Tirade Amour Impossible

II de Phèdre, dans laquelle celle-ci avoue son amour pour Hyppolite. Ecrit par racine en 1967, le texte nous donne à réfléchir sur les différents sentiments exprimés par Phèdre. En effet, cette tirade est un aveu amoureux dans lequel Phèdre exprime sa souffrance, ce qui la place en personnage pathétique. I) Aveu amoureux 1) Aveu direct et incontrôlable. 2) L’expression de ses sentiments. 3) Les différents rôles de l’amour dans cette tirade. Cet aveu est l’aboutissement de la souffrance

l’oeuvre. La tragédie met l’accent sur une figure féminine torturée par un amour impossible parce qu’immoral. En effet, Phèdre s’éprend d’Hyppolite, fils de Thésée, son mari. Cet amour incestueux la submerge tant qu’elle se laisse doucement mourir. Dans cette scène, Oenone, sa nourrice, tente de connaître le mal qui la ronge, la tue. C’est sous cette pression quasi « maternelle » que Phèdre fait l’aveu de son amour, cet amour indicible qu’elle cache depuis si longtemps. Mais dans quelles mesures l’expression

Racine Introduction Je vous propose d’étudier la scène 3 de l’Acte I de Phèdre, la tragédie de Racine. C’est la tirade très très (très très … très) célèbre où Phèdre révèle à sa nourrice Oenone, (mais au spectateur aussi en passant) qu’elle est amoureuse d’Hippolyte ! Ah, le beau Hippolyte, qui malheureusement pour elle est le fils de son mari Thésée… Vous voyez le problème : c’est un amour considéré comme incestueux, contre-nature. Phèdre, c’est une pièce qui obéit bien à toutes les règles de la tragédie

Phèdre apparaît pour la première fois. Thésée, son époux et père d’Hippolyte, est absent du royaume. Phèdre avoue à sa confidente Oenone, la cause de son mal, sa passion et son amour impossibles pour Hippolyte. Quelles sont les effets de cette passion ? Comment lutte–t’elle pour s’en affranchir ? Racine, dans cette tirade , décrit dans un premier temps les manifestations physiques de cette passion et les manifestations psychiques, les troubles de l’âme . Il utilise des figures de style (opposition

oeuvre un amour impossible entre un jeune homme, Hippolyte et sa belle mère, Phèdre. Cette dernière est amoureuse de lui, mais elle est condamnée à ne pas le lui avouer à cause de l'existence de son époux, Thésée. Croyant que son époux est décédé, Phèdre décide d'avouer ses sentiments à Hippolyte. Au cours de cet aveu, elle se présente comme victime de sa passion. Nous allons étudier la tirade de Phèdre adressée à Hippolyte durant la scène 5 de l'Acte 2. Au travers de cette longue tirade, nous étudierons

dessiner entre les deux tirades de Phèdre, ainsi qu’un changement de ton. Dans le première partie de la première tirade, jusqu’au vers 20, Phèdre décrit son amour pour Thésée. Au vers 21, elle avoue son amour pour lui à Hippolyte, et c’est une nouvelle Phèdre qui parle. Dans cette deuxième partie, elle raconte tout ce qu’elle aurait fait pour Hippolyte. Dans la seconde tirade qui commence par « Ah ! Cruel ! Tu m’as trop entendue », Phèdre se désespère d’avoir avoué son amour à Hippolyte. Elle dit

temps, nous présente Phèdre, l’héroïne tragique de la pièce du même nom. L’hérédité qui l’oppresse est introduit rapidement dans la tirade : « D’un sang qu’elle poursuit » v. 278. Phèdre met au compte d’une filiation maudite l’échec de son appel à Vénus et elle « [reconnaît] Vénus et ses feux redoutables » dès qu’elle ressent les premières manifestations de son amour. En effet, le sang poursuivit par Vénus est une référence à la mère de Phèdre, Pasiphaé, qui s’unit à un taureau. Cette union monstrueuse

lui-même amoureux d’Aricie. Cette scène exprime l’aveu d’un amour incontrôlé et excessif, perturbe l’ordre établi et amène à d’importantes conséquences, dont la mort des deux personnages. Comment se révèle dans cette scène l’amour incestueux de Phèdre ? Pour répondre à cette question, nous étudierons tout d’abord l’aveu de Phèdre, puis le double portrait et enfin la rupture avec la réalité. Au fil des répliques, Phèdre avoue implicitement son amour pour Hyppolite. Les répliques relativement longues de

personnage éponyme de Phèdre de Racine, situé dans la scène 5 de l'Acte II. Comment par une stratégie d'opposition, de contresens voire de quiproquo, Racine fait-il avouer à Phèdre l'amour incestueux qu'elle éprouve pour Hippolyte ? Extrait: La tirade de Phèdre est un éloge à l'Amour. En effet, nous pouvons remarquer le champ lexical de l'amour : « je languis », « je brûle », « je l'aime » présent dès les premiers vers. Par ailleurs, une métaphore filée de l'amour-feu peut être aperçue : l'amour

marivaudage* à la tirade de fin (*Echange de propos amoureux, d’une grande finesse et d’une grande vivacité) •Extrait débute par un échange vif (marivaudage) : les répliques sont brèves « comme tu voudras », les pronoms « tu » et « toi » sont repris d’une réplique à l’autre, ainsi que des propositions « je t’en prie ». Cet effet d’écho rend le dialogue vif, les personnages sont en désaccord, se querellent. •Les répliques de Silvia deviennent ensuite de plus en plus longues, jusqu’à la tirade de fin.