Tirade De Thésée

Problématique : En quoi, l’aveuglement de Thésée est-il tragique ? Comment s’affrontent deux démesures ? I) L’aveuglement de Thésée dans sa fureur. Dans cette scène ,Thésée est furieux contre son fils Hippolyte. la parole est l’instrument de la violence. La colère de Thésée apparaît d’emblée au point le plus haut et se nourrit des insultes adressées à Hippolyte (« perfide », « traître », « monstre », etc.), sans que nul dialogue ne soitpossible. L’échange n’est d’ailleurs instauré que

argumentation paradoxale 1.1. Dom Juan se rit de la fidélité... On remarque que dès les premières lignes jusqu’à la 52ème, Dom Juan reprend la théorie de la constance énoncée par Sganarelle pour mieux la contredire avec vigueur. - Reprise de la thèse de Sganarelle : « Quoi ? Tu veux qu’on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu’on renonce au monde pour lui, et qu’on n’ait plus d’yeux pour personne ? » à Dépréciation de celle-ci : « La belle chose de vouloir se piquer d’un faux honneur

à son père. Il répond ensuite qu’il comprend sa tristesse face à la mort de Thésée. Phèdre fait alors une déclaration d’amour à Hyppolite en assimilant tout ce qu’elle aimait chez Thésée aux similitudes dans les traits du jeune homme. Elle finit par lui montrer l’ampleur de ses sentiments. Lorsqu’Hyppolite entend ces aveux, il ressent une honte et un dégout pour sa belle mère. Elle lui montre alors, dans la deuxième tirade, son amour qui la fait souffrir. Ensuite, elle met cet amour criminel sur le

scènes auparavant, nous assistons ici à l’ultime aveu de Phèdre au cours d’une tirade en alexandrins s’adressant à Thésée, scène qui constitue le dénouement de la pièce. Lecture de l’extrait I) Un ultime aveu pour dénouer l’intrigue / Ni tout à fait innocente, ni tout à fait coupable A) L’aveu : Phèdre reconnait sa culpabilité  Un aveu qui intervient de manière brutale, dans les trois premiers vers de la tirade, introduit par un alexandrin brisé qui marque l’urgence, renforcée par l’impératif

son comble, Théramène rapporter la mort d’Hippolyte à son père, le roi Thésée, lors d’une confrontation dont le dénouement était connu d’avance contre la créature envoyée par le dieu Neptune. Pour comprendre cette scène il est important d’expliquer la place que prend le registre épique puis de montrer la figure d’Hippolyte à différents moments de la scène et pour finir d’éclairer la métaphore du tragique que représente cette tirade. Les évènements rapportés par Théramène dans cette scène peuvent être

tragédien du XVIIème siècle. Auteur de nombreuses pièces de théâtre telles que Bérénice, il reprend dans Phèdre un thème emprunté à la mythologie, souvent traité dans l'Antiquité. Dans cet extrait de Phèdre, l'héroïne tragique s'adresse en une longue tirade à sa servante, dans une scène de confidences, et lui avoue qu'elle aime passionnément son beau-fils Hippolyte. Cet amour coupable croît durant toute la pièce jusqu'à ce que Phèdre décide de supprimer le jeune homme avec l'aide de Poséidon. Nous

Confrontation : tirade de Créon dans laquelle il présente sa conception du pouvoir à l'aide d'un apologue.  La visée argumentative  - Intention de Créon : Faire renoncer Antigone  - Intention d'Antigone : Ensevelir son frère  - Intention d'Anouilh : Au delà du passage, il s'agit pour l'auteur de faire prendre conscience au lecteur de la situation de la France en 1944  Créon fait appel à la raison d'Antigone : il tente de la convaincre. Il exerce sur elle la force de l'argumentation  - Thèse : Etre

vient d’entendre, et qui apparemment est hors sujet : Sganarelle, dans une assez longue tirade adressée à Gusman, le valet d’Elvire, se lance dans un éloge du tabac incongru avant de rebondir sur la situation de son maître. Quels sont les caractéristiques et les enjeux de cette tirade surprenante ? Nous étudierons dans un premier temps l’éloge paradoxal du tabac ; dans un second temps, nous montrerons que la tirade répond toutefois aux exigences de l’exposition ; nous analyserons enfin les enjeux de

Cette scène propose une sorte de troisième aveu de Phèdre : après celui à Oenone et celui à Hippolyte, c’est cette fois à Thésée que Phèdre avoue son amour coupable. Mais par rapport aux deux autres aveux, la situation a bien changé car Hippolyte est mort et le problème majeur n’est plus l’amour incestueux qu’éprouve la crétoise pour son beau-fils mais davantage le fait qu’elle l’ait accusé à tort et ainsi, conduit à la mort. Si cet aveu, qui a des allures fortement judiciaires, conduit à une réhabilitation

Alceste, qui sont deux amis. On est plongé de suite dans l'action, c'est un incipit dynamique. Il s'agit d'une dispute entre ces deux personnages. ACTE I, SCÈNE 1 : LA TIRADE D'ALCESTE La scène d'exposition de cette scène met en scène le personnage principal : Alceste, l'atrabilaire dans un dialogue qui débouche sur cette tirade qui est un réquisitoire contre le genre humain. En quoi le réquisitoire d'Alceste contre le genre humain s'inscrit-il dans le registre comique ? I. Le personnage d'Alceste