, Octavie (qui est stérile), puis en s'éloignant de Junie, lui faisant savoir I'amour qui l’unit à Britannicus, et les manèges secrets de sa mère et de son demi-frère. Néron, qui a convoqué Junie, courtoisement, lui dévoile son amour. Elle le repousse, lui opposant qu'elle aime Britannicus, et qu'elle reste sa dernière consolation. Changeant de ton, Néron la menace de le tuer si elle ne lui dit pas, lors d'un entretien qu’il épiera, qu'elle ne l'aime plus. Narcisse annonce l’arrivée

marquise pour le comte, après qu’elle eut tenté d’y résister. Elle tente ici de mettre fin à leur relation naissante. « Ayez pitié de l’état où je suis. Si vous m’aimez, respectez-le ; ne me revoyez plus : que mon exemple vous serve à détruire un amour qui ne peut avoir que des suites funestes pour moi. Envisagez les malheurs qui seraient inséparables de notre commerce4 : la perte de ma réputation, celle de l’estime de mon mari : peut-être pis encore. Quelque épurés que soient nos sentiments

le questionnement inquisiteur d’Œnone, sa confidente, elle finit par avouer la source de son mal : l’amour incestueux qu’elle voue à son beau-fils Hyppolite. Cet aveu est arraché au cours d’une tirade sous forme de récit lyrique où la jeune femme restitue les étapes de sa passion, la naissance d’un amour monstrueux et les dérisoires tentatives pour y échapper. Cet extrait met en valeur comment l’expression de l’amour fait apparaître une violence tragique. Comment se construit une situation tragique