Tiret

|0,5pt | |Cohérence linguistique |Emploi de pronoms interrogatifs | | | |Tiret et point d’interrogation |0,5pt | | |Présent de l’indicatif |0,5pt | | |

la nature des atomes qui y figurent. 2.1 La liaison covalente Elle s’établit par la mise en commun de deux électrons, soit un électron célibataire de chaque atome. On trouve dans ce type de liaison dans la molécule de dihydrogène notée H2. Le tiret symbolise les deux électrons (ou le doublet) mis en commun. Chaque atome d’hydrogène qui n’avait qu’un électron avant la formation de la liaison a, après formation de la molécule deux électrons sur sa couche externe. C’est l’exception (avec l’atome

: gradation ascendante des verbes. Une connaissance jamais achevée : « doit la cultiver » : injonction. - Mépris pour ceux qui s’autoproclament (sans être) : égoïsme contre « je est un autre », distance critique. c) Cultiver l’extraordinaire - Tiret + « mais » : autre aspect pratique, description imagée : « se faire », réfléchi (= « cultiver »), « âme monstrueuse » : monstre : ce que l’on montre, l’hors norme. Montrer son âme ? oxymore : cultiver l’extraordinaire sans soucis des conventions.

etc... 6eme diapo Ces transformations génétiques servent déjà pour les plantes : (dire tout les tirets) puis pour les animaux à l'accélération de croissance comme ci contre, deux saumons qui ont tous les deux 18 mois mais celui de dessus est génétiquement modifié au contraire du petit qui a sa croissance ralentie lors de l'hiver. 7eme diapo Les bénéfices de ces transformations sont : (dire tout les tirets) Ces bénéfices trouver sur les OGM servent de prétexte pour les entreprises, car aujourd'hui

du commun des mortels * Le tiret qui suit peut correspondre à la réponse du poe. mais place avant tout le poe. en dehors de ce cercle épais du matériel. * Il n’est compris que de cette femme ce que sugg. l’insistance des V.5 et 6 * Cette quest° se solde par une fin de non-recevoir : « Je l’ignore » * Par contre, la réponse a la 2eùe quest° est encore + brutale et étoffé « Son nom ? » * Elle marque – un refus car elle n’est pas séparée par un tiret * Elle se compose de 2 parties qui

verbes (sifflent, croulent, broie, fait), noyaux de subordonnées de temps -« Il est un Dieu » : mis en valeur par tirets ; suivi par 3 groupes de relatives : 2 premières juxtaposées (+ introduites par « qui », v.9 et v.11), 3ème coordination « et » + liée à précédente par position après enjambement ; subordonnée de temps « quand » rattachée à « se réveille » -v.7 et v.8 isolés par tirets, emploi 2ème personne = adresse à Nature → Structure en 2 blocs = division du poème en 2 tableaux distincts : diptyques

n’oublier aucune information. Je m’installe sur une chaise en face de son bureau et me prépare pour prendre des notes. Monsieur JANIAUT m’informe des consignes. Je prends des notes de ce qu’il m’indique. Je mets cela sous forme de tirets (en espaçant bien chaque tiret) tous les points qu’il veut voir. Pour m’aider, il me dit que je trouverai les données dans l’Intranet du Conseil général, dans un logiciel spécialisé. Il me montre rapidement le fonctionnement. Je note précisément et en détaillant

les ruptures du rythme sont très nettes, déjà par le changement métrique : deux alexandrins, suivis d’un hexasyllabe. A cela s’ajoute la ponctuation forte : points de suspension, insertion du discours rapporté direct avec l’impératif exclamatif, tirets, comme pour reproduire l’excitation croissante du jeune poète qui met en place le jeu amoureux, avec une certaine violence par les comparaisons aux sonorités rudes : « la joue égratignée », « une folle araignée ». Parallèlement le rythme s’accélère

constitution française depuis la loi constitutionnelle, depuis la révision du 25.06.1992 comporte un titre quinze intitulé De l’union européenne. La constitution française elle-même prend en compte l’organisation de l’union européenne. L’article 88 tiret 1 de la Constitution intègre cette caractéristique contemporaine de la souveraineté partagée, il dispose (page 91) « la république participe à l’union européenne, constitué d’Etat qui on choisit librement (souverainement) en vertus des traités qui

les ruptures du rythme sont très nettes, déjà par le changement métrique : deux alexandrins, suivis d’un hexasyllabe. A cela s'ajoute la ponctuation forte : points de suspension, insertion du discours rapporté direct avec l’impératif exclamatif, tirets, comme pour reproduire l’excitation croissante du jeune poète qui met en place le jeu amoureux, avec une certaine violence par les comparaisons aux sonorités rudes : « la joue égratignée », « une folle araignée ». Parallèlement le rythme s’accélère