Tirade Amour Impossible

un lieu de fête, de commerce. L’orfèvre : « La Cour, le peuple la porte sur son dos » : évoque certaines caricatures de presse de l’époque (imagerie) : cf. Honoré Daumier par ex, mais aussi caricature de la période révolutionnaire (1789). Longue tirade de l’orfèvre sur Florence fondée sur la métaphore filée de l’architecture. Importance de l’imparfait qui signale un état révolu, dans son récit. Critiques c/ le pape (Clément VII) et l’empereur Charles (Charles Quint). Florence = un édifice menacé 

permet également de conseiller à Pyrrhus de retourner à Hermione si il veut pas qu’il lui arrive des bricoles. Cependant, Pyrrhus ne peut pas aimer Hermione, son cœur étant déjà à Andromaque. Et comme c’est un homme, il n’a que 2 fonctions basiques : amour et haine. Aussi, il se décide à détester Andromaque vu qu’il ne peut l’aimer. Et que du coup, vu qu’il la hait, il change d’avis et vas tuer son fils. Andromaque proteste car après tout, Astyanax n’est pour l’instant coupable de rien. Acte II :

personnage de Dom Juan va être le porte-parole des libertins, portant des critiques sur l’Eglise en son époque. Le texte est tirée de l’Acte d’exposition scene2,ActeI .Cette tirade va révéler le personnage de Dom Juan. Elle va tempérer les propos que nous avons eus de Sganarelle sur Dom Juan. Ce dernier met en place une tirade sur l’inconstance. Problématique: Comment Dom Juan réussira de convaincre Sganarelle et à travers lui le public ce qu’il apprend sur son personnage ? Plan: I) L'éloge de l’inconstance

d’aimer. Sonia le flatte, lui fait jurer qu’il ne boira plus, lui déclare indirectement son amour, sans rencontrer d’écho favorable. Elle semble anéantie, et n'entend plus lorsqu'on s'adresse à elle. Pourtant, soliloquant, elle se dit heureuse malgré le refus implicite d’Astrov, mais se plaint de sa laideur. Éléna survenant, elles dialoguent et se réconcilient. Éléna affirme avoir épousé le professeur par amour, et non par intérêt. Elle demande à Sonia de lui faire confiance, et, répondant à sa question

CHIMÈNE Dis-moi donc, je te prie, une seconde fois Ce qui te fait juger qu’il approuve mon choix ; Apprends-moi de nouveau quel espoir j’en dois prendre ; Un si charmant discours ne se peut trop entendre ; Tu ne peux trop promettre aux feux de notre amour La douce liberté de se montrer au jour. Que t’a-t-il répondu sur la secrète brigue Que font auprès de toi don Sanche et don Rodrigue ? N’as-tu point trop fait voir quelle inégalité Entre ces deux amants me penche d’un côté ? 1 5 ELVIRE Non ;

qu’on attendrait de lui ) · « Le plus pénible » + « Il n’avait plus songé » = superlatif + forme négative -> décalage pensées lecteur (impatience retrouvailles ; excitation ) / réalité (émotions négatives ; humiliation) = renversement topos nuit amour· « Si mal reçue ! » = exclamation + intensif -> effet insistance refus M de R = décalage topos N d’A ( J renonce = respect M de R =/ immoralité+ inconscience J )· « Je lui ai dit que j’irai chez elle » = verbes simples -> sècheresse style ( lyrisme

CHIMÈNE Dis-moi donc, je te prie, une seconde fois Ce qui te fait juger qu’il approuve mon choix ; Apprends-moi de nouveau quel espoir j’en dois prendre ; Un si charmant discours ne se peut trop entendre ; Tu ne peux trop promettre aux feux de notre amour La douce liberté de se montrer au jour. Que t’a-t-il répondu sur la secrète brigue Que font auprès de toi don Sanche et don Rodrigue ? N’as-tu point trop fait voir quelle inégalité Entre ces deux amants me penche d’un côté ? 1 5 146

perd totalement sa conscience quand Zorg décide de mettre fin à son calvaire en l’étouffant sous son oreiller. Ce film qui se termine avec une fin bien tragique et misérable se commence par une scène de sexe sensuelle. La tonalité du film passe d’un amour ardent et joyeux à la mort de Betty et à la solitude de Zorg. Nous pouvons facilement diviser le film en deux parties : la première où la folie de Betty ne se manifeste pas évidemment et la deuxième où Betty est totalement incontrôlable et au-delà

Clindor se montrent et le maître en profite pour faire à nouveau valoir ses prouesses lorsqu’un page vient le chercher pour qu’il aille s’occuper des prétendues affaires amoureuses qui le pressent (sc. 4). Seule avec Clindor, Isabelle lui réaffirme son amour avant de s’enfuir au retour d’Adraste (sc. 5). Le prétendant se doute de la rivalité de Clindor et le met en garde mais celui-ci lui répond avec fierté et noblesse (sc. 6). Lyse, la servante d’Isabelle, propose à Adraste de l’aider à surprendre les

marquise pour le comte, après qu’elle eut tenté d’y résister. Elle tente ici de mettre fin à leur relation naissante. « Ayez pitié de l’état où je suis. Si vous m’aimez, respectez-le ; ne me revoyez plus : que mon exemple vous serve à détruire un amour qui ne peut avoir que des suites funestes pour moi. Envisagez les malheurs qui seraient inséparables de notre commerce4 : la perte de ma réputation, celle de l’estime de mon mari : peut-être pis encore. Quelque épurés que soient nos sentiments, car