Tirailleur

Serais-je donc le seul lâche sur la terre ? pensais-je. Et avec quel effroi !... Perdu parmi deux millions de fous héroïques et déchaînés et armés jusqu’aux cheveux ? Avec casques, sans casques, sans chevaux, sur motos, hurlants, en autos, sifflants, tirailleurs, comploteurs, volants, à genoux, creusant, se défilant, caracolant dans les sentiers, pétaradant, enfermés sur la terre, comme dans un cabanon, pour y tout détruire, Allemagne, France et Continents, tout ce qui respire, détruire, plus enragés que

Odile de Vasselot : Nous allons vaincre, nous sommes très forts. Son grand-père : « C’est un devoir de désobéir ! » Pierre Lefranc : J’aime mieux mourir dans les bras d’une femme que dans ceux d’un tirailleur. Alors les jeunes a u fond du désespoir entendent cette voix inconnue venue de nulle part. Jean-Louis Crémeux-Brillac : (pour de Gaulle, des pétainistes) : « Ce salaud veut tout faire casser la gueule. Les appels forment 1 bloc

apte. Mais le Ministère de l'Intérieur le rattrape et l'oblige à conserver son poste de préfet d'où il s'emploie à assurer la sécurité de la population. Il est arrêté en juin 1940 par les Allemands parce qu'il refuse d'accuser une troupe de tirailleurs sénégalais de l'Armée française d'avoir commis des atrocités envers des civils à La Taye, un hameau près de Saint-Georges-sur-Eure, en réalité victimes de bombardements allemands. Maltraité et enfermé pour refus de complicité avec les Allemands

d’hommes confinés à la garde beylicale. Mais, les menaces de troubles dans le pays amène les autorités françaises à mettre en place une troupe mixte franco-tunisienne en 1882, sous le commandement d’officiers français. Devenue le 4e Régiment des tirailleurs tunisiens (RTT), en 1884, elle participe à plusieurs combats à Tonkin, au Maroc, etc. avant d’incorporer l’armée française à de la première guerre mondiale (1914-1918). La vie culturelle et artistique se développe également sous l’influence des

rendez-vous avec Maël, membre du groupe. Banania, exemple de l’exploitation de l’image de l’homme noir en métropole. Le slogan historique de la marque était jusqu'en 1977 « Y'a bon Banania » prononcé par un tirailleur sénégalais. Selon la légende, ce slogan proviendrait d'un tirailleur sénégalais blessé au front et embauché dans l'usine de Courbevoie. Goûtant le produit il aurait déclaré « moi y'a dit » : « Y'a bon ». Depuis les années 1970, certaines critique considèrent ce slogan comme porteur

Apte. Mais le ministère de l’intérieur n’est pas d’accord avec lui et l’oblige à garder son poste de préfet sous peine de prévenir la sécurité de la population. Il est arrêté en Juin 1940 par les Allemands car il refuse d’accuser une troupe de tirailleurs Sénégalais de L’armée française. Maltraité et enfermé pour refus de complicité avec les allemands, il tente de se suicider en se tranchant la gorge avec un débris de verre. Il évite la mort de peu, et en garde une cicatrice qu’il cachera avec

nourriture est rationnée pour la population. Malheureusement les activités agricoles sont délaissées et rapidement les pénuries apparaissent. Les colonies sont elles aussi mobilisées pour la main d’œuvre dans les usines et pour aller au front comme les tirailleurs sénégalais . Dans les zones occupées par les allemands, les populations subissent des violences de la par des troupes (pillages, exécutions, viols …). Toute la population souffre et vit dans la crainte constante de perdre un ou plusieurs proches

narrateur se retrouve sur un champ de bataille. Il utilise comme énonciation la première personne du singulier « je », c’est donc à la fois lui qui décrit la scène et qui la vît. De ce fait il met en avant ses opinions, « ces allemands […], têtus et tirailleurs, tiraient mal ». L’auteur nous dévoile ses goûts « Moi d’abord la campagne […] j’ai jamais pu la sentir ». Le narrateur se parle à lui-même, c’est-à-dire en dialogue intérieur « Qui savait combien ? », et se dénigre « Serais-je donc le seul lâche

Ottoman, sont considéré comme des ennemies de l’intérieure. Des marches forcées, assassinats et noyades de masses feront périr plus d’un million d’arméniens. -Une guerre totale : Guerre mondiale, les empires coloniaux sont eux aussi appelés (tirailleurs sénégalais), la puissance économique de chaque pays détermina sa puissance militaire (usine transport.. .), la main d’œuvre fut principalement étrangères durant cette guerre, de plus les femmes se mirent a travaillés (les munitionettes). L’accroissement

totale dans l'adhésion demandée aux soldats pour les combats : les gouvernements répriment les mutineries qui s'opposent à cette guerre totale. La guerre est totale par la mobilisation des empires coloniaux. Mobilisation importante (des milliers de tirailleurs sénégalais) et symbolique: tout l'empire participe à l'effort de guerre. Partie 2 A l'arrière, la guerre est totale car elle mobilise à la fois les esprits et les ressources matérielles et financières du pays. Toutes les catégories sociales